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Thursday, March 5, 2015/Author: Frédéric Dupré (Courrier du lecteur)/Number of views (26514)/Comments ()/
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Visite au Carrefour Horizons

Visite au Carrefour Horizons

Le 26 février dernier, les étudiants du Certificat en français langue seconde du Département de français de l’Université de Regina sont venus faire la tournée des organismes fransaskois, logés au Carrefour Horizons de Regina

Thursday, March 5, 2015/Author: Jean-Pierre Picard (EV)/Number of views (27714)/Comments ()/
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Célébration du Mois de l'histoire des Noirs à Mgr de Laval

Célébration du Mois de l'histoire des Noirs à Mgr de Laval

REGINA - Le 27 février 2015, Dans le cadre du Mois de l’histoire des Noirs, une soixantaine d’élèves de l’École Mgr de Laval, à Regina, ont participé à l’organisation d’une journée d’activités sous la gouverne de Mbaye Biteye, enseignant d’origine sénégalaise. 

Thursday, March 5, 2015/Author: L'Eau vive/Number of views (35246)/Comments ()/
Non à l’intimidation

Non à l’intimidation

Journée du Chandail rose à Gravebourg

Le 25 février, les élèves de l’École Beau Soleil et École secondaire Collège Mathieu, à Gravelbourg ont souligné la journée du Chandail rose, visant à lancer un message contre l’intimidation

Thursday, March 5, 2015/Author: L'Eau vive/Number of views (32943)/Comments ()/

Le Conseil des écoles fransaskoises pleure le décès soudain d’un de ses élèves

St-Isidore-de-Bellevue, le 4 mars 2015 - Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) - en particulier la communauté scolaire de l'École St-Isidore à Bellevue - est en deuil suite au décès de l'un de ses étudiants plus tôt aujourd'hui, comme il a été rapporté dans les médias. 

Wednesday, March 4, 2015/Author: Conseil des écoles fransaskoises/Number of views (27319)/Comments ()/
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L’Institut français devient le premier centre officiel de passation des TEF en Saskatchewan

L’Institut français devient le premier centre officiel de passation des TEF en Saskatchewan

L’institut français est devenu le premier établissement en Saskatchewan reconnu par le Centre de langue française de la CCI Paris Ile-de-France, pour administrer le Test d’évaluation de français (TEF). 

Wednesday, March 4, 2015/Author: La Cité universitaire francophone/Number of views (30236)/Comments ()/
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L’école française au Nunavut : des parents exigent le départ des commissaires et de la direction générale

L’école française au Nunavut : des parents exigent le départ des commissaires et de la direction générale

IQALUIT - On entend rarement parler de l’École des Trois-soleils, à Iqaluit, la plus nordique des écoles françaises de la planète. Même quand ça va mal.

Friday, February 20, 2015/Author: Anonym/Number of views (23958)/Comments ()/
Categories: 2015Éducation
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Un carnaval métis et canadien-français à l'école George Lee School

Un carnaval métis et canadien-français à l'école George Lee School

REGINA - Pour la 3e année consécutive, le carnaval célébrant les cultures métis et canadienne-française a battu son plein à l’école George Lee de Regina le 12 février dernier. Pour l’organisatrice de l’événement, Jessica Irvine, enseignante de français de base à cette école, tous attendaient la journée du carnaval avec impatience et l'événement a été un franc succès. 

Friday, February 20, 2015/Author: Émilie Dessureault-Paquette /Number of views (28737)/Comments ()/
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L’école de Debden célèbre la semaine du français langue seconde

L’école de Debden célèbre la semaine du français langue seconde

L’école de Debden a célébré la semaine de français/deuxième langue du 2 au 6 février. Le thème cette année était Comment fais-tu vivre le français dans ton école? 

Friday, February 20, 2015/Author: Anne Blais (EV)/Number of views (33866)/Comments ()/
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Journée de l’alphabétisation familiale 2015

Journée de l’alphabétisation familiale 2015

Le Collège Mathieu désire remercier toutes les personnes qui ont consacré du temps aux activités d’apprentissage avec les enfants du 27 janvier au 1er février dernier, dans le cadre de notre programme de littératie familiale. Les activités réalisées, très diversifiées et enrichissantes, visaient à susciter le goût de la lecture pour le développement intellectuel et le bien-être des enfants.

Thursday, February 12, 2015/Author: Collège Mathieu/Number of views (24150)/Comments ()/
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À l’heure de la littératie à Prince Albert

À l'initiative de sa directrice, Sandra Hassan Farah, le Centre éducatif Trésors du Monde de Prince Albert a participé à l'événement 15 minutes de littératie familiale organisé par le Collège Mathieu.

Thursday, February 12, 2015/Author: Ahmed Hassan (EV)/Number of views (30126)/Comments ()/
La place de l’anglais dans les écoles fransaskoises

La place de l’anglais dans les écoles fransaskoises

« Une discussion qui doit avoir lieu » – Donald Michaud

SASKATOON - Pour Donald Michaud, le directeur de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF), la place de l’anglais dans les écoles fransaskoises « est une discussion qui doit avoir lieu ». La diversité des niveaux de français représente tout un défi pour le personnel enseignant, certes, mais surtout pour la création d’un environnement social francophone dans l’école.

Thursday, February 5, 2015/Author: Jean-Pierre Picard (EV)/Number of views (36679)/Comments ()/

Éducation fransaskoise : le navire ne prend plus l’eau, mais sait-on où il va?

L’Assemblée annuelle des électeurs du Conseil scolaire fransaskois était plutôt calme cette année. Je me suis surpris à m’ennuyer des joutes verbales de l’année dernière. Lors de l’AGA de 2014, le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) était en pleine tempête financière, des coupes sévères venaient d’être faites, et tout laissait croire que ce n’était pas fini. Les colonnes de chiffres inquiétaient les parents et ceux-ci l’avaient fait savoir.
Wednesday, February 4, 2015/Author: Jean-Pierre Picard/Number of views (32057)/Comments ()/
L’importance de la lecture avec les enfants

L’importance de la lecture avec les enfants

Selon les résultats des recherches de C.A. Nelson, du Centre du développement de l’enfant de l’Université Harvard, le développement langagier d’un enfant se manifeste longtemps avant le premier balbutiement des mots « mmman » ou « pa, pa, papa ». Les études du développement cérébral révèlent que les neurones et les synapses pour le langage apparaissent trois mois avant la naissance. La croissance de cette zone du cerveau atteint son sommet vers l’âge de 4 ans.

Wednesday, February 4, 2015/Author: Rita Denius (CM)/Number of views (29581)/Comments ()/
Des élèves voudraient une heure de... 60 minutes

Des élèves voudraient une heure de... 60 minutes

SASKATOON - C’est une délégation de jeunes élèves de l’École canadienne-française de Saskatoon, qui a donné le coup d’envoi de l’Assemblée annuelle des électeurs du Conseil scolaire fransaskois.
Wednesday, February 4, 2015/Author: Michèle Fortin (EV)/Number of views (29382)/Comments ()/
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Marie-France Kenny quitte la Saskatchewan

Marie-France Kenny quitte la Saskatchewan

Entretien

Author: Lucas Pilleri/Thursday, September 17, 2020/Categories: 2020, Communautaire

La chef de file fransaskoise a dit au revoir à la Saskatchewan ce 24 août pour rejoindre sa famille à Repentigny, en banlieue de Montréal. La contribution de cette Québécoise d’origine, et Fransaskoise d’adoption, s’étale sur plus de 20 ans : elle aura été tour à tour présidente de l’Association canadienne-française de Regina (ACFR), présidente de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), présidente de la Fédération des communautés francophones et acadienne et présidente de la Coopérative des publications fransaskoises (CPF). Si une page se tourne pour la femme d’action, son cœur battra toujours pour la fransaskoisie, confie-t-elle.

Pourquoi avez-vous décidé de quitter la Saskatchewan ?

Je suis partie à cause de la pandémie. Ma mère a Alzheimer, mon père a 87 ans, ma sœur qui travaille à temps plein était seule à gérer ça. On a toujours été très proches dans ma famille. La pandémie a facilité ma décision de revenir. On a décidé de prendre une maison intergénérationnelle.

Après deux décennies passées en Saskatchewan, la décision a-t-elle été difficile à prendre ?

C’était très difficile de partir. J’ai passé des semaines à pleurer, particulièrement quand je voyais mes amis. J’aimais ma maison, mon coin, le climat, les gens… J’étais très bien. Je ne m’attendais pas à retourner au Québec.

Quels souvenirs allez-vous garder de votre province d’adoption ?

La réussite du journal L’Eau vive. Ça valait la peine qu’on s’y acharne. Puis, il y a tellement de gens merveilleux que j’ai rencontrés. Des gens qui sont devenus de très bons amis. Il y a un lien qui est là, toutes cultures confondues.

Vous avez été impliquée dans de nombreux organismes fransaskois au cours de votre carrière. Qu’est-ce qui a motivé votre engagement au fil des ans ?

Je suis francophone, alors en appuyant la cause francophone hors Québec, je m’appuyais moi-même. Dans mes valeurs fondamentales, il y a l’équité et la justice. Ma langue est aussi importante que l’anglais. Au fil des ans, étant traductrice de métier, j’ai développé une expertise sur la Loi sur les langues officielles qui m’a permis de voir qu’il y avait beaucoup d’iniquité. Je n’ai pas d’ambition politique, je n’ai jamais voulu être députée, mais j’aime faire du lobbying pour la francophonie. Mon seul parti, c’est celui de la francophonie canadienne.

L’ACF milite pour voir un Fransaskois siéger au Sénat canadien. Vous-même, y avez-vous déjà pensé ?

Oui, le Sénat m’intéresse. J’avais déposé ma candidature pour la Saskatchewan il y a deux ans. Je vais maintenant tenter ma chance au Québec. Le Sénat a un rôle important de représentation des minorités à jouer. On parle des femmes, des peuples autochtones, des francophones en situation minoritaire, des minorités visibles, des jeunes. Ce sont des gens typiquement sous-représentés au gouvernement et le Sénat doit se faire la voix de ces gens-là. Je suis pour un sénateur francophone. J’ai encouragé plein de gens à se présenter. Ça prend un francophone qui connaît la législation canadienne, qui est là pour travailler fort pour représenter tous ces groupes et non un seul.

Quel regard portez-vous sur la fransaskoisie en 2020 ?

La fransaskoisie se porte bien. Mais je me rends compte qu’il y a des passe-droits. Il y a des conflits d’intérêts vraiment flagrants sans aucune conséquence. La gouvernance de nos organismes doit être revue. Il faut s’assurer de dénoncer ces gens-là, d’avoir des gens compétents, que les conseils d’administration soient responsables des actions de leur organisme. Tout ça me fait peur. À un moment donné, le gouvernement va dire que c’est assez et va couper tout le monde.

Au-delà de la gouvernance des organismes, quels autres défis la fransaskoisie devra-t-elle relever pour assurer son avenir ?

J’aimerais dire aux nouveaux arrivants qu’il y a un groupuscule qui va vous dire que la communauté ne veut pas de vous, mais ce n’est pas vrai. Il y a certainement des gens qui ont besoin d’être sensibilisés, mais les gens sont absolument accueillants. Francis Marchildon le dit dans sa chanson Au nom des noms, on est une grande courtepointe, avec des morceaux recueillis un peu partout. Mais pour faire partie de la communauté, il faut que tu te pointes. Invitez-vous dans les activités ! Vous êtes les bienvenus, on vous veut dans nos activités et que vous apportiez votre diversité culturelle. On veut partager la nôtre avec vous. Peu importe nos différends, travaillons ensemble pour la communauté.

Qui sont les chefs de file qui vous donnent bon espoir pour l’avenir de la communauté fransaskoise ?

Il y en a plein, je ne pourrais pas tous les nommer. Rosalie Umuhoza, Jacques Désiré Hiack, Hélène Nana Ouédraogo, Michel Dubé, Josée Bourgoin, Annie Audette, les sœurs Marchildon, Denis Desgagné, Ronald Ajavon, Éric Lefol…

Il y a aussi des gens qui se pensent leaders de la communauté, mais qui sont plutôt des destructeurs de la communauté. C’est un groupuscule. Ils n’ont pas vraiment d’importance. Tout ce qu’ils veulent, c’est détruire pour prendre le contrôle.

Vous avez justement été, et êtes encore, au cœur de tensions au sein de la communauté.

J’ai été victime d’intimidation, de diffamation, de harcèlement. Il faut une politique contre ça pour ouvrir des enquêtes en bonne et due forme. Il faut mettre en place un mécanisme rigoureux. Je pense que la Table des élus pourrait être ce comité. C’est une condition importante pour que la communauté ne se détruise pas.

À quelle condition la fransaskoisie peut-elle se pacifier selon vous ?

Il faut des discussions de fond entre les Fransaskois de souche, les Fransaskois d’adoption et les gens qui viennent d’ailleurs au Canada. On est mûrs pour des discussions. Tout le monde doit se parler et trouver un terrain d’entente. Selon moi, c’est la langue française.

La page de la fransaskoisie est définitivement tournée pour vous ou bien laissez-vous la porte ouverte à un retour éventuel ?

Possiblement… On ne sait jamais. C’est sûr que je vais revenir en visite. La page ne sera jamais tournée. Je serai fransaskoise jusqu’à la fin de mes jours.

Qu’est-ce qui va vous manquer le plus ?

Mes amis, proches, intimes et connaissances. Et nos activités, comme le Festival fransaskois : les retrouvailles dans la communauté. Les gens vont me manquer.

Quels projets allez-vous poursuivre désormais ?

M’occuper de mes parents et retrouver ma famille dans un premier temps. Je suis toujours porte-parole d’Élections Canada, j’ai ma boîte de traduction qui continue, et ma nouvelle ville pourrait avoir besoin de moi bénévolement. Pourquoi ne pas organiser un festival ici à Repentigny ?

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Lucas Pilleri

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 - Friday 15 November 2024