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Un prix d’excellence décerné à une éducatrice fransaskoise

Un prix d’excellence décerné à une éducatrice fransaskoise

Le 4 mai 2024 Charlène Isabelle, éducatrice à la garderie Pomme d'API de Mosse Jaw, a reçu un prix d’excellence lors du gala annuel de l’Association de la petite enfance de la Saskatchewan.

Sunday, May 26, 2024/Author: Leanne Tremblay/Number of views (4226)/Comments ()/
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Les enseignants soudés dans l’adversité

Les enseignants soudés dans l’adversité

Les enseignants du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) se sont réunis à Regina les 25 et 26 avril pour le congrès annuel.

Friday, May 17, 2024/Author: Leanne Tremblay/Number of views (3542)/Comments ()/
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Gala Méritas : la Cité francophone fête ses étudiants

Gala Méritas : la Cité francophone fête ses étudiants

Le 8 avril, la Cité universitaire francophone a célébré la quatrième édition du Gala annuel Méritas.

Friday, April 19, 2024/Author: Ghita Hanane/Number of views (3133)/Comments ()/
Categories: Éducation
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Le budget provincial 2024-2025 déçoit les Fransaskois

Le budget provincial 2024-2025 déçoit les Fransaskois

L’annonce du budget provincial 2024-2025 en Saskatchewan déplaît à plus d’un Fransaskois

Friday, April 12, 2024/Author: Ghita Hanane – IJL-Réseau.Presse/Number of views (5165)/Comments ()/
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Les élèves fransaskois excellent malgré les défis d’infrastructures

Les élèves fransaskois excellent malgré les défis d’infrastructures

Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a publié son rapport annuel 2022-2023. L’occasion pour L’Eau vive de revenir sur les points saillants de cette période.

Tuesday, March 5, 2024/Author: Mehdi Jaouhari/Number of views (4832)/Comments ()/
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Projet de loi C-35 : une demi-victoire pour les garderies francophones

Projet de loi C-35 : une demi-victoire pour les garderies francophones

Organismes et citoyens francophones se sont mobilisés pour appuyer un amendement important du Sénat au projet de loi C-35 sur les services de garde.

Sunday, February 25, 2024/Author: Mehdi Jaouhari/Number of views (4038)/Comments ()/
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L’heure des contes désormais multilingue à la bibliothèque publique de Saskatoon

L’heure des contes désormais multilingue à la bibliothèque publique de Saskatoon

Une nouveauté débarque à la Bibliothèque publique de Saskatoon cette année : l’heure des contes est désormais bilingue.

Sunday, February 4, 2024/Author: Leanne Tremblay/Number of views (5579)/Comments ()/
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De nouvelles places de garderie à Moose Jaw

De nouvelles places de garderie à Moose Jaw

Le Centre éducatif Pomme d’Api à Moose Jaw vient de recevoir du financement gouvernemental afin d’ouvrir de nouvelles places en français. Une bonne nouvelle pour les parents, mais qui est loin de répondre à la demande. Car sur les 2 349 places en cours de création dans la province, 28 seulement sont dédiées aux Fransaskois.

Friday, January 12, 2024/Author: Mehdi Jaouhari/Number of views (4024)/Comments ()/
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Vente de l’école du Parc à Regina : un manque à gagner pour les Fransaskois

Vente de l’école du Parc à Regina : un manque à gagner pour les Fransaskois

Fin septembre, les parents fransaskois ont eu la mauvaise surprise d’apprendre que l’école du Parc, solution temporaire en attendant l’ouverture d’un nouvel établissement pour leurs enfants, sera finalement vendue plutôt que conservée. Une déception pour nombre d’entre eux.

Tuesday, October 31, 2023/Author: Ghita Hanane – IJL-Réseau.Presse/Number of views (4895)/Comments ()/
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Message du directeur général du CÉF

Message du directeur général du CÉF

Message du directeur général du CÉF .

Monday, September 11, 2023/Author: Conseil des écoles fransaskoises/Number of views (6934)/Comments ()/
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ALLOFrench : la gratuité au service des Canadiens de l'Ouest

ALLOFrench : la gratuité au service des Canadiens de l'Ouest

Projet pilote d'un an, ALLOFrench offre des cours gratuits de français en Saskatchewan et en Alberta du 1er avril 2023 au 31 mars 2024. Réservé aux citoyens canadiens, le programme vise à étendre l'influence du français dans les Prairies.

Friday, September 1, 2023/Author: Hélène Lequitte – IJL-Réseau.Presse/Number of views (5373)/Comments ()/
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Une première pierre pour la nouvelle école francophone de Regina

Une première pierre pour la nouvelle école francophone de Regina

Une cérémonie haute en émotion a eu lieu au 5382, 2e Avenue Nord à Regina, le lieu retenu pour la nouvelle école francophone où les travaux ont officiellement débuté le 29 juin. Une centaine de personnes se sont réunies pour assister à la pose symbolique de la première pierre.

Tuesday, July 18, 2023/Author: Marie-Lou Bernatchez – IJL-Réseau.Presse/Number of views (5667)/Comments ()/
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Mot du directeur général du CEF

Mot du directeur général du CEF

Mot du directeur général du CEF.

Wednesday, July 5, 2023/Author: Conseil des écoles fransaskoises/Number of views (5813)/Comments ()/
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École St-Isidore

École St-Isidore

École St-Isidore

Monday, July 3, 2023/Author: Conseil des écoles fransaskoises/Number of views (6054)/Comments ()/
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École Notre-Dame-des-Vertus

École Notre-Dame-des-Vertus

Bravo aux élèves de NDV pour les belles chansons à la fête de la Saint-Jean-Baptiste à Zénon Park. 

Monday, July 3, 2023/Author: Conseil des écoles fransaskoises/Number of views (6297)/Comments ()/
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Le vapotage, nouveau péril jeune?

Le vapotage, nouveau péril jeune?

Author: Agathe Beaudouin (Francopresse)/Tuesday, February 18, 2020/Categories: Société, Santé

Anne Leis

Anne Leis

Anne Leis dirige le département de santé publique du Collège de médecine de l’Université de la Saskatchewan.

Courtoisie : Société Santé en français.

Les messages apparaissent accompagnés d’émojis souriants à l’écran : «C’est comme une tarte citron pistache, un régal!» ou bien encore : «Chaque saveur que je goute est encore meilleure!» Dans les messages postés sur Instagram, les publications flatteuses sur le vapotage se comptent par milliers. Premières cibles : les adolescents.

«Un gadget permettant d’absorber de la nicotine.» Il n’existe pas 10 000 façons de définir la cigarette électronique, explique l’urgentologue et toxicologue Martin Laliberté. «Ce n’est ni plus ni moins qu’une version du tabac moderne», confie le professeur adjoint au Centre universitaire de Santé Mc Gill. Avec «les mêmes risques de dépendance à la nicotine». Et plus elle est consommée tôt dans la vie de l’individu, plus le risque de dépendance est accru, et par conséquence, les risques de cancers et de maladies cardiovasculaires aussi.

Les adolescents sont les premiers concernés. Ils sont de plus en plus nombreux à vapoter dès 13 ans. Le produit et ses accessoires ont tout pour plaire à la jeune génération, comme l’explique Francis Laroche : «C’est un objet branché, coloré, sympa, un peu high-tech. Pour eux, c’est un accessoire de mode.»

Dans le secteur du Saguenay–Lac-Saint-Jean, au Québec, cet éducateur s’active sur le sujet depuis bientôt deux ans. En 2018, il remarque un nouveau phénomène : si la cigarette a presque disparu du paysage, le vapotage est au contraire en passe de devenir une pratique banalisée auprès des jeunes qu’il rencontre : «Je voyais de plus en plus d’ados avec une vape. On s’est aperçu que la problématique touchait peut-être plus les jeunes que ce que l’on pensait. Il fallait trouver un moyen de faire passer l’information.»

Ouvrir le dialogue

Francis Laroche se lance alors dans l’élaboration d’affiches : avec un visuel accrocheur et du contenu validé par le Centre intégré universitaire de santé et services sociaux de sa région, il sensibilise les plus jeunes aux risques du vapotage : «Notre démarche n’est pas de diaboliser», confie ce professionnel qui met maintenant en place des ateliers, face à la demande croissante d’information sur le sujet. «On transmet des messages sur le risque de dépendance, les dangers d’une vaporette qui explose par exemple ou de leurs substances… On organise aussi des rencontres où ils peuvent montrer leur accessoire. Cela ouvre le dialogue», affirme celui qui dénonce une certaine hypocrisie du moment. «Il n’est plus possible de se cacher derrière la diminution du nombre de fumeurs dits traditionnels. Cigarette ou vape? C’est comme comparer un puissant poison et un produit toxique!»

Un point de vue que partage Martin Laliberté : «La cigarette électronique est sans doute un pis-aller pour les personnes fortement dépendantes à la cigarette, reconnait-il, et cela peut les aider, mais c’est évident, cela existe aussi pour attirer de nouvelles générations de fumeurs.»

«Fumer sans fumer»

«Au départ, le vapotage a été présenté comme une alternative à la cigarette, une option pour arrêter de fumer», souligne la docteure Anne Leis, directrice du département de santé publique et d’épidémiologie du collège de médecine de l’Université de la Saskatchewan. «C’était un peu comme fumer sans fumer. Cela appartient à toutes les nouvelles pratiques de consommation, où l’on ne se fixe aucune limite. Mais il y a un réel danger pour la santé, en termes de dépendance, de maladies mentales, pulmonaires… En plus de la nicotine, il y a dans cette cigarette une substance chimique, aromatisée ou pas, qui pose question. On respire quoi exactement?» Difficile de le savoir.

Anne Leis déplore elle aussi l’accoutumance que la cigarette électronique peut engendrer chez les jeunes, une sorte de porte ouverte vers d’autres drogues, dit-elle. Martin Laliberté confirme : «Nous avions oublié le dispositif en lui-même : l’accessoire peut permettre de véhiculer facilement d’autres drogues pour inhaler des dérivés du cannabis par exemple.»

Face à ce constat, l’association médicale canadienne (AMC) a exhorté dès le printemps «Santé Canada à resserrer ses règles et à bannir la publicité de produits de vapotage dans tous les lieux publics et dans les médias audiovisuels». Dans ce combat, les sénatrices telles Chantal Petitclerc ou Judith Seidman montent au créneau. Tous plaident pour une plus forte règlementation et pour une meilleure prévention.

Si au niveau fédéral, les campagnes d’information et de sensibilisation sont officiellement diffusées en anglais et en français, Anne Leis observe une autre réalité sur le terrain : «Au niveau provincial, il est beaucoup plus compliqué d’avoir une information en français, ou alors il y a un délai, estime la Fransaskoise. Dans l’ouest du pays, il faut vouloir aller chercher l’information en français, d’où qu’elle provienne. Il est absolument nécessaire de répondre aux besoins des communautés francophones. C’est un enjeu de santé publique.»

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Francopresse

Agathe Beaudouin (Francopresse)

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 - Thursday 14 November 2024