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Mot du directeur général du CEF

Mot du directeur général du CEF

Mot du directeur général du CEF.

Wednesday, July 5, 2023/Author: Conseil des écoles fransaskoises/Number of views (6941)/Comments ()/
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École St-Isidore

École St-Isidore

École St-Isidore

Monday, July 3, 2023/Author: Conseil des écoles fransaskoises/Number of views (6667)/Comments ()/
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École Notre-Dame-des-Vertus

École Notre-Dame-des-Vertus

Bravo aux élèves de NDV pour les belles chansons à la fête de la Saint-Jean-Baptiste à Zénon Park. 

Monday, July 3, 2023/Author: Conseil des écoles fransaskoises/Number of views (6834)/Comments ()/
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École Père-Mercure

École Père-Mercure

Nos élèves et la communauté se sont rassemblés pour souligner la fin de l'année avec un dîner BBQ et une après-midi de jeux. Merci à tous les parents et membres du personnel qui ont aidé à l'organisation !

Monday, July 3, 2023/Author: Conseil des écoles fransaskoises/Number of views (6431)/Comments ()/
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École de Bellegarde

École de Bellegarde

Le mois de juin a été rempli d’activités !

Monday, July 3, 2023/Author: Conseil des écoles fransaskoises/Number of views (5006)/Comments ()/
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Dans nos écoles 25 mai au 7 juin 2023

Dans nos écoles 25 mai au 7 juin 2023

Dans nos écoles 25 mai au 7 juin 2023.

Tuesday, June 6, 2023/Author: Conseil des écoles fransaskoises/Number of views (5431)/Comments ()/
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Dans nos écoles 11 au 24 mai 2023

Dans nos écoles 11 au 24 mai 2023

Dans nos écoles 11 au 24 mai 2023.

Tuesday, May 23, 2023/Author: Marie-Lou Bernatchez/Number of views (4274)/Comments ()/
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Le postsecondaire en français grand perdant du Plan d’action pour les langues officielles

Le postsecondaire en français grand perdant du Plan d’action pour les langues officielles

Ottawa investit 4,1 milliards de dollars dans le Plan d’action pour les langues officielles 2023-2028. Si de nouveaux investissements sont prévus notamment en immigration, en immersion et en petite enfance, le gouvernement libéral a brisé sa promesse électorale de financer le postsecondaire en français de manière permanente à raison de 80 millions de dollars par an.

Tuesday, May 16, 2023/Author: Inès Lombardo — Francopresse /Number of views (6075)/Comments ()/
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Voyages du CÉF à l’international : « un énorme retour sur investissement »

Voyages du CÉF à l’international : « un énorme retour sur investissement »

Fin avril, une délégation du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) s’est rendue au Burundi et au Niger sous la houlette de son directeur général Ronald Ajavon en vue d’établir des partenariats avec les autorités locales. Certaines personnes de la communauté ont critiqué les dépenses encourues, estimant que le CÉF devrait se focaliser sur d’autres priorités plus locales. Monsieur Ajavon clarifie sa démarche.

Friday, May 12, 2023/Author: Lucas Pilleri/Number of views (7854)/Comments ()/
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Message du directeur général du CÉF

Message du directeur général du CÉF

Message du directeur général du CÉF.

Thursday, May 11, 2023/Author: Conseil des écoles fransaskoises/Number of views (4417)/Comments ()/
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ÉCOLE DE BELLEGARDE

ÉCOLE DE BELLEGARDE

ÉCOLE DE BELLEGARDE.

Thursday, April 27, 2023/Author: Conseil des écoles fransaskoises/Number of views (4625)/Comments ()/
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Message du directeur général du CÉF

Message du directeur général du CÉF

Message du directeur général du CÉF.

Thursday, April 27, 2023/Author: Conseil des écoles fransaskoises/Number of views (3945)/Comments ()/
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Gard’Amis, une garderie en pleine croissance

Gard’Amis, une garderie en pleine croissance

Le Centre éducatif Gard’Amis, à Regina, dessert la petite enfance depuis 1987. Première garderie francophone de la province, cette coopérative à but non lucratif a même commencé à acquérir des propriétés en 2017 pour répondre aux besoins toujours croissants des familles fransaskoises.

Thursday, April 27, 2023/Author: Sarah Vennes-Ouellet – IJL-Réseau.Presse/Number of views (6951)/Comments ()/
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Des Fransaskois étudieront les relations publiques à La Cité à Toronto

Des Fransaskois étudieront les relations publiques à La Cité à Toronto

Après une entente signée le 5 avril, des étudiants du Collège Mathieu auront accès dès septembre prochain au programme de Relations publiques de deux ans du Collège La Cité à Toronto.

Tuesday, April 18, 2023/Author: François Bergeron (L’Express)/Number of views (6767)/Comments ()/
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L’enseignement de demain sera-t-il « dialogique » ?

L’enseignement de demain sera-t-il « dialogique » ?

Précurseur et prêcheur de l’approche dialogique en enseignement depuis 36 ans, le professeur Norman Cornett était l’invité d’honneur d’une discussion à la Cité francophone de l’Université de Regina les 28 et 29 mars. L’événement, ouvert au public, a soulevé des échanges de fond entre les membres du personnel enseignant et les étudiants.

Saturday, April 15, 2023/Author: Marie-Lou Bernatchez/Number of views (6675)/Comments ()/
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Les médias communautaires francophones devant des experts en Belgique

Author: Marie-Josée Charrier — Collaboration spéciale/Saturday, October 8, 2022/Categories: Communication, Société, Francophonie, International

COLLABORATION SPÉCIALE – Malgré la perception que les médias traditionnels en milieu minoritaire perdent du terrain, ils demeurent l’outil de choix lorsque les droits des francophones hors Québec sont attaqués. Quatre journalistes membres de Réseau.Presse ont souligné cette réalité lors d’un colloque sur les minorités linguistiques à l’Université de Mons, en Belgique.

«Quand il y a des crises, les journaux acadiens indépendants, comme l’Acadie Nouvelle, deviennent le véhicule à travers lequel se retrouvent les personnes qui vont se battre pour protéger leur droit à l’éducation dans leur langue», explique François Gravel, éditorialiste à l’Acadie Nouvelle lors du colloque qui s’est tenu les 1er et 2 septembre.

Le journal Le Voyageur de Sudbury a été témoin de cet effet de ralliement récemment lorsque l’Université Laurentienne, un établissement bilingue, a éliminé de nombreux emplois et presque la moitié de ses programmes en langue française.

«Le Voyageur est devenu le champ de bataille des francophones contre l’université», lance Julien Cayouette, directeur de l’information du journal. «On recevait des courriers des lecteurs — parfois plusieurs par semaine — qu’on se devait de publier […] et l’université, qui était avare de commentaires, répondait dans le journal aussi.»

Le rôle des médias dans les luttes scolaires

Le cas du Voyageur n’est pas unique.

En 1913, le quotidien Le Droit a été fondé à Ottawa en réaction au Règlement 17 en Ontario qui interdisait l’enseignement du français dans les écoles après la 2e année. Soixante ans plus tard, en 1972, Le Voyageur suivait la crise de Sturgeon Falls. Toujours en Ontario, dans la région de la baie Georgienne, Le Goût de vivre s’était largement engagé dans la lutte pour l’école de la Résistance à Penetanguishene en 1979.

Les luttes étaient souvent livrées contre les autorités gouvernementales, mais ces dernières avaient parfois des alliés surprenants, comme en Saskatchewan où le gouvernement Anderson, aidé par le Ku Klux Klan (KKK), a pris le pouvoir à la fin des années 1920. Peu de temps après son élection, il a aboli l’enseignement du français dans les écoles. À cette époque, les membres du KKK de la province ciblaient les francophones majoritairement catholiques, mais minoritaires par rapport aux anglophones protestants.

«Il y a une génération qui a été très heurtée par l’action du KKK et du gouvernement […]. Aujourd’hui, la Saskatchewan compte 15 écoles primaires et secondaires et 2 institutions postsecondaires. C’est énorme pour la communauté qui est en train de se reconstruire grâce à ça», rappelle Érik Tremblay, directeur général de L’Eau vive.

Se donner des outils pour demeurer objectif

«C’est grand le Canada, c’est étendu, mais mon Dieu que c’est petit la francophonie canadienne! Tout le monde se connait d’une façon ou d’une autre», affirme Mélanie Tremblay, rédactrice en chef de Francopresse.

«Le milieu scolaire est souvent partenaire de nos journaux : les gens veulent se voir, veulent se lire, savoir ce qui se passe […], mais quand vient le temps de critiquer ces gens-là, on doit avoir des outils en place», précise Mélanie Tremblay.

Pour cette raison et pour éviter que les journaux en milieu minoritaire deviennent des porte-paroles serviles des organismes francophones, Réseau.Presse a créé la Charte de la presse écrite de langue française en situation minoritaire au Canada.

L’objectivité reste parfois un vœu pieux en milieu minoritaire, concède Érik Tremblay. «Nous, on vit de Patrimoine canadien qui nous donne le tiers de notre budget, de partenaires qui nous donnent un autre tiers de notre budget, et le troisième tiers arrive, si ça va bien, avec les publicités», explique-t-il.

Il avoue que «c’est sûr qu’on est très sensibles, et on DOIT tenir compte des partenaires et des fois, si on critique un peu, si on avance vers là, il y a des limites qui sont là partout. C’est un terrain miné».    

La situation est un peu différente à l’Acadie Nouvelle, qui génère plus de revenus publicitaires. «On n’a pas cette même relation-là, une dépendance avec certaines organisations [mais] on a fait le choix, il y a longtemps, de ne pas se contenter d’être un simple portevoix de la population. Il faut aller plus loin que ça», souligne l’éditorialiste du journal, François Gravel.

Militer par des éditoriaux

Rémi Léger, animateur du panel sur le rôle des médias communautaires dans les luttes scolaires au colloque de Mons et professeur à l’Université Simon-Fraser en Colombie-Britannique, demande si «un journaliste peut se permettre de basculer dans le militantisme pour défendre sa communauté».

Julien Cayouette répond que, dans la section éditoriale de son journal, il se permet d’être critique et de prendre position, tout en indiquant clairement qu’il s’agit d’une opinion. Il précise par contre que les textes journalistiques doivent être objectifs et présenter différents points de vue.

Même son de cloche à l’Acadie Nouvelle. Les journalistes doivent faire preuve de neutralité, mais l’éditorial offre une certaine souplesse. «Il est possible d’y prendre position, de montrer du doigt le gouvernement, les organisations, de dénoncer, de prendre la parole au nom des lecteurs pour certaines choses ou contre d’autres», soutient François Gravel, tout en rappelant que le journal a comme politique de promouvoir et de défendre les droits de la communauté acadienne.

Frontières de plus en plus floues

La question des relations entre le Québec et les minorités francophones au Canada est revenue à quelques reprises lors du colloque, notamment du point de vue de la représentation du Québec dans les médias francophones au pays.

«Francopresse traite des enjeux politiques québécois qui peuvent intéresser les francophones hors Québec», assure Mélanie Tremblay. Elle ajoute que bon nombre de lecteurs de Francopresse sont Québécois, un phénomène qui s’observe aussi en Saskatchewan, où Érik Tremblay note que 30 % de son lectorat provient du Québec.

Il ajoute qu’avec la publication en ligne des journaux, les frontières deviennent poreuses : «On peut rejoindre des lecteurs hors de nos régions […] Le Web fait en sorte que notre contenu voyage plus.».

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Francopresse

Marie-Josée Charrier — Collaboration spéciale

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