Des mots et des gestes
Les paroles et les phrases bonnes et positives rejoignent toujours les gens dans leur authenticité, elles animent l’âme.
Par contre, celles empreintes de violence résonnent davantage parce qu’elles sont à contresens de notre nature fondamentale et alimentent l’incertitude et la haine.
Les écrits restent et reflètent toujours la pensée et les actions potentielles de leur auteur.
De la violence et de la souffrance
Celui ou celle qui laisse sortir de sa bouche vulgarités, mensonges et agressions exprime sa pensée déjà corrompue par la souffrance et nous pouvons déduire que ses actions seront de la même teneur.
Quand la haine habite l’être humain, elle peut lui permettre de vaincre les injustices, mais quand elle lui donne la force de violenter et de se venger, elle lui enlève toute son humanité.
Chercher à nuire et à dénigrer les autres sur des faussetés et des perceptions n’est pas le signe de la force ou du courage, mais l’expression d’une pensée empreinte de peur, de souffrance et de jalousie.
De la diversité et de l’unité
La diversité de formes et de couleurs du monde qui nous entoure est une illusion que nous aimons qualifier et quantifié pour nous donner de l’importance.
Celle ou celui qui voit au-delà des apparences, jamais, ne pensera, dira ou agira pour distinguer, séparer ou diviser.
La diversité culturelle est une richesse lorsqu’elle devient une expérience personnelle.
Ainsi, celui qui prêche pour la diversité peut penser autrement et celui qui vit dans la diversité connaît l’unité.
Du pouvoir et de l’ignorance
Si « pouvoir » existe, c’est celui d’être maître de soi-même et de percer les illusions dont le monde est façonné.
L’ignorance est la source de bien des maux. Elle imprègne le monde de faussetés nourrit toutes les peurs. Ainsi, la peur et la stupidité sont les meilleures alliées qui font de tout être un danger pour lui-même et sa communauté.
Le pouvoir de contrôler et de dominer est LA grande illusion qui fait que certains se perdront en croyant atteindre ce « pouvoir ».
Nul ne peut écouter si l’humilité d’aimer n’existe pas.