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Festival fransaskois 2024
Rencontre entre le Collège Mathieu et le ministre Doherty

Rencontre entre le Collège Mathieu et le ministre Doherty

Le 6 novembre dernier, des représentants du Collège Mathieu se sont rendus à Regina où ils ont rencontré le Ministre de l’Enseignement supérieur, Kevin Doherty, à son bureau du Palais législatif. La délégation était composée du président Réal Forest, du vice président René Archambault ainsi que du directeur général Francis Kasongo.

Thursday, November 27, 2014/Author: Jean-Pierre Picard/Number of views (27659)/Comments ()/
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Programmes d’échanges linguistiques : Let’s discover Canada!

Programmes d’échanges linguistiques : Let’s discover Canada!

Kelly Larkin Conway est la nouvelle agente de promotion des programmes de langues officielles proposés par le gouvernement de la Saskatchewan. Cette nouvelle recrue vient renforcer les rangs du personnel bilingue du gouvernement provincial. 

Thursday, November 20, 2014/Author: Alexandra Drame (EV)/Number of views (26599)/Comments ()/
Categories: 2014Éducation
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Robert Craig, lauréat du prix Prix Alpha Sask

Robert Craig, lauréat du prix Prix Alpha Sask

Grâce à la communauté fransaskoise j’ai pu garder mon français

Cette année, le prix Alpha Sask récompensait un texte répondant à la thématique Pourquoi avez-vous décidé d’apprendre le français? C’est totalement par hasard que Robert Craig est tombé sur l’affiche du concours, pendant sa pause café. C’était le dernier jour pour envoyer les textes. Il a décidé de tenter sa chance. En effet, il avait bien des choses à dire sur son histoire d’amour avec le français.

Thursday, November 20, 2014/Author: Alexandra Drame (EV)/Number of views (26557)/Comments ()/
Parents et petits à Prince Albert

Parents et petits à Prince Albert

Des activités ludiques... en français!

Si vous vous promenez du côté de la bibliothèque John M. Cuelenaere à Prince Albert, le samedi matin vers 10 h, vous assisterez à  la venue d’une joyeuse troupe mêlant parents et enfants et ayant pour but la découverte du français de façon amusante.

Thursday, November 20, 2014/Author: Ahmed Hassan (EV)/Number of views (30949)/Comments ()/
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École St-Isidore : de bonnes raisons pour se réjouir

École St-Isidore : de bonnes raisons pour se réjouir

Terry Gaudet nommé l’entraîneur de performance masculine de l’année par l’Association de Volleyball de la Saskatchewan.

À l’École St-Isidore, il y a cette année bien des raisons de se réjouir. On vient de mettre la dernière touche au plancher tout neuf du gymnase, un sol de sport Pulastic. Cette nouvelle acquisition arrive à point nommé. En effet, l’école et la communauté de Bellevue, en collaboration avec la communauté de Wakaw, seront les hôtes du tournoi de volleyball de la ligue provinciale masculine 3A de la Saskatchewan High School Athletics Association (SHSAA) 

Thursday, November 20, 2014/Author: Jennie Baudais (CÉF)/Number of views (33290)/Comments ()/
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Les jeunes s’emparent du Parlement

Les jeunes s’emparent du Parlement

REGINA - Le Parlement franco-canadien du Nord et de l'Ouest (PFCNO) se déroule chaque année et rassemble les jeunes francophones des provinces du Nord et de l'Ouest du Canada. Cet évènement national donne la chance aux jeunes qui ont entre 16 et 25 ans de donner leur propre avis à propos des politiques adoptées par le Parlement officiel et, bien sûr, de se faire plein d’amis.

Thursday, November 13, 2014/Author: Anonym/Number of views (32670)/Comments ()/
Pour une éducation fransaskoise de la pré-maternelle à l’université

Pour une éducation fransaskoise de la pré-maternelle à l’université

L'éducation au coeur des discussions au Rendez-vous fransaskois 2014

SASKATOON - Cette année, l’édition 2014 du Rendez-vous fransaskois se déroulait à Saskatoon sous le thème de l’éducation. En ouverture, samedi le 8 novembre, la présidente nouvellement réélue de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), Françoise Sigur-Cloutier, a rappelé l’importance de cette thématique. Ainsi, selon elle, ‘’toute la valeur de notre communauté dépend de cette cause’’

Wednesday, November 12, 2014/Author: Arnaud Decroix/Number of views (31706)/Comments ()/
Tags: RVF 2014

Postsecondaire : petit voyage dans le temps

Au Rendez-vous fransaskois, le kiosque de l’Eau vive permettait de faire un petit voyage dans le temps en se promenant dans les albums de l’hebdomadaire des 30 dernières années. Les gens s’amusaient à regarder les photos des membres de la communauté à une époque où les cheveux étaient plus foncés ou plus fournis.

Wednesday, November 12, 2014/Author: Jean-Pierre Picard/Number of views (25823)/Comments ()/
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Mais que font les professeurs quand ils ne sont pas en classe?

Mais que font les professeurs quand ils ne sont pas en classe?

Congrès annuel de l’Association des professeurs de français de la Saskatchewan (APFS)

Quand vous regardez le calendrier scolaire de votre enfant, vous voyez toutes ces journées mystérieuses : perfectionnement professionnel, session de planification, conventions... Et je suis sûre que vous vous demandez ce que ce font les enseignants au lieu d’être en classe avec votre enfant. 

Thursday, November 6, 2014/Author: Alexandra Drame (EV)/Number of views (27680)/Comments ()/
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L’École Valois à l’heure de l’Halloween

L’École Valois à l’heure de l’Halloween

PRINCE ALBERT - Sous les yeux du Père Valois, le fondateur de la seule école francophone de Prince Albert, et avec l’accord de M. RIVARD, directeur des lieux, les chaises, les tables et les enfants studieux ont laissé place à des locataires d’un soir à savoir des fantômes, des animaux de la nuit, des toiles d’araignée et beaucoup d’autres personnages.

Thursday, November 6, 2014/Author: Ahmed Hassan Farah (EV)/Number of views (28284)/Comments ()/
« Ne pas perdre ma langue! »

« Ne pas perdre ma langue! »

Jamie Gignac de Vonda au Campus St-Jean

Il y a deux ans, la Fransaskoise Jamie Gignac, alors élève de 12e année à l’école Providence de Vonda, s’est retrouvée devant un dilemme : quoi faire au terme de ses études secondaires? « J’ai changé d’idée au moins cinq fois en cours d’année », avoue candidement la jeune femme. 
Wednesday, October 29, 2014/Author: Étienne Alary/Number of views (30905)/Comments ()/
Mgr de Laval lutte contre la faim, avec enthousiasme

Mgr de Laval lutte contre la faim, avec enthousiasme

Certains auront du mal à y croire. « La faim existe au Canada »1, qui fait partie des 10 pays les plus riches de la planète. Les élèves de l'école Mgr de Laval de Regina ont décidé de faire quelque chose.

Wednesday, October 22, 2014/Author: Luc Bengono/Number of views (28484)/Comments ()/
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Congrès annuel du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada (RCCFC)

Congrès annuel du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada (RCCFC)

François Kasongo élu représentant de l'Ouest au conseil d'administration

Plus de 85 personnes, présidences des collèges, directions générales, directions des études et de la formation continue, ainsi que de nombreux partenaires, ont participé encore une fois au congrès annuel du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada (RCCFC) qui s’est tenu les 2 et 3 octobre derniers à Ottawa sous l’égide de La Cité. 

Wednesday, October 22, 2014/Author: Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada (RCCFC)/Number of views (29061)/Comments ()/
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Congrès de la Fédération nationale des conseils scolaires francophones

Congrès de la Fédération nationale des conseils scolaires francophones

La Fédération nationale des conseils scolaires francophones (FNCSF) représentant environ 150 000 élèves de langue française répartis dans plus de 640 écoles partout au pays tenait son congrès annuel sur le thème du démarchage, à Niagara Falls, du 16 au 18 octobre.

Wednesday, October 22, 2014/Author: L'Eau vive/Number of views (29553)/Comments ()/
Categories: Éducation
Tags: FNCSF
Émile Fortier: Comme une grande famille!

Émile Fortier: Comme une grande famille!

Un fransaskois au Campus St-Jean d'Edmonton

EDMONTON - Avec ses 750 étudiants, le Campus Saint-Jean est considéré comme un petit établissement au sein de l’Université de l’Alberta qui accueille chaque année près de 30 000 étudiants.

Wednesday, October 22, 2014/Author: Étienne Alary/Number of views (29972)/Comments ()/
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Entrevue avec Roger Gauthier

Author: Jean-Pierre Picard/Wednesday, February 28, 2018/Categories: 2018, ACF - Assemblée communautaire fransaskoise, Communautaire

Roger Gauthier

Roger Gauthier

Photo: courtoisie
Pendant plus de trente ans, Roger Gauthier a dirigé plusieurs organismes fransaskois et nationaux dans les domaines de l’éducation, de la santé et de la jeunesse. Lorsqu’en 2017 il a annoncé sa retraite de la direction du Réseau Santé en français, il avait déclaré qu’il prévoyait « continuer à s’impliquer au sein de la francophonie de la province ». Il a tenu parole, et vient tout juste d’être assermenté comme nouveau président de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF). L’Eau vive s’est entretenue avec lui.

L’Eau vive : Qu’est-ce qui vous a motivé à solliciter la présidence de l’ACF, plutôt que de savourer tranquillement une retraite bien méritée ?
Roger Gauthier : J’ai toujours été engagé dans le bénévolat dans plusieurs organisations. Donner à un groupe, à ma communauté, c’est fondamental pour moi. Avec toute l’expérience et les compétences que j’ai acquises professionnellement, je voyais que la présidence de l’ACF me permettait d’apporter beaucoup de choses à la communauté.

EV : Et les premières impressions, une fois en place ?
RG : L’ACF, c’est un défi beaucoup plus grand que ce à quoi je m’attendais. Maintenant que je suis dans les souliers de la présidence, je vois que c’est très exigeant en termes de temps et de compréhension des dossiers à approfondir. Quand j’étais directeur de divers organismes, j’étais à l’affût de certains dossiers en particulier. Mais à la présidence de l’ACF, on doit avoir un regard sur l’ensemble des dossiers. Je ne m’attendais pas à l’ampleur de la chose, mais je dois dire que je trouve cela fabuleusement intéressant.

L’ACF a une assiette remplie à pleine capacité. Je regarde mon calendrier et je constate que je suis en train d’être réactif, et ça m’inquiète. Je suis d’un tempérament où je veux être proactif. Il faut que je commence à regarder les priorités que je veux faire avancer les choses et m’assurer que ça va bouger.

EV : L’ACF offre des services directs aux citoyens. Avec son assiette pleine, l’ACF ne devrait-elle pas remettre ces services à d’autres organismes et mettre plutôt l’accent sur son rôle de porte-parole de la communauté et de coordination du développement communautaire ?
RG : Au cours des dernières années, le gouvernement a obligé les associations à aller dans le domaine des services pour obtenir du financement. Les organismes qui n’ont pas réussi à s’aligner sur les services ont eu de la difficulté à survivre. On sait qu’il va y avoir des changements dans le Plan d’action pour les langues officielles.

Si on peut se resituer, moi je suis extrêmement ouvert à ce qu’on puisse revoir tout ça et se concentrer sur le rôle politique de l’ACF comme organisme porte-parole.

C’est possible qu’il y ait un transfert de dossiers à d’autres organismes, mais il y aura une transition à faire qui va prendre un certain temps. L’ACF fait un bon travail en ce moment avec les dossiers qui sont entre ses mains, comme le Camp Voyageur. Qui peut prendre ça à pied levé demain matin ? Au niveau de la qualité des services offerts en ce moment, il y a une crédibilité qui est là dans les démarches et les représentations qui sont faites auprès des gouvernements dans ces dossiers. Si on fait des transferts, il faut que cette crédibilité demeure.

EV : Quelles sont les priorités pour les prochaines années ?
RG : L’éducation est la priorité numéro un. On va travailler de façon stratégique et politique car c’est un domaine très large, qui va de la petite enfance au postsecondaire et qui englobe les écoles fransaskoises, l’immersion, le Core French. Il y a aussi la formation professionnelle et l’éducation continue. Il faut voir comment on crée des compétences au niveau de la communauté pour être capable d’avoir des ressources humaines qui vont nous donner les résultats qu’on veut en termes de développement.

Une autre priorité est la gouvernance de l’ACF. On reconnaît l’importance de regarder cette question, de voir comment on peut établir des règles qui vont permettre un accès démocratique et de bonnes relations avec les institutions et les autres organismes.

EV : La contestation des résultats de l’élection communautaire à Saskatoon a provoqué des tensions et des débordements avec des accusations de racisme et d’intolérance. Que faire pour désamorcer ces tensions ?
RG : C’est une question délicate et je ne voudrais pas redémarrer une polémique là-dessus. Mais ça m’amène à une troisième priorité, qui est  la question de la concertation, de l’inclusion et du rapprochement.

Il y a eu une tendance, récemment, de dire qu’il y avait une cassure entre la communauté fransaskoise de souche et les nouveaux arrivants. Je trouve que ce n’est pas réel. Oui, il y a eu des tensions, mais ce ne sont pas des divisions. On a à se rapprocher et à s’entendre. Il faut que les membres de la communauté d’accueil apprennent à connaître la réalité des gens qui viennent d’une autre culture et voir comment cette connaissance peut faciliter un rapprochement. Mais on veut aussi que les nouveaux arrivants se rapprochent de la communauté d’accueil et qu’ils soient conscients de sa façon de fonctionner.

Il y a une tendance à dire « c’est aux nouveaux arrivants de s’intégrer », mais le rapprochement doit se faire des deux côtés. Il est important de comprendre que ces rapprochements se font d’individu à individu. Il faut faire l’effort d’apprendre à se connaître, à se parler, à prendre un repas ensemble. Les vrais amis, on va chez eux et ils viennent chez nous.

EV : Lorsque l’élection a été contestée à Saskatoon, vous aviez proposé que l’ACF tienne une élection complémentaire.
RG : Oui, j’avais suggéré qu’il y ait une élection partielle à Saskatoon ou même qu’il y ait une élection présidentielle dans la province. La commission indépendante et la directrice des élections, selon les règlements actuels, n’avaient pas le mandat ni la capacité d’imposer une élection partielle ou une élection présidentielle. Ils ont posé le geste qu’il fallait pour éliminer les votes irréguliers, faire un recomptage et annoncer qu’il y avait une présidence d’élue. C’est sur cette base que j’ai accepté d’être assermenté comme président. Ma préférence aurait été d’avoir cette fameuse élection partielle dans Saskatoon.

EV : Un recours a été déposé devant la Cour provinciale pour contester le verdict de la commission indépendante et la décision de la directrice des élections, en se basant sur l’argument qu’il n’y a pas eu manipulation du vote.
RG : Je ne questionne pas que les gens puissent vouloir s’organiser et faire ce qu’il faut pour se faire élire. Mais il faut respecter les règles démocratiques qui sont en place et il faut que ces règles soient claires et bien comprises.

L’article 105 (e) du règlement électoral de l’ACF stipule clairement qu’on ne peut « prendre » une enveloppe qui contient un bulletin de vote.  Si des gens veulent aller plus loin pour remettre en question cette notion, ils ont la liberté de le faire. Mais à un moment, il faut arrêter de tourner en rond et on ne peut pas  se paralyser comme association pendant un an. Est-ce qu’on va aller jusqu’en Cour suprême pour régler cette question là ?

EV : Parmi vos priorités, vous avez mentionné la gouvernance de l’ACF. Est-ce que le modèle actuel, qui a été mis en place en 1999, aurait besoin d’être réévalué ?
RG : Avant 1999, le modèle était une représentation d’organismes provinciaux et régionaux dans une espèce de fédération, avec une présidence élue en assemblée générale. Il y avait un consensus pour dire que ça ne fonctionnait plus.

Là, on a une gouvernance basée sur des districts géographiques, avec une présidence élue au suffrage universel.

On a un modèle qui n’est pas si mal et il faut travailler avec ce qu’on a. Mais je vois quelques problèmes. Il y a le fait que, si on regarde le processus électoral, 70 % des électeurs viennent de deux communautés seulement : Saskatoon et Regina. Par rapport au reste de la province, on peut se demander si la représentation est correcte ou pas. On ne veut pas laisser de côté les communautés rurales. Elles veulent une représentation forte car historiquement, elles sont importantes.

L’autre problème est la représentation des groupes d’intérêts. J’aimerais voir comment on peut apporter des améliorations de manière à avoir l’input de groupes qui vont nous aider à prendre les meilleures décisions.

Au cours des dernières semaines, j’ai contacté des dirigeants d’organismes pour établir des liens entre eux et les élus de l’ACF, et les consulter sur le choix des députés communautaires qui seraient en charge de certains secteurs. J’ai ressenti que, pour la première fois, on voulait avoir une liaison avec des députés  avec lesquels on avait une certaine affinité, et que ces députés pourraient être observateurs à leur conseil d’administration. Donc je me dis, c’est pas si mal qu’on puisse avoir cette liaison avec les associations.

EV : Comment voyez-vous la relation d’une association porte-parole face aux autres organismes du réseau associatif ?
RG : Pendant les 35 ans que j’ai travaillé pour des organismes, j’ai défendu bec et ongles leur autonomie. J’ai bien averti l’ensemble des députés communautaires que l’ACF n’allait pas faire d’ingérence dans les dossiers des organismes. Mais je veux qu’on puisse travailler avec eux pour identifier les endroits où on peut les appuyer.

EV : L’ACF n’a pas de liste de membres à proprement parler. Est-ce un élément qui devrait changer ?
RG : e ne veux pas anticiper les résultats de la transformation qu’on va apporter au système de gouvernance, mais je peux voir que ça serait utile d’avoir une liste électorale. Cette liste deviendrait la liste de membres de l’ACF. Il y aurait quand même la possibilité de s’inscrire la journée d’une élection si tu prêtes serment et montres ta carte d’identité.

EV : Malgré les cahots de la dernière élection, quel bilan peut-on faire du système électoral de l’ACF ?
RG : Il y a quand même 1 000 personnes qui sont allées voter. C’est un succès phénoménal au niveau de la participation dans une petite communauté comme la nôtre. Il n’y a aucune des autres provinces qui va ramasser ce nombre de votes pour faire élire sa présidence, pas même l’Ontario. Le règlement électoral, même avec ses défaillances, contenait ce qu’il fallait pour qu’on puisse s’en sortir. On va rectifier, on va améliorer.

Ce qui m’inquiète, par contre, c’est qu’il y a beaucoup de communautés dont les représentants ont été élus par acclamation. Pour bien fonctionner, le processus démocratique veut qu’on puisse avoir des débats et des discussions sur des enjeux pour faire avancer les idées. Pour cela, il faut des candidats.

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Jean-Pierre Picard

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 - Friday 5 July 2024