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Le 7 juin, l’hydromellerie artisanale Prairie Bee, la première en son genre dans la province, a été désignée économusée.

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Grâce aux financements du Fonds de développement économique francophone des Prairies (FDÉFP), trois organismes fransaskois peuvent concrétiser...
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Depuis le 3 août, une nouvelle application, Too good to go, permet aux habitants de Regina et de Saskatoon de réduire leur gaspillage alimentaire....
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Le CÉCS investit pour l’avenir

En se dotant d’un fonds d’investissement depuis la première fois de son existence, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) compte bien donner un nouveau souffle pour l’entrepreneuriat fransaskois. Kouamé N’Goandi, directeur général de l’organisme, explique le but de l’initiative.

Lutter contre le déclin démographique par la relance économique

L’augmentation des cibles en immigration et l’injection substantielle de fonds gouvernementaux se trouvent au cœur du deuxième Livre blanc sur la francophonie économique. Le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE Canada), qui signe le document, propose un plan de cinq ans qui mise notamment sur la création de programmes spécifiques en immigration et en...
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Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.
Monday, November 15, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
Thursday, September 30, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/
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Actualité économique

De la place pour l’art-thérapie

David Baudemont, art-thérapeute

David Baudemont, art-thérapeute

David Baudemont est un art-thérapeute professionnel, membre de l’Association canadienne d’art-thérapie, qui travaille dans ce domaine depuis 2005. Également artiste visuel, écrivain et dramaturge, il a signé plusieurs œuvres. J’ai rencontré David dernièrement pour mieux comprendre les principes de l’art-thérapie. Entretien.

L’art-thérapie, c’est quoi ?

L’art-thérapie se base sur les principes de la psychanalyse, qui considère que les réponses à nos questions et nos angoisses sont inaccessibles directement et se cachent dans notre inconscient. La différence avec la psychanalyse classique est que l’art-thérapie utilise l’image plus que les mots. Cela peut avoir un avantage car nous autocensurons souvent nos paroles. L’art a les moyens de franchir cette barrière et d’aller chercher les réponses dans l’inconscient.

L’art-thérapie donne beaucoup de pouvoir au patient parce qu’il va produire ses propres images, les découvrir et les comprendre. L’art-thérapeute est là comme guide.

C’est donc une prise de pouvoir par le patient.

Comment ça se passe ?

Un patient commence une séance en décrivant brièvement ce qu’il ressent. À partir de là, l’art-thérapeute lui demande de former une certaine image en lui suggérant par exemple de dessiner le scénario catastrophe puis le scénario idéal.

Dans ma pratique, j’associe l’art-thérapie et le psychodrame, une forme de drama-thérapie. Nous mettons en scène la situation problématique et, avec le client, nous en jouons les différents rôles. Tout est fait dans le but d’aller en profondeur et trouver des pistes de solutions. Cette approche permet d’aller « sous l’iceberg » du problème ou de la difficulté en question.

Et si une personne n’est pas créative ?

La perception qu’il faut avoir un talent artistique pour bénéficier de l’art-thérapie est un mythe. Nous avons tous la capacité de visualiser. Quand on ferme les yeux en planifiant sa journée du lendemain, on est en train de visualiser. La plupart des personnes ont cette capacité. L’art-thérapie amène la personne à se recréer une carte du futur.

Qu’est-ce que vous appréciez dans cette forme de thérapie ?

C’est un jeu de piste en alliance avec le patient. Ce genre de travail peut être amusant et émotionnel en même temps. Je participe à ce jeu-là pleinement. Avec l’intégration du psychodrame, on se retrouve en duo pour explorer les images qui ont émergé. C’est dynamique et spontané.

À titre d’art-thérapeute, je deviens un partenaire, au même niveau que mon patient. Nous associons nos forces pour aller vers une résolution. Ceci est un rôle différent que celui joué par le psychanalyste freudien.

Retrouvez la série de 10 ateliers intitulée « Notre santé mentale en temps de pandémie et post-pandémie », animée par David Baudemont et Francine Proulx-Kenzle via le Réseau Santé en français de la Saskatchewan, dès le mois d’octobre.

Plus de renseignements sur le site du Réseau Santé en français de la Saskatchewan:
http://rsfs.ca/Quoi-de-neuf/Formations-et-ateliers/ateliers-notre-sante-mentale-en-temps-de-pandemie-et-de-post-pandemie

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