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 Ateliers d'écriture dans des écoles d'immersion

Ateliers d'écriture dans des écoles d'immersion

Un projet novateur à Debden et Prince Albert

PRINCE ALBERT - La commission scolaire Saskatchewan Rivers Public School Division, située à Prince Albert, accueille un tout premier projet GénieArts sur son territoire. Les écoles Vickers Public School et Debden School sont les hôtes de cette initiative rassembleuse.

Wednesday, March 11, 2015/Author: René Beauparlant (EV)/Number of views (33777)/Comments ()/
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Une fin de semaine à l'enseigne de la petite enfance

Une fin de semaine à l'enseigne de la petite enfance

Les parents et leurs enfants du Centre d’appui à la famille et à l’enfance (CAFE) La Passerelle de Saskatoon se sont réunis le vendredi 6 mars dernier afin de participer à un atelier sur l’éveil à la lecture chez les jeunes enfants. Le lendemain une formation était offerte aux intervenants en petite enfance.

Wednesday, March 11, 2015/Author: Danielle Raymond (EV)/Number of views (27497)/Comments ()/
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Une étape importante pour le postsecondaire francophone en Saskatchewan

SASKATOON - C’est surtout le dossier du postsecondaire qui a retenu l’attention de l’Assemblée des députés communautaires (ADC) de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) lors de sa rencontre à Saskatoon les 6, 7 et 8 mars 2015.

Tuesday, March 10, 2015/Author: Michel Vézina/Number of views (30677)/Comments ()/
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Thursday, March 5, 2015/Author: Frédéric Dupré (Courrier du lecteur)/Number of views (26838)/Comments ()/
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Visite au Carrefour Horizons

Visite au Carrefour Horizons

Le 26 février dernier, les étudiants du Certificat en français langue seconde du Département de français de l’Université de Regina sont venus faire la tournée des organismes fransaskois, logés au Carrefour Horizons de Regina

Thursday, March 5, 2015/Author: Jean-Pierre Picard (EV)/Number of views (28168)/Comments ()/
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Célébration du Mois de l'histoire des Noirs à Mgr de Laval

Célébration du Mois de l'histoire des Noirs à Mgr de Laval

REGINA - Le 27 février 2015, Dans le cadre du Mois de l’histoire des Noirs, une soixantaine d’élèves de l’École Mgr de Laval, à Regina, ont participé à l’organisation d’une journée d’activités sous la gouverne de Mbaye Biteye, enseignant d’origine sénégalaise. 

Thursday, March 5, 2015/Author: L'Eau vive/Number of views (35945)/Comments ()/
Non à l’intimidation

Non à l’intimidation

Journée du Chandail rose à Gravebourg

Le 25 février, les élèves de l’École Beau Soleil et École secondaire Collège Mathieu, à Gravelbourg ont souligné la journée du Chandail rose, visant à lancer un message contre l’intimidation

Thursday, March 5, 2015/Author: L'Eau vive/Number of views (33452)/Comments ()/

Le Conseil des écoles fransaskoises pleure le décès soudain d’un de ses élèves

St-Isidore-de-Bellevue, le 4 mars 2015 - Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) - en particulier la communauté scolaire de l'École St-Isidore à Bellevue - est en deuil suite au décès de l'un de ses étudiants plus tôt aujourd'hui, comme il a été rapporté dans les médias. 

Wednesday, March 4, 2015/Author: Conseil des écoles fransaskoises/Number of views (27766)/Comments ()/
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L’Institut français devient le premier centre officiel de passation des TEF en Saskatchewan

L’Institut français devient le premier centre officiel de passation des TEF en Saskatchewan

L’institut français est devenu le premier établissement en Saskatchewan reconnu par le Centre de langue française de la CCI Paris Ile-de-France, pour administrer le Test d’évaluation de français (TEF). 

Wednesday, March 4, 2015/Author: La Cité universitaire francophone/Number of views (30711)/Comments ()/
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L’école française au Nunavut : des parents exigent le départ des commissaires et de la direction générale

L’école française au Nunavut : des parents exigent le départ des commissaires et de la direction générale

IQALUIT - On entend rarement parler de l’École des Trois-soleils, à Iqaluit, la plus nordique des écoles françaises de la planète. Même quand ça va mal.

Friday, February 20, 2015/Author: Anonym/Number of views (24480)/Comments ()/
Categories: 2015Éducation
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Un carnaval métis et canadien-français à l'école George Lee School

Un carnaval métis et canadien-français à l'école George Lee School

REGINA - Pour la 3e année consécutive, le carnaval célébrant les cultures métis et canadienne-française a battu son plein à l’école George Lee de Regina le 12 février dernier. Pour l’organisatrice de l’événement, Jessica Irvine, enseignante de français de base à cette école, tous attendaient la journée du carnaval avec impatience et l'événement a été un franc succès. 

Friday, February 20, 2015/Author: Émilie Dessureault-Paquette /Number of views (29141)/Comments ()/
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L’école de Debden célèbre la semaine du français langue seconde

L’école de Debden célèbre la semaine du français langue seconde

L’école de Debden a célébré la semaine de français/deuxième langue du 2 au 6 février. Le thème cette année était Comment fais-tu vivre le français dans ton école? 

Friday, February 20, 2015/Author: Anne Blais (EV)/Number of views (35571)/Comments ()/
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Journée de l’alphabétisation familiale 2015

Journée de l’alphabétisation familiale 2015

Le Collège Mathieu désire remercier toutes les personnes qui ont consacré du temps aux activités d’apprentissage avec les enfants du 27 janvier au 1er février dernier, dans le cadre de notre programme de littératie familiale. Les activités réalisées, très diversifiées et enrichissantes, visaient à susciter le goût de la lecture pour le développement intellectuel et le bien-être des enfants.

Thursday, February 12, 2015/Author: Collège Mathieu/Number of views (24548)/Comments ()/
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À l’heure de la littératie à Prince Albert

À l'initiative de sa directrice, Sandra Hassan Farah, le Centre éducatif Trésors du Monde de Prince Albert a participé à l'événement 15 minutes de littératie familiale organisé par le Collège Mathieu.

Thursday, February 12, 2015/Author: Ahmed Hassan (EV)/Number of views (30486)/Comments ()/
La place de l’anglais dans les écoles fransaskoises

La place de l’anglais dans les écoles fransaskoises

« Une discussion qui doit avoir lieu » – Donald Michaud

SASKATOON - Pour Donald Michaud, le directeur de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF), la place de l’anglais dans les écoles fransaskoises « est une discussion qui doit avoir lieu ». La diversité des niveaux de français représente tout un défi pour le personnel enseignant, certes, mais surtout pour la création d’un environnement social francophone dans l’école.

Thursday, February 5, 2015/Author: Jean-Pierre Picard (EV)/Number of views (37266)/Comments ()/
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Une doctorante fransaskoise veut faire valoir la neurodiversité

Author: Lucas Pilleri/Tuesday, April 19, 2022/Categories: Société, Femmes, Jeunesse

Gagnante de la Finale de l’Ouest du concours Ma thèse en 180 secondes organisé par l’Association francophone pour le savoir de l’Alberta (ACFAS) le 30 mars dernier, Elyse Proulx-Cullen, doctorante en sciences de la santé à l’Université de la Saskatchewan, se rendra à la finale nationale le 11 mai prochain.

Son sujet : améliorer la détection et la prise en charge des enfants présentant un trouble de déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité, des troubles d’apprentissage et un développement social atypique. Sa bataille : mettre fin aux parcours de combattant que les familles concernées subissent et faire en sorte que tous les enfants puissent vivre leur plein potentiel.

Félicitations, vous avez remporté les honneurs dans la catégorie Doctorat de cette deuxième édition du concours Ma thèse en 180 secondes. Sur quoi votre recherche porte-t-elle exactement ?

J’essaie d’utiliser les savoirs qui se trouvent au niveau des familles ainsi que les savoirs en éducation et au niveau médical pour faire des interventions précoces auprès des enfants qui présentent des troubles d’apprentissage.

De quel constat votre idée de recherche part-elle ?

Nous sommes nous-mêmes une famille neurodiverse. C’est vraiment un parcours du combattant et j’ai constaté qu’il y avait beaucoup de familles autour de moi qui vivaient la même chose. Je me suis dit qu’il fallait donner voix à ces savoirs pour aider les enfants.

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Elyse Proulx-Cullen est doctorante en sciences de la santé à la Faculté de médecine de l’Université de la Saskatchewan. Crédit : Courtoisie

Le système actuel permet difficilement d’intervenir tôt dans le développement de l’enfant et c’est ce dernier qui est pénalisé. Et cela pénalise la société car il n’est pas à plein potentiel dans sa contribution. Mon seul objectif, c’est de permettre d’intervenir tôt auprès de ces enfants.

Qu’espérez-vous accomplir avec votre recherche ?

J’essaie de mettre sur pied un modèle de partenariat de soins. Il s’agit de développer une communication et une coordination de soins dans trois unités : l’enfant dans sa famille, l’enfant avec un professionnel de la santé et l’enfant en milieu scolaire. En ce moment, la communication ne coule pas entre ces trois unités.

Quelles sont les conséquences d’un diagnostic trop tardif chez ces enfants ?

Ce sont des enfants qui sont à plus haut risque d’automédicamentation, de dépression, d’addiction et de décrochage scolaire. Plus ces enfants sont en situation d’échec, plus ces risques sont élevés. Malgré tout, il y a beaucoup de gens qui ont des diagnostics tardifs et qui ont une très belle vie.

Qu’est-ce que la neurodiversité ?

Il y a les troubles d’apprentissage comme la dyscalculie, la dysgraphie, la dysorthographie, la dyslexie, et les troubles d’attention comme le TDAH. Il y a aussi les troubles de développement social, c’est-à-dire les troubles du spectre de l’autisme. Ces personnes ne veulent pas être perçues comme handicapées mais ayant une diversité et une grande valeur à apporter à la société.

La société est-elle justement en train d’évoluer vis-à-vis de cette neurodiversité ?

Au Royaume-Uni, des entreprises commencent à recruter des employés avec une neurodiversité car ces personnes ont des capacités que les autres n’ont pas. Il y a beaucoup de gens au profil neuro-atypique qui ont accompli de grandes choses. Bill Gates, Elon Musk et Richard Branson en sont des exemples.

Il y a des régions avec une plus grande ouverture, où la réflexion est rendue plus loin. En Saskatchewan, il y a encore du chemin à faire. Le simple fait de constater le nombre de ces enfants dans nos écoles, ce serait un grand pas.

Un enfant doit pouvoir vivre qui il est pleinement

De quoi dépend finalement le bien-être de ces enfants ?

C’est une question à laquelle nous avons beaucoup réfléchi mon mari et moi par rapport à notre propre famille. Un enfant doit pouvoir vivre qui il est pleinement, peu importe son profil. Quand les enfants sont bloqués, empêchés, stigmatisés dans leur parcours, ça devient des parcours de combattant. Ces enfants nous dérangent car il y a une incompréhension. Mais ils ne sont pas mal élevés, ils sont faits différemment.

Vous parlez du « droit à avoir une enfance à plein potentiel ». Qu’entendez-vous par là ?

Il faut s’assurer que nos enfants aient des environnements pour se développer à leur plein potentiel. Par exemple, au niveau de la lecture, il y a des enfants dyslexiques qui aiment lire mais qui connaissent des parcours d’apprentissage si difficiles qu’ils arrêtent de lire.

On a de très grands chercheurs en la matière au Canada, on a beaucoup de savoirs, on a les outils pour aider ces enfants et il y a des possibilités d’intervenir très tôt. Quand on est dans des profils complexes, qu’on est dans la neurodiversité, il n’y a pas qu’une seule réponse à donner. Le diagnostic n’est jamais le même d’un enfant à l’autre.

Les parents qui souhaitent partager leur expérience peuvent le faire avec la chercheuse Elyse Proulx-Cullen sur son site web www.2echampions.com

Le travail d’une vie en trois minutes
Le concours Ma thèse en 180 secondes est présenté par l’ACFAS depuis 2012 et permet à des candidats à la maîtrise et au doctorat de présenter en termes simples leur sujet de recherche à un auditoire diversifié. Chaque participant dispose ainsi de 3 minutes pour présenter un exposé clair, concis et convaincant à propos de son sujet de recherche. Le concours se tient dans une vingtaine d’universités à travers le pays et la finale nationale de cette année aura lieu le 11 mai dans le cadre du 89e Congrès de l’ACFAS à l’Université Laval.
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Lucas Pilleri

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 - Wednesday 25 December 2024