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Célébration du Mois de l'histoire des Noirs à Mgr de Laval

Célébration du Mois de l'histoire des Noirs à Mgr de Laval

REGINA - Le 27 février 2015, Dans le cadre du Mois de l’histoire des Noirs, une soixantaine d’élèves de l’École Mgr de Laval, à Regina, ont participé à l’organisation d’une journée d’activités sous la gouverne de Mbaye Biteye, enseignant d’origine sénégalaise. 

Thursday, March 5, 2015/Author: L'Eau vive/Number of views (33962)/Comments ()/
Non à l’intimidation

Non à l’intimidation

Journée du Chandail rose à Gravebourg

Le 25 février, les élèves de l’École Beau Soleil et École secondaire Collège Mathieu, à Gravelbourg ont souligné la journée du Chandail rose, visant à lancer un message contre l’intimidation

Thursday, March 5, 2015/Author: L'Eau vive/Number of views (31223)/Comments ()/

Le Conseil des écoles fransaskoises pleure le décès soudain d’un de ses élèves

St-Isidore-de-Bellevue, le 4 mars 2015 - Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) - en particulier la communauté scolaire de l'École St-Isidore à Bellevue - est en deuil suite au décès de l'un de ses étudiants plus tôt aujourd'hui, comme il a été rapporté dans les médias. 

Wednesday, March 4, 2015/Author: Conseil des écoles fransaskoises/Number of views (26325)/Comments ()/
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L’Institut français devient le premier centre officiel de passation des TEF en Saskatchewan

L’Institut français devient le premier centre officiel de passation des TEF en Saskatchewan

L’institut français est devenu le premier établissement en Saskatchewan reconnu par le Centre de langue française de la CCI Paris Ile-de-France, pour administrer le Test d’évaluation de français (TEF). 

Wednesday, March 4, 2015/Author: La Cité universitaire francophone/Number of views (28723)/Comments ()/
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L’école française au Nunavut : des parents exigent le départ des commissaires et de la direction générale

L’école française au Nunavut : des parents exigent le départ des commissaires et de la direction générale

IQALUIT - On entend rarement parler de l’École des Trois-soleils, à Iqaluit, la plus nordique des écoles françaises de la planète. Même quand ça va mal.

Friday, February 20, 2015/Author: Anonym/Number of views (23080)/Comments ()/
Categories: 2015Éducation
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Un carnaval métis et canadien-français à l'école George Lee School

Un carnaval métis et canadien-français à l'école George Lee School

REGINA - Pour la 3e année consécutive, le carnaval célébrant les cultures métis et canadienne-française a battu son plein à l’école George Lee de Regina le 12 février dernier. Pour l’organisatrice de l’événement, Jessica Irvine, enseignante de français de base à cette école, tous attendaient la journée du carnaval avec impatience et l'événement a été un franc succès. 

Friday, February 20, 2015/Author: Émilie Dessureault-Paquette /Number of views (27661)/Comments ()/
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L’école de Debden célèbre la semaine du français langue seconde

L’école de Debden célèbre la semaine du français langue seconde

L’école de Debden a célébré la semaine de français/deuxième langue du 2 au 6 février. Le thème cette année était Comment fais-tu vivre le français dans ton école? 

Friday, February 20, 2015/Author: Anne Blais (EV)/Number of views (31622)/Comments ()/
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Journée de l’alphabétisation familiale 2015

Journée de l’alphabétisation familiale 2015

Le Collège Mathieu désire remercier toutes les personnes qui ont consacré du temps aux activités d’apprentissage avec les enfants du 27 janvier au 1er février dernier, dans le cadre de notre programme de littératie familiale. Les activités réalisées, très diversifiées et enrichissantes, visaient à susciter le goût de la lecture pour le développement intellectuel et le bien-être des enfants.

Thursday, February 12, 2015/Author: Collège Mathieu/Number of views (22613)/Comments ()/
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À l’heure de la littératie à Prince Albert

À l'initiative de sa directrice, Sandra Hassan Farah, le Centre éducatif Trésors du Monde de Prince Albert a participé à l'événement 15 minutes de littératie familiale organisé par le Collège Mathieu.

Thursday, February 12, 2015/Author: Ahmed Hassan (EV)/Number of views (28565)/Comments ()/
La place de l’anglais dans les écoles fransaskoises

La place de l’anglais dans les écoles fransaskoises

« Une discussion qui doit avoir lieu » – Donald Michaud

SASKATOON - Pour Donald Michaud, le directeur de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF), la place de l’anglais dans les écoles fransaskoises « est une discussion qui doit avoir lieu ». La diversité des niveaux de français représente tout un défi pour le personnel enseignant, certes, mais surtout pour la création d’un environnement social francophone dans l’école.

Thursday, February 5, 2015/Author: Jean-Pierre Picard (EV)/Number of views (35309)/Comments ()/

Éducation fransaskoise : le navire ne prend plus l’eau, mais sait-on où il va?

L’Assemblée annuelle des électeurs du Conseil scolaire fransaskois était plutôt calme cette année. Je me suis surpris à m’ennuyer des joutes verbales de l’année dernière. Lors de l’AGA de 2014, le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) était en pleine tempête financière, des coupes sévères venaient d’être faites, et tout laissait croire que ce n’était pas fini. Les colonnes de chiffres inquiétaient les parents et ceux-ci l’avaient fait savoir.
Wednesday, February 4, 2015/Author: Jean-Pierre Picard/Number of views (30898)/Comments ()/
L’importance de la lecture avec les enfants

L’importance de la lecture avec les enfants

Selon les résultats des recherches de C.A. Nelson, du Centre du développement de l’enfant de l’Université Harvard, le développement langagier d’un enfant se manifeste longtemps avant le premier balbutiement des mots « mmman » ou « pa, pa, papa ». Les études du développement cérébral révèlent que les neurones et les synapses pour le langage apparaissent trois mois avant la naissance. La croissance de cette zone du cerveau atteint son sommet vers l’âge de 4 ans.

Wednesday, February 4, 2015/Author: Rita Denius (CM)/Number of views (27778)/Comments ()/
Des élèves voudraient une heure de... 60 minutes

Des élèves voudraient une heure de... 60 minutes

SASKATOON - C’est une délégation de jeunes élèves de l’École canadienne-française de Saskatoon, qui a donné le coup d’envoi de l’Assemblée annuelle des électeurs du Conseil scolaire fransaskois.
Wednesday, February 4, 2015/Author: Michèle Fortin (EV)/Number of views (27790)/Comments ()/
Assemblée annuelle du Conseil scolaire fransaskois : Une soirée bien tranquille

Assemblée annuelle du Conseil scolaire fransaskois : Une soirée bien tranquille

SASKATOON - Le vendredi 30 janvier, le Conseil scolaire fransaksois (CSF) a rencontré ses électeurs pour la première fois depuis le dépôt d’un rapport sévère de la vérificatrice provinciale et la fermeture annoncée de l’école Sans-frontières de Lloydminster.

Wednesday, February 4, 2015/Author: Mychèle Fortin (EV)/Number of views (33084)/Comments ()/
La cause de la Commission scolaire francophone du Yukon entendue à la Cour suprême du Canada

La cause de la Commission scolaire francophone du Yukon entendue à la Cour suprême du Canada

La Cour suprême du Canada a pris en délibéré, le 21 janvier 2015, la cause qui oppose depuis plusieurs années la Commission scolaire francophone du Yukon (CSFY) au gouvernement du Yukon. Le litige repose sur les droits de gestion scolaire en contexte minoritaire.

Thursday, January 29, 2015/Author: Anonym/Number of views (30893)/Comments ()/
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Festival Fête fransaskoise 2018 : une édition réussie

Author: Jean-Pierre Picard/Friday, August 17, 2018/Categories: 2018, CCF - Conseil culturel fransaskois, Communautaire, CCF - culturel.fransaskois.net

Grande finale du spectacle de Zachary Richard

Grande finale du spectacle de Zachary Richard

Samedi soir, Zachary Richard a invité les artistes à se joindre à lui pour la chanson finale de son spectacle.

Photo : Daniel Paquet — photo.paquet.ca

PIKE LAKE - Près de 700 personnes se sont données rendez-vous au parc provincial de Pike Lake pour les trois jours d’activités et de spectacles de l’édition 2018 du Festival Fête fransaskoise. Quels sont les ingrédients de la recette qui ont permis de doubler la participation à l’événement annuel ?

Dans un premier temps, l’organisme responsable de l’événement, le Conseil culturel fransaskois (CCF), a misé sur l’embauche de contractuels pour l’organisation de l’édition 2018 du festival. Michel Lalonde s’est vu confier la mission de concocter la programmation artistique alors que Marie-France Kenny a pris en main l’aspect logistique et promotionnel.

Madame Kenny en était à sa première expérience dans l’organisation de ce genre d’événement. Même si elle se dit enchantée du résultat, elle avoue qu’elle était plutôt inquiète au départ. « J’ai trouvé ça difficile au début, car il n’y avait pas de cahier des charges et je devais me fier au personnel. Cécile Tkachuk a été pour moi la personne ressource par excellence. Je ne suis pas une fille à détails, je suis une fille à vision. J’avais toujours peur d’avoir oublié quelque chose. »

Une grande place aux artistes locaux

Cette année, la programmation a fait une place de choix aux artistes locaux. « Sous la direction artistique de Michel Lalonde, on a inversé la pyramide en allant chercher plus d’artistes d’ici et de l’Ouest que d’habitude », d’expliquer Marie-France Kenny.

L’ajout d’une deuxième scène, sous un chapiteau, a également permis d’assurer une animation musicale tout au long du festival. Enfin presque. Le samedi après-midi, un coup de vent a déchiré la toile du toit pendant la prestation du duo Fortin-Picard. Sans aucune hésitation, les gens se sont mobilisés pour tenir les poteaux et sortir l’équipement, les chaises, les tables et le bar.

La tête d’affiche du festival, Zachary Richard, très populaire auprès de la communauté fransaskoise, a également contribué à l’achalandage du festival. Zachary a offert un tour de chant sobre, sans autre instrument que sa guitare. Les artistes de la fin de semaine se sont joints à lui pour la dernière chanson du spectacle. Le chanteur cajun a également invité Marie-France Kenny à monter sur scène pour l’accompagner sur sa chanson Cliff’s Zydeco. Cette invitation a été un moment inoubliable pour l’organisatrice du festival. « Juste ça, c’était un rêve. J’ai pu faire un crochet dans ma liste de rêves à réaliser ».

Pour Marie-France Kenny, la chanson Au nom des noms, interprétée par La Raquette à claquettes, a été un des moments forts du spectacle du samedi soir. Cette chanson présente les nombreux noms des familles fransaskoises qui se sont établies pendant des générations en Saskatchewan. L’artiste Kaya Free s’est joint au groupe pour un couplet supplémentaire présentant les noms de famille de nouveaux arrivants installés récemment dans la province. « Je regardais le public pendant la chanson ‘Au nom des noms’ et je voyais que les gens étaient émus et fiers. Je me suis dit, c’est ça ma Fransaskoise », d’expliquer madame Kenny.

Un deuil partagé en chansons

La prestation du groupe fransaskois Hart Rouge, composé de membres de la famille Campagne (Annette, Suzanne, Michelle et Paul), a donné lieu à des moments émouvants lorsqu’il a été question du récent décès de leur sœur Carmen. Entre deux chansons, Suzanne Campagne s’est confiée au public : « Nous avons reçu beaucoup de témoignages de sympathie de partout au pays, mais cela nous fait du bien de partager ce deuil avec les membres de notre communauté qui savent ce que Carmen représentait pour nous. »

« Il va manquer une harmonie » avait dit Annette Campagne, le lendemain du décès de sa sœur. Lors de leur interprétation de À la claire fontaine, que la famille Campagne a souvent interprétée en compagnie de Carmen, les voix chancelaient d’émotion et le public est venu en renfort. À la fin du tour de chant de Hart Rouge, un hommage spontané a été livré par plusieurs jeunes adultes : ils se sont mis à chantonner le succès planétaire de Carmen M’en vais à l’étable pour tirer ma vache, sur lequel plusieurs d’entre eux ont grandi.

Une fête communautaire jusqu’au bout des doigts

S’il y a un ingrédient particulier qui peut expliquer le succès de la Fête de cette année, Marie-France Kenny croit que c’est l’engagement des membres de la communauté. « On a eu une année difficile et je voulais que tout le monde y trouve son compte, autant les aînés que les jeunes, les Fransaskois de souche et ceux venus d’ailleurs. Le réseau associatif s’est vraiment mobilisé pour offrir une programmation variée, tant au niveau des activités culturelles que des ateliers. »

Elle a également été impressionnée par le soutien au niveau de la logistique. « Souvent j’appelais les gens de Saskatoon pour demander de l’aide et non seulement on ne m’a jamais dit non, mais souvent on m’offrait plus d’aide que je demandais. Par exemple, les gens de l’Association jeunesse fransaskoise nous ont apporté un de leurs réfrigérateurs sur le site quand on leur a dit qu’on manquait d’espace dans le nôtre. »

Tout au long du festival, le même commentaire revenait chez ceux qui ont connu de nombreuses Fêtes fransaskoises : « j’ai l’impression de retrouver l’atmosphère des Fêtes fransaskoises d’antan. » Pour madame Kenny, les soirées Autour du feu, tard le soir avec Jean Bilodeau et Yves Aquin, ont contribué à cette ambiance. « Les gens ne voulaient plus partir », ajoute-t-elle.

Madame Kenny a bien aimé son expérience et se dit prête à reprendre le collier l'année prochaine si le CCF désire faire appel à ses services pour l'édition 2019. Quant au directeur artistique, Michel Lalonde, il  s'est dit ravi de l'atmosphère qui régnait : "J'ai réellement senti un sens de communauté, autant chez le public, que chez les bénévoles que chez les artistes.  Malgré la douleur qui pesait sur tous, suite au décès de Carmen, la semaine précédente, on a vraiment eu droit à des retrouvailles en famille remplies de chaleur."


Quelques festivaliers nous livrent leurs impressions

Propos recueillis par Simb Simb

Comme toutes les années, les Francophones de la Saskatchewan ont tenu à célébrer leur diversité culturelle dans le cadre du Festival Fête fransaskoise. La restauration, la musique, le camping, des spectacles, des ateliers, des jeux et diverses activités ont été au menu de ce grand rendez-vous culturel. C’est l’occasion rêvée pour les Fransaskois de découvrir les artistes francophones locaux et ceux des autres provinces du Canada. Voulant en savoir plus sur les motivations et les sentiments des Fransaskois à l’égard de ce festival, L’eau vive a approché trois d’entre eux : Dominique Closier (DC), Christian Fourre (CF) et Rejean Denis (RD).

Qu’est-ce qui vous amène à ce festival fransaskois?
DC : « C’est beaucoup écouter et parler en français, car c’est rare d’entendre du français dans mon milieu professionnel. »
CF : « La francophonie me tient à cœur. Dans un contexte majoritairement anglophone, se rassembler à un moment et à un endroit où on retrouve des gens qui ne parlent que français est pour moi quelque chose de vraiment plaisant. »

RD : « Rencontrer du monde venant de partout en Saskatchewan et que je n’ai pas vu depuis l’année dernière. »

Comment appréciez-vous le déroulement du festival?
DC : « Pour ma première fois, je trouve que c’est bien plaisant. »
CF : « Je trouve que tout est bien et que l’ambiance est conviviale. On m’avait promis beaucoup de choses positives et là, je suis content. »
RD : « Il fait chaud, mais malgré cela, je trouve que la musique est bonne, on rencontre plein d’amis et de familles qui sont venus. »

De tous les artistes invités au festival, quels sont ceux que vous préférez le plus?
DC : « Le groupe Swing qui est très populaire. »
CF : « Shawn Jobin, et il y en a sûrement d’autres. »
RD : « Il y a Shawn Jobin, qui est assez nouveau, et aussi Zachary Richard qui est peut-être moins nouveau, et c’est intéressant de l’entendre jouer. »

 

 

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Jean-Pierre Picard

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 - Wednesday 22 May 2024