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Festival fransaskois 2024

Sacré Charlemagne!

Pour nous inviter aux vacances, il y a eu la chanson « C’est le temps des vacances ».  Mais pour nous ramener à la réalité de la fin de celles-ci et de la rentrée scolaire, il y a eu une chanson très populaire en son temps par la chanteuse française France Gall. Évidemment, il s’agit de « Sacré Charlemagne ».

Thursday, August 18, 2016/Author: Michel Vézina/Number of views (25161)/Comments ()/
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Rentrée scolaire stress et excitation pour enfants et parents

Rentrée scolaire stress et excitation pour enfants et parents

Le mois de septembre résonne comme le mois de toutes les découvertes. La plus grande découverte, et néanmoins la plus stressante pour un grand nombre de familles, reste l’entrée à l’école.

Thursday, August 18, 2016/Author: Sandra Hassan Farah /Number of views (37913)/Comments ()/
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Robert Lessard et la rentrée scolaire de l’École Boréale à Fort McMurray

Robert Lessard et la rentrée scolaire de l’École Boréale à Fort McMurray

Deux jours après son entrée en fonction, le feu atteignait la ville

Malgré les défis causés par le feu de forêt, la rentrée scolaire aura lieu pour les élèves de l’École Boréale de Fort McMurray. 

Friday, July 22, 2016/Author: Anonym/Number of views (24642)/Comments ()/
Categories: 2016Éducation
Un collectif de parents fransaskois lance un appel à l'unité

Un collectif de parents fransaskois lance un appel à l'unité

Le Collectif des parents inquiets et préoccupé a émis un communiqué qui fait appel à l'unité pour lutter contre le sous-financement des écoles fransaskoises.

 

Monday, July 18, 2016/Author: Anonym/Number of views (24331)/Comments ()/
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Les écoles fransaskois ont deux codirecteurs

Les écoles fransaskois ont deux codirecteurs

Bernard Roy sera le prochain directeur des études

Malgré une certaine grogne au sein d’un groupe de parents fransaskois face à sa réembauche par le Conseil des écoles fransaskoise (CÉF), Bernard Roy a finalement été nommé codirecteur du CEF en compagnie de Ronald Ajavon. Monsieur Roy sera ainsi en charge du volet éducationnel de l’organisme en supervisant ses orientations et actions alors que monsieur Ajavon s’occupera du côté administratif et opérationnel.
Wednesday, July 13, 2016/Author: Jean-Pierre Picard et Pascal Lévesque/Number of views (32312)/Comments ()/
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Lettre des parents: Bernard Roy doit démissioner

Lettre des parents: Bernard Roy doit démissioner

Le CSF parle de transparence et de rétablir la confiance des parents

Nous demandons la démission de M Roy. C’est la chose morale et honorable à faire. Les parents doivent participer aux élections et demander du changement.
Tuesday, July 12, 2016/Author: Anonym/Number of views (30172)/Comments ()/
L’école francophone et les Néo-Canadiens

L’école francophone et les Néo-Canadiens

De plus en plus, on voit l'immigration francophone comme le moyen de changer le cours de l’histoire qui voudrait que la langue française vogue imperceptiblement vers des eaux troubles et des ciels obscurs.

Thursday, July 7, 2016/Author: Réjean Paulin/Number of views (29663)/Comments ()/
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Exposition d’arts de l’École Ducharme

Exposition d’arts de l’École Ducharme

Les artistes en herbe font belle impression

« Wow! » semble avoir été l’exclamation la plus utilisée lorsque la galerie d’art organisée par le conseil de l’École Ducharme a ouvert ses portes en soirée le 20 juin dernier.

Monday, July 4, 2016/Author: Anonym/Number of views (30013)/Comments ()/
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Lettre de parents fransaskois: La saine gouvernance scolaire 101

Lettre de parents fransaskois: La saine gouvernance scolaire 101

La période électorale du Conseil scolaire fransaskois (CSF) approche à grands pas. Nous sommes les électeurs. Nous sommes des payeurs de taxes (les contribuables).  Nous demandons une éducation de qualité pour nos enfants. Nous demandons l’excellence au niveau du français dans nos espaces scolaires. Nous voulons une gestion responsable de nos écoles.

Thursday, June 30, 2016/Author: Anonym/Number of views (23657)/Comments ()/
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Mon enfant ne veut manger que des pâtes !

Mon enfant ne veut manger que des pâtes !

Même si notre enfant semble être déterminé à ne pas manger les « choses vertes » qui osent envahir son assiette, rien n’est perdu. Voici quelques trucs et astuces pour aider votre enfant dans sa découverte alimentaire.

 

Thursday, June 30, 2016/Author: Sandra Hassan Farah /Number of views (38009)/Comments ()/
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Le président du CSF s’engage à refléter la volonté de la communauté

Le président du CSF s’engage à refléter la volonté de la communauté

Rencontre avec le président du Conseil scolaire fransaskois

Alpha Barry estime que le temps est désormais à la reconstruction pour le CSF dont la situation ne fait pas l’unanimité actuellement.
Thursday, June 16, 2016/Author: Jean-Pierre Picard et Pascal Lévesque/Number of views (31778)/Comments ()/
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Parcours de l’unique finissant de l’école Valois

Parcours de l’unique finissant de l’école Valois

Entre autonomie, discipline et motivation

PRINCE ALBERT - Vivre son secondaire comme étant le seul élève de la classe peut sembler être un défi pour bien des élèves. Cependant, pour Bao Tuong An Chau, la situation ne lui a pas semblé incongrue. Il a su s’en accommoder et même s’en satisfaire pleinement.

 

Thursday, June 16, 2016/Author: Sandra Hassan Farah /Number of views (23458)/Comments ()/
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C’est gros, c’est amusant, c’est le nouveau meuble de jeu à l’École de Bellegarde

C’est gros, c’est amusant, c’est le nouveau meuble de jeu à l’École de Bellegarde

Il y avait beaucoup de gros sourires le 9 mai 2016 à l’École de Bellegarde pendant les récréations, grâce au nouveau meuble de jeu qui a été installé la semaine précédente par des parents bénévoles.
Thursday, June 2, 2016/Author: Aimée Poirier (ACFB)/Number of views (24055)/Comments ()/
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De nouveaux espaces à Saskatoon pour le Collège Mathieu

De nouveaux espaces à Saskatoon pour le Collège Mathieu

Le jeudi 19 mai dernier le Collège Mathieu a inauguré ses nouveaux espaces du campus de Saskatoon.

Thursday, June 2, 2016/Author: Collège Mathieu/Number of views (30722)/Comments ()/
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Ranger, un plaisir partagé ?

Ranger, un plaisir partagé ?

Demander à un enfant de ranger sa chambre peut devenir un jeu

Amener son enfant à devenir grand soulève toujours son lot de soucis pour les parents ; particulièrement pour les parents qui travaillent et qui pensent ne pas avoir assez de temps à leur consacrer. 

Thursday, June 2, 2016/Author: Sandra Hassan Farah /Number of views (38350)/Comments ()/
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Un coup de théâtre communautaire à la Troupe du jour

Author: Jean-Marie Michaud (EV)/Thursday, February 19, 2015/Categories: La Troupe du jour, Arts et culture, Théâtre

Le théâtre communautaire de la Troupe du Jour (LTDJ) vient de renaitre avec sa production du Jeu de l’amour et du hasard de Marivaux. Cette œuvre, parmi les plus belles pièces du répertoire théâtral classique français, représentait un défi de taille à relever. La réussite de cette réalisation marque un nouveau pas dans le cheminement de la compagnie.

Après la représentation en matinée du 8 février dernier, les spectateurs étaient conviés à rencontrer dans le foyer du théâtre les six comédiens de la production entourés des membres de l’équipe technique. Cet échange informel, agrémenté de savoureuses truffes au chocolat1 et de tisane, a mis en lumière l’attachement de nos artisans du théâtre pour ce mode de partage communautaire et de création. La rencontre a donné lieu à de beaux témoignages. En voici un portrait commenté d’un habitué des coulisses de la compagnie.

Conscient de la longue tradition de théâtre communautaire en fransaskoisie, Denis Rouleau, le directeur artistique et général de LTDJ en signait la mise en scène.  

« Après quatre années consacrées à la mise sur pied du nouvel édifice et assurer son bon fonctionnement, le temps était venu de revenir aux sources, et de revivre l’expérience de monter un spectacle communautaire. La troupe a d’ailleurs été fondée comme ça. »

Il lui a fallu attendre longtemps, avant de pouvoir donner vie à son rêve de monter la célèbre comédie romantique de Marivaux. Le jeu en valait la chandelle car il se prêtait à merveille au ton ludique de la saison 2014 - 2015. À preuve, on affichait complet à presque toutes les représentations.

« Une grande part du plaisir de découvrir ce grand classique, provient du fait que dès les premières scènes, la table est mise par Monsieur Orgon. » La recette est bien connue : ce bourgeois bien nanti veut marier sa fille avec le fils d’un ami de la famille et s’assurer de leur bonheur. C’est d’ailleurs tout à son honneur. « ... dans ce monde, il faut être trop bon pour l’être assez. » Monsieur Orgon Acte I Scène II

Une transposition éclairée du XVIII au XXe siècle

En tant que créateur et metteur en scène, Denis nous proposait une lecture personnelle de cette œuvre. L’idée de transposer la pièce au cœur des années vingt relève de son désir de la rapprocher de nous. « Même si le texte remonte à 1730, à l’époque des perruques, des grands costumes, et des mariages arrangés, Marivaux crée des personnages d’une grande modernité. »  Silvia, son personnage central, comme toutes jeunes femmes modernes d’aujourd’hui, insiste auprès de son père sur la nécessité entre époux de partager mutuellement un amour authentique.

Après les misères de la première guerre mondiale, la liberté de choisir et de s’exprimer, si chère à l’auteur du siècle des Lumières, retrouvait dans les années folles un souffle nouveau.

Dans cette oeuvre, Marivaux prend un malin plaisir à bousculer les conventions de la société qui l’entoure à plus d’un niveau. En déguisant les maitres en valets et les valets en maitres, il établie le parallèle entre le rêve d’ascension sociale des uns à la peur d’une mésalliance des autres. Par ce double stratagème, Marivaux suscite le questionnement. Il crée une situation et nous laisse observer ce que ça donne. « Que le sort est bizarre! Aucun de ces hommes n’est à sa place. » Silvia Acte I Scène VII. Serait-ce parce qu’on ne sort pas si facilement de sa condition sociale ? Silvia en fait le constat. Dans l’univers de Marivaux, les gens se reconnaissent entre eux par leur éducation, leurs manières et leur langage. On soupçonne que Monsieur Orgon, son paternel, n’en a jamais douté.

Au troisième acte, l’auteur nous amène encore plus loin pour défendre les valeurs libérales de ses contemporains. Le jeune prétendant à la main de Silvia affirme pour se défendre : « ... le mérite vaut bien la naissance... » Dorante Acte III Scène VIII

Dans la bouche de Dorante, habillé en domestique, la subversion est désarmante. Là est le tour de force car les attributs de son personnage lui permettent de l’affirmer.

Cette pensée - révolutionnaire à son époque - résonne encore aujourd’hui. Même si la vraie nobilité d’une personne ne s’achètera jamais, elle n’est plus conférée par l’héritage ancestral. Monsieur Orgon aurait été bien étonné de voir nos jeunes diplômés devenir leurs propres maîtres, même si leur statut est souvent bien mérité. Toutefois, en regardant notre société, il nous arrive de nous interroger...

La nécessité de comprendre

Fidèle à une tradition instaurée bien avant Molière (1622 -1673), Marivaux (1688 -1763) élabore dans Le jeu de l’amour et du hasard une intrigue savoureuse dans une langue dont il était passé maitre. Son langage soigné, cultivé dans l’éloquence des Salons du 18ième siècle, a donné du fil à retordre aux comédiens. Tous avouaient leurs difficultés à bien saisir les propos et les intentions de leurs personnages. On ne franchit pas deux siècles et demi sans y laisser des plumes.

Lors du travail essentiel de lecture, et de relecture, en amont des répétitions, les comédiens ont vite pris conscience de la nécessité de décortiquer le sens de leurs répliques, pour être en mesure de les interpréter correctement. Même en débroussaillant collectivement leur texte à l’aide de dictionnaires et d’autres ressources littéraires, les secrets du langage de Marivaux se livraient difficilement. Il leur a fallu bucher et s’entraider pour y parvenir le plus possible. Certains se demandent encore comment le public pouvait arriver à s’y retrouver. Cette préoccupation légitime est assumée par la mise en scène, dont la responsabilité première est de rendre la pièce accessible. Au théâtre, la limpidité des mots - même s’il faut parfois en deviner le sens - repose en grande partie sur les nuances de la prononciation, l’habileté du metteur en scène et le jeu des comédiens. Lorsqu’une production est à la hauteur, l’Art prend vie sur scène et dans les cœurs. Avec ces qualités réunies, les émotions contenues dans le texte font vibrer le spectateur. Lorsqu’une production parvient à les rejoindre, on les amène à en redemander.

La mémorisation, l’esprit de famille et le dépassement. 

« L’émulation qui existait entre chacun des comédiens est un des moteurs qui les accompagnaient dans leurs progrès » soulignait Denis. « Quand Roger [Gauthier] a été le premier à connaitre son texte par cœur, c’est ce qui a motivé les autres à en faire autant. Ceux qui avaient déjà de l’expérience ont été la locomotive pour leurs collègues moins expérimentés. »

Roger Gauthier, dans le rôle savoureux de Monsieur Orgon, exprimait son amour irrésistible pour le théâtre, malgré sa crainte d’avoir un blanc de mémoire sur scène. « C’est un tel plaisir de pouvoir sortir de sa réalité quotidienne pour incarner un tel personnage. Faire du théâtre est une expérience formidable pour toute personne qui travaille à plein temps. Il faut se donner pleinement. C’est [aussi] un vrai cadeau de pouvoir faire rigoler le monde. »

Nicole Lavergne-Smith, dans le rôle pétillant de Lisette - la domestique de la maison -

était tout aussi ravie. Les rires du public lors de la première représentation l’ont agréablement surprise. Dans l’intimité de la salle de LTDJ, elle redécouvrait, après des années d’absence sur scène, comment l’impact du public peut nourrir le jeu et l’alchimie des comédiens entre eux. C’est en effet lorsque cet échange est engagé qu’une pièce prend vie. La complexité des rebondissements engendrés par les situations coquasses du texte et le niveau du langage employé par l’auteur étaient pour elle, comme pour tous ses collègues, un réel défi.

Catherine Lemire, dans le rôle principal de Silvia - la fille de Monsieur Orgon - a suscité beaucoup d’admiration chez ses collègues par sa capacité prodigieuse à mémoriser le texte volumineux de son élégant personnage. La mémoire est un muscle, parait il, et l’effort cérébral constant de la musicienne y serait pour beaucoup. Même si elle était à ses premiers pas sur scène, elle a fait preuve d’une grande assurance. Le malin plaisir qu’elle prenait à torturer le pauvre Dorante nous a séduit.

Sudeep Chaklanabis, dans le rôle de Mario - le fil de Monsieur Orgon, (et de toute évidence le [demi]-frère de Silvia) - était également à sa première expérience théâtrale. Le respect, la patience et l’entre-aide entre les comédiens lui ont été d’un grand secours. La mise en bouche de ce texte magistral a aiguisé son désir de se dépasser, même dans sa troisième langue. Il s’est dit très touché, comme tous ses collègues d’ailleurs, par l’esprit de famille qui s’est développé entre eux.

Alexandre Truchon-Savard, dans le rôle tourmenté de Dorante - le fils de bonne famille, et jeune prétendant à la main de Silvia - nous a fait savourer le bonheur qu’il goûtait à se replonger dans le « microcosme du monde du théâtre ». Il s’est concentré initialement à saisir la finesse des répliques de son personnage, avant de pouvoir puiser dans ses expériences antérieures des indices sur le rythme propre à la comédie. Les complications engendrées par le déguisement de Dorante avec son valet lui ont permis de s’illustrer en tirant profit de son intérêt marqué pour l’improvisation.

Jeff Soucy, dans le rôle exigeant d’Arlequin - le valet de Dorante - revenait avec fougue sur les planches de LTDJ. Il retrouvait avec joie le travail qui précède les représentations. Le plaisir de la découverte, et celui de relever le défi de l’interprétation lui manquait beaucoup. Il n’y a rien de tel pour un acteur que de pouvoir plonger là où l’intention de l’auteur le guide, même si au départ il ne sait où elle mène. « C’est en suivant le cheminement de la pensée de l’auteur que l’intelligence du texte s’illumine » disait un jour un grand sage. Jeff exprimait sa reconnaissance d’avoir pu assouvir, le temps d’une production, son goût pour le théâtre et la satisfaction qu’il procure. 

L’essentielle collaboration de l’équipe technique

Fidèle au poste, Adrienne Sawchuk - à la conception des maquillages - exprimait la même passion à participer, grâce à LTDJ, à la merveilleuse aventure collective de la création théâtrale communautaire. Pour elle, « Il n’y a rien de tel. »

C’est également ce que découvraient Marielle Gauthier - à la régie du spectacle - et Isabelle Foucault - comme assistante à la régie. Elles ont beaucoup apprécié leur apprentissage grâce aux précieux conseils de David Granger - à la conception de l’éclairage - et au professionnalisme de Frank Engel - le nouveau directeur technique de la compagnie. Yulissa Campos, une jeune étudiante du département de théâtre de l’Université de la Saskatchewan, les accompagnait. Ensemble, ils formaient une équipe du tonnerre, avec Shavaun Liss - l’excellente éditrice et technicienne aux surtitres - et Chantal Hamon - aux costumes et comme assistante à la scénographie. Chantal soulignait combien les conseils prodigués par Denis - à la scénographie - et l’expertise exceptionnelle de Beverley Kobelsky - au costumier de l’Université de la Saskatchewan lui avaient facilité la tâche. LTDJ avait d’ailleurs reconnu l’apport inestimable de Beverley en lui décernant, par le passé, le prix de la bénévole de l’année. Cette grande dame du monde des costumes dans la communauté théâtrale de Saskatoon accueille toujours à bras ouverts les projets de LTDJ car elle a conscience de l’importance de tisser des liens entre les compagnies pour assurer leur survie et leur succès. 2

Un gros merci et une bonne nouvelle

Denis a profité de cette belle rencontre pour remercier tous les membres de l’équipe de LTDJ, car c’est sur leurs épaules que repose la réussite de la compagnie. Il faisait écho à ce qu’il écrivait dans le programme du spectacle « ... [il] met en vedette des gens de la communauté. Qu’ils soient sur scène ou en coulisse, ils ont tous contribué au succès de cette présentation et je tiens à les remercier de tout cœur. »

Même Thomas Piauley, le vaillant stagiaire dirigé avec bienveillance par Jean-Philippe Deneault - le responsable des communications et du marketing de la troupe - s’est mérité d’être applaudi.

Mentionnons aussi pour leur dévouement : Dany Rousseau - le directeur administratif, Réjeanne Brière - l’adjointe à l’administration, Brigitte April - la gérante de l’édifice et de la billetterie, ainsi que Zoé Fortier - l’artiste-graphiste de la saison.

C’est grâce à tous ses artisans, dans la foulée de ceux et celles qui les ont précédés, que LTDJ poursuit son envol. 

Denis Rouleau, le capitaine de cette belle aventure, nous révélait qu’il va remettre à la programmation une autre production communautaire dans la saison prochaine. « Les auditions débuteront au printemps. Les détails seront annoncés. »

On se réjouit de voir LTDJ poursuivre sa lancée sans se reposer sur ses lauriers. Pratiquer un art comme le théâtre offre la chance infinie de nourrir la vitalité de notre communauté. Le théâtre permet de s’accomplir comme nul autre et de vivre des émotions ensemble.

Jeff pourra bientôt se consoler d’avoir vu si vite arriver la fin des représentations.

Roger quant à lui, pourra dire à nouveau :

« Le théâtre, c’est tellement plaisant. »

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1                On pouvait se régaler l’esprit tranquille de truffes au chocolat car elles étaient offertes grâce à une commandite de la pâtisserie Little Bird Café, nouvellement installée dans le quartier. Merci à tous les commanditaires de LTDJ pour leur générosité.

2                Permettez moi ici d’ouvrir une parenthèse : devant l’évidence du rôle essentiel que représente pour notre communauté l’accès aux précieuses ressources du costumier du département de théâtre de l’université, on comprend l’ampleur du scandale engendré par le démantèlement prochain de l’incomparable costumier de Radio-Canada. Dans cette affaire, les maîtres et les valets sont ils vraiment à leurs places? Silvia se serait surement interrogée.

 

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Tags: Marivaux
Jean-Marie Michaud

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 - Tuesday 2 July 2024