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AGA 2024 de la CPF
Une nouvelle garderie francophone en milieu familial à Regina

Une nouvelle garderie francophone en milieu familial à Regina

Les Bout'Choux DayCare

Les places en garderie sont rares, on le sait, et le nombre de garderies elles-mêmes est limité. C’est donc une inauguration bienvenue pour la communauté que celle de la garderie familiale francophone Bout’Choux Day Care de madame Saida Chehaima, qui a eu lieu, samedi 14 juin, au 22 Hyland Crescent à Regina. 

Thursday, June 19, 2014/Author: Alexandre Daubisse (EV)/Number of views (36934)/Comments ()/
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Le public visite le Pavillon secondaire des Quatre Vents

Le public visite le Pavillon secondaire des Quatre Vents

Les élèves en vedette

C’est sous le thème « Arts et spectacle » que s’est déroulée le vendredi 13 juin dernier cette soirée ouverte au public, organisée conjointement avec l’Association canadienne-française de Regina (ACFR). Avec une formule « cocktail », les visiteurs étaient invités à grignoter tout en contemplant différentes réalisations des élèves du Pavillon secondaire des Quatre Vents (PSQV) de l’école Monseigneur de Laval à Regina. Les élèves de 10e année du cours de gestion financière étaient également sur place pour vendre des rafraîchissements.

Thursday, June 19, 2014/Author: Stéphanie Alain/Number of views (34842)/Comments ()/
Tags: PSQV
Urgence français

Urgence français

au Pavillon secondaire des Quatre Vents

C’est appuyé des rires du public de la salle que les membres de la troupe de théâtre du Pavillon secondaire des Quatre Vents (PSQV), de l’école Monseigneur de Laval à Regina, ont présenté cette pièce originale. 

Thursday, June 19, 2014/Author: Stéphanie Alain/Number of views (28303)/Comments ()/
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Le CÉF fait le point sur vérification provinciale de sa situation financière

Le CÉF fait le point sur vérification provinciale de sa situation financière

Lettre du président du Conseil scolaire fransaskois

Dans une lettre adressée aux parents, employés et partenaires communautaires, le président du Conseil scolaire fransaskois fait le point sur les récents développements dans le dossier scolaire: la cérification provinciale de la situation financière et certains énoncés diffusés dans les médias

Friday, June 13, 2014/Author: Conseil des écoles fransaskoises/Number of views (22943)/Comments ()/
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Ça prend tout un village, vous dites?

Dommage que Kafka ne soit plus de ce monde. Il aurait trouvé la situation de la gestion scolaire fransaskoise plutôt inspirante. La semaine dernière, le LeaderPost de Regina a rapporté que le ministre de l’Éducation se dit profondément préoccupé du retard de la paie du personnel enseignant du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). 

Thursday, June 12, 2014/Author: Jean-Pierre Picard/Number of views (26086)/Comments ()/
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Ça sautait, ça courait et ça lançait lors des derniers jeux du CÉF...

Ça sautait, ça courait et ça lançait lors des derniers jeux du CÉF...

Jeudi 5 et vendredi 6 juin derniers, à Prince Albert, ça grouillait d’activité sportive lors des derniers jeux d’athlétisme pour les élèves de la 7e à la 12e année faisant partie du Conseil des écoles fransaskois (CÉF).

Thursday, June 12, 2014/Author: Claude Martel/Number of views (29104)/Comments ()/
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Les élèves de l'école Boréale relèvent le Grand défi Pierre Lavoie

Les élèves de l'école Boréale relèvent le Grand défi Pierre Lavoie

Les élèves de dix écoles élémentaires fransaskoises participent au programme « Lève-toi et bouge ».  Le but de ce programme est de faire des activités physiques propres à stimuler leur rythme cardiaque et à promouvoir une saine alimentation. L’effort de chacun se mesure en « cubes-énergie », une unité de mesure inventée spécialement pour cette compétition. Dans sa plus simple expression, le cube-énergie égale 15 minutes d’activité.

Thursday, June 12, 2014/Author: Laurent Desrosiers/Number of views (27051)/Comments ()/
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Radisson... Allez! Tasse-toi...

Radisson... Allez! Tasse-toi...

Mardi 3 et mercredi 4 juin derniers, avait lieu la foire provinciale du patrimoine à la maison du lieutenant-gouverneur de la Saskatchewan. Cet endroit est le pied-à-terre de sa majesté, la reine Élizabeth II de l’Angleterre, lorsqu’elle et son mari viennent faire un tour dans notre coin de pays.

Thursday, June 12, 2014/Author: Claude Martel/Number of views (25424)/Comments ()/
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Nikolas Gélinas : Récit d’une réussite

Nikolas se dit fier d’avoir remporté le prix de la Pensée historique. Il peut l’être. Derrière ce prix, ce sont des dizaines d’heures de recherches et un investissement total dans un projet.

Thursday, June 12, 2014/Author: Alexandre Daubisse (EV)/Number of views (23627)/Comments ()/
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Réalisation d’une murale au Pavillon secondaire des Quatre Vents

Réalisation d’une murale au Pavillon secondaire des Quatre Vents

Cette murale est le fruit d’un projet pluridisciplinaire Génie-arts, qui réunit éducation artistique, sciences humaines et français en 8e année. Au cours du deuxième semestre, les élèves ont produit une murale, un texte de création littéraire et un travail de recherche afin de répondre à la question : « Quel est le vécu et l’héritage des Fransaskois dans le patrimoine canadien à travers le temps? ». 

Thursday, June 12, 2014/Author: Alexandre Daubisse (EV)/Number of views (29347)/Comments ()/
Tags: PSQV
Juges unilingues à la foire du patrimoine

Juges unilingues à la foire du patrimoine

Les Francophones ont-ils toutes leurs chances?

La phase finale des foires du patrimoine 2014 a eu lieu les mardi et mercredi, 3 et 4 juin derniers, à la Maison du Gouverneur. Plusieurs projets francophones étaient en lice pour la finale provinciale, mais une seule juge bilingue était présente, ce qui a contraint le candidat des écoles du CÉF, dont le projet était en français, d’improviser une présentation en anglais pour défendre ses chances. Pourquoi?

Thursday, June 12, 2014/Author: Alexandre Daubisse (EV)/Number of views (27613)/Comments ()/
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Fête des finissants à Zenon Park

Fête des finissants à Zenon Park

Briller dans le monde comme l’étoile dans la nuit

C’était le 24 mai dernier, une fête extraordinaire pour des finissants extraordinaires. Après 12 ans de scolarité, familles et amis étaient réunis afin de célébrer leur succès, leur engagement, les projets et les rêves de Karie-Anne Lépine, Wiliam Arty et Andréa Perrault.

Thursday, June 12, 2014/Author: Amy-Valérie Olivier – CÉF/Number of views (28190)/Comments ()/
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Un groupe de parent réclame du sang neuf au CSF

Entretien avec Alpha Barry du regroupement des parents anciennement silencieux

Selon Alpha Barry, les parents anciennement silencieux comptent 105 membres à Regina, Saskatoon, Ponteix, Gravelbourg et Moose Jaw et sont de plus en plus nombreux. Les membres sont les parents et grands-parents des clients et futurs clients du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).

Thursday, June 12, 2014/Author: Alexandre Daubisse (EV)/Number of views (25322)/Comments ()/
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Francine Proulx-Kenzle se prononce sur la situation du CSF

Il faut dialoguer et rétablir la confiance

Comme mamie fransaskoise, je suis très inquiète pour l’avenir de l’éducation en français dans notre communauté. Je reconnais que les défis sont nombreux et importants. Comment faire pour les relever?

Wednesday, June 11, 2014/Author: Francine Proulx-Kenzle/Number of views (19217)/Comments ()/
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Récital de musique à l’école Providence de Vonda

Récital de musique à l’école Providence de Vonda

À la veille de la fin de l’année scolaire, des élèves de l’école Providence de la prématernelle à la 6e année ont offert un spectacle de très grande qualité à un public venu nombreux.

Wednesday, June 11, 2014/Author: Abdoul Sall – ACFT/Number of views (26415)/Comments ()/
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Ancien réfugié, Santos Ramos a trouvé son havre de paix à Prince Albert

Ancien réfugié, Santos Ramos a trouvé son havre de paix à Prince Albert

Author: Lucas Pilleri/Saturday, March 14, 2020/Categories: 2020, Société, Immigration

PRINCE ALBERT - Santos Ramos a fui un pays en guerre pour trouver la paix et la liberté au Canada. Du Salvador à Prince Albert en Saskatchewan, il a quitté la chaleur tropicale pour le froid des Prairies. Mais, comme pour beaucoup de réfugiés, sa vie aura connu un nouveau départ.

Le parcours de Santos Ramos est atypique. Né au Salvador, il est arrivé en Saskatchewan en 1990 à l’âge de 35 ans. S’il a quitté son pays natal, c’est qu’il n’avait pas le choix. « C’était la guerre civile. Je suis parti au Guatemala dans les années 1980. Puis j’ai pu faire une demande depuis le Guatemala pour venir au Canada », raconte-t-il.

Canada, Suède, Australie : Santos a considéré plusieurs options pour s’évader de son pays en crise. Il atterrira finalement à Prince Albert en Saskatchewan, où il rencontrera son épouse, Sylvie Charpentier. Il y passera un an avant de partir en Alberta, puis à Montréal où il restera 11 ans. Ce sera l’occasion pour lui d’apprendre le français. « J’aime beaucoup la langue française », répète-t-il plusieurs fois. Il revient en Saskatchewan en 2003, toujours à Prince Albert, où il vit depuis avec sa compagne et ses enfants.

Une nouvelle vie

Comme pour beaucoup de réfugiés, le Canada a changé la vie de Santos Ramos. « Le Canada m’a apporté la paix », dit-il. À ses enfants, il raconte parfois l’histoire de ses origines : « Je leur explique ma situation là-bas et ils comprennent. » Il est d’ailleurs déjà retourné au Salvador avec son épouse et sa fille pour rendre visite à sa mère. « Ma fille était contente parce que tous les fruits étaient par terre, comme les mangues, les bananes, les papayes, les ananas… »

S’il travaille aujourd’hui pour Superstore, l’un de ses passe-temps favoris est la photographie. Il aime prendre des clichés d’expositions dans la bibliothèque de Prince Albert et couvrir les événements de la francophonie locale. Sa femme travaille d’ailleurs à la Société canadienne-française de Prince Albert. Son travail de photographe aide ainsi à la visibilité de l’organisme : « J’aime que tout le monde connaisse la Société française. Tout le monde voit mes photos sur Facebook », se réjouit-il.

Cette passion est aussi l’occasion pour lui de côtoyer les Fransaskois de sa région. « J’aime beaucoup pratiquer mon français avec tout le monde. Au Superstore, je travaille avec beaucoup de clients d’Afrique qui parlent français », indique Santos.

Le photographe prend part à de nombreuses activités communautaires en français. « On va voir des films français à la bibliothèque et, chaque mois, un vendredi, il y a un 5 à 7. Je me sens bien dans cette communauté. Il y a beaucoup d’histoire avec Batoche et Louis Riel, et j’aime beaucoup parler le français », dit-il.

Au fil des ans, Santos est devenu l’un des défenseurs du fait français : « Je veux que tout le monde s’intéresse à la langue française et à l’histoire. Les francophones ont beaucoup souffert. J’aimerais que ce soit une société avec de l’égalité dans le langage, que tout le monde ait les mêmes opportunités », avance-t-il.

L’amour des langues

Si la langue française revêt un caractère particulier pour Santos, ce n’est pas la seule qu’il côtoie. « Ma fille parle quatre langues et mon garçon en parle trois », précise-t-il avec fierté. Sa fille de 26 ans parle espagnol, anglais, français, allemand et italien. Son fils de 12 ans, lui, parle français, anglais et pratique l’espagnol. Tous deux ont suivi l’école en français et le petit dernier est en immersion à l’école Sainte-Anne à Prince Albert, un choix d’éducation important pour Santos : « Le monde est plus ouvert quand on parle différentes langues », estime-t-il.

La famille de Ramos fait ainsi partie de ces familles qui manient plusieurs langues à la maison : « Je parle espagnol avec mes enfants et ma femme. Mes enfants parlent anglais et ma femme parle français », explique-t-il.

Santos enseigne lui-même sa langue natale, l’espagnol, depuis plusieurs années au centre culturel de Prince Albert. « Il y a beaucoup de monde qui vient dans mes classes, se réjouit-il. Des avocats, des professeurs, des infirmiers. » Jusqu’à une quinzaine de personnes assistent à ses cours inspirés par sa culture natale. « J’utilise de la musique espagnole », ajoute-t-il, heureux de pouvoir partager des pans de la culture salvadorienne.

Santos a encore un oncle de 99 ans qui vit au Salvador. Si la distance avec la famille restée au pays est toujours un défi, il ne regrette pas son départ. Car c’est à Prince Albert qu’il a trouvé son havre de paix. Et côté températures, la chaleur tropicale troquée pour l’hiver des Prairies ne le dérange pas : « L’humain s’adapte à n’importe quoi ! », lance-t-il.

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Lucas Pilleri

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 - Thursday 26 September 2024