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Festival fransaskois 2024

Le budget fédéral et la formation à l’emploi

Les francophones pris entre les colonnes

Les provinces, les employeurs et les sans emploi sont poussés au pied du mur.

Thursday, February 27, 2014/Author: Anonym/Number of views (34243)/Comments ()/
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Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le Conseil scolaire fransaskois (CFS) a annoncé la nomination de monsieur Donald Michaud au poste de directeur par intérim du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). 

Thursday, February 20, 2014/Author: Jean-Pierre Picard/Number of views (25417)/Comments ()/
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Êtes-vous business?

Êtes-vous business?

Des ateliers bien appréciés

C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et dernier atelier pour l’année 2013 – 2014, et ce, dans le cadre de son projet « Êtes-vous business? »

Thursday, February 20, 2014/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/Number of views (37916)/Comments ()/
Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Comme chaque année, le 27 janvier a été synonyme de Journée de l’Alphabétisation Familiale. 

Thursday, January 30, 2014/Author: Alexandra Drame (EV)/Number of views (21359)/Comments ()/
Categories: Éducation
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Entrevue avec Marcel Michaud, directeur général du Collège Mathieu

Il l’affirme sans broncher, les défis que devra relever le Collège Mathieu sont énormes. De plus, la diminution du nombre d’élèves fréquentant son école l’inquiète beaucoup.

Thursday, April 12, 2001/Author: L'Eau vive/Number of views (21143)/Comments ()/
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Entre le manque d’intérêt et le conflit d’intérêt

Author: Jean-Pierre Picard (EV)/Wednesday, April 1, 2015/Categories: 2015, Éditorial

Nous avons plus d’une trentaine d’organismes et d’associations dans la Fransaskoisie. Chacun de ceux-ci nécessite un conseil d’administration, ce qui représente un nombre considérable de bénévoles à trouver dans un petit bassin de francophones comme le nôtre. Et on ne parle pas des nombreux comités.

Il est souvent difficile de trouver des personnes prêtes à consacrer de leur temps bénévolement. On déplore souvent le manque d’intérêt de la population pour s’impliquer activement. Paradoxalement, lorsqu’on trouve quelqu’un prêt à s’investir, c’est le spectre du conflit d’intérêt qui fait surface.  

J’ai été plutôt étonné par la lettre envoyée au Conseil scolaire fransaskois (CSF) par les « parents préoccupés et inquiets ». Il est très sain de voir des parents se préoccuper de la qualité de l’éducation offerte à nos jeunes et nous ne pouvons qu’applaudir leur mobilisation pour exprimer leurs inquiétudes.

Si certaines de leurs préoccupations sont tout à fait légitimes, j’ai sursauté quand j’ai lu que ces parents réclamaient la démission du président du CSF, André Denis, et remettaient en question la légitimité du CSF.

On ne lui reproche pas une mauvaise décision, on ne l’accuse d’aucune  malversation.  Ce qui semble poser problème, c’est qu’il a des enfants qui enseignent dans des écoles fransaskoises. C’est pousser un peu loin. On pourrait voir au contraire que cette proximité familiale permet au président de bien saisir les préoccupations des gens qui travaillent sur le terrain dans les écoles. De plus, en ayant quatre petits-enfants dans le système scolaire fransaskois, il est certainement préoccupé lui aussi par la qualité de l’enseignement qu’on y offre.

Cette lettre fait également référence à une rumeur concernant l’embauche du prochain directeur de l’éducation du Conseil des écoles fransaskoises. Si dans l’univers il y a une chose qui voyage plus vite que la vitesse de la lumière, c’est bien la rumeur. Avant de faire des sorties médiatiques nourrissant une rumeur, il faudrait peut-être s’assurer de son bien-fondé.

Le CSF émerge d’une situation critique pendant laquelle il a dû faire des choix  difficiles. Ce qu’il lui faut en ce moment, c’est un peu de stabilité et surtout l’appui de la population. Cela ne veut pas dire qu’il faut cesser d’être vigilant, bien au contraire. Mais de là à vouloir faire tomber des têtes… Nous sommes en droit de continuer à poser des questions. Encore faut-il poser les bonnes.

Notre bassin de personnes ressources est limité en Saskatchewan. Oui il faut surveiller les conflits réels, car il peut y en avoir. Mais si nous commençons à en voir partout, nous allons démotiver bien des gens et nous priver de compétences essentielles. Et c’est le manque d’intérêt qui va prévaloir.

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Jean-Pierre Picard

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 - Thursday 27 June 2024