Close
Le CÉCS souligne la contribution des bénévoles Le CÉCS souligne la contribution des bénévoles

Le CÉCS souligne la contribution des bénévoles

Roger Lepage, gagnant de la 5e édition du Bravo Bénévoles !

30248

Roger Lepage est le gagnant du prix Castor de la 5e édition du prix Bravo Bénévoles. Le banquet Bravo Bénévoles s'est déroulé le samedi 11 juin dernier, à l’hôtel Delta Bessborough à Saskatoon.

Le budget de la Saskatchewan affiche un déficit de 434 millions $ Le budget de la Saskatchewan affiche un déficit de 434 millions $

Le budget de la Saskatchewan affiche un déficit de 434 millions $

Les écoles fransaskoises reçoivent 193 000$ de plus

19856
Le gouvernement de la Saskatchewan augmente les frais de médicaments d'ordonnance pour les enfants et les personnes âgées, réduit les fonds pour les parcs en zone urbaine et élimine un crédit d'impôt pour les familles avec des enfants inscrits dans des activités récréatives,...
Faut-il (encore) avoir peur de la finance sociale ? Faut-il (encore) avoir peur de la finance sociale ?

Faut-il (encore) avoir peur de la finance sociale ?

Une première annonce de 3,4 millions $ à mi-parcours de la Feuille de route pour les langues officielles vient relancer quatre...
24590
Budget fédéral 2016: Au-delà de Radio-Canada Budget fédéral 2016: Au-delà de Radio-Canada

Budget fédéral 2016: Au-delà de Radio-Canada

OTTAWA – Pour son premier budget, le nouveau gouvernement libéral avait promis de stimuler l’économie canadienne avec...
16416
RSS
First34568101112Last
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.
Monday, November 15, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
Thursday, September 30, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/
RSS
123456810Last

Actualité économique

Anonym
/ Categories: 2014, Politique

Fêtes nationales bilingues pour le 150e?

Patrimoine canadien est engagé suite à une recommandation du commissaire aux langues officielles

Shelly Glover

Shelly Glover

PHOTO: La voix acadienne (2014)

OTTAWA - Le commissaire aux langues officielles a recommandé au ministère de produire des rapports d’étape sur la mise en œuvre de mesures pour célébrer dans les deux langues le 150e anniversaire du Canada. La réponse n’a pas tardé.

Quelques heures après la publication du rapport annuel de Graham Fraser, le 7 octobre, Patrimoine canadien a répondu. « Je peux vous dire au nom de la ministre (Shelly) Glover, affirme l’attachée de presse Marisa Monnin, que nous reconnaissons que les communautés francophones et anglophones contribuent à la vitalité culturelle, sociale et économique de notre société. »

À preuve, écrit la relationniste : « La nouvelle Feuille de route pour les langues officielles est l’investissement le plus complet dans l’histoire du Canada, avec un financement de 1,1 milliard. C’est incontestable.

« Notre gouvernement est engagé à faire en sorte que les célébrations du 150e anniversaire du Canada soient mémorables pour tous les Canadiens, d’un océan à l’autre et dans nos deux langues nationales. »

L’intention de Graham Fraser était de prévenir : « Il s’agit d’une occasion de célébrer l’histoire du Canada et de se rappeler que la relation entre les Canadiens d’expression française et d’expression anglaise en est le fil conducteur. »

Le commissaire considère que, pour s’engager dans le respect de ses obligations sous la Loi sur les langues officielles, l’administration est plus apte à répondre à des demandes concrètes.

Pour voir leurs efforts réussir, écrit-il, les institutions fédérales doivent « établir des plans avec précaution, consulter les communautés de langue officielle susceptibles d’être touchées par les mesures envisagées et effectuer un suivi régulier des progrès. Les échecs surviennent lorsque les institutions négligent l’étape de la planification. Or, la planification nécessite l’exercice d’un leadership. »

Une recommandation de 2012-2013 pressait la ministre Glover « d’établir d’ici au 31 octobre 2014 des objectifs clairs afin de rehausser le bilinguisme dans la population canadienne et de renverser le déclin du bilinguisme chez les anglophones » avant 2017. Graham Fraser avait également demandé l’élaboration de contrôles pour connaître l’impact des coupures budgétaires sur les communautés de langue officielle.

Le commissaire constatait aussi « que le rôle de coordination horizontale n’apparaît pas dans le budget de la Feuille de route pour les langues officielles 2013-2018 ». Il demandait au président du Conseil du Trésor et à la ministre du Patrimoine de se doter d’ici un an « d’un nouveau cadre de gestion et de responsabilisation » pour sa mise en œuvre.

L’absence de réponse du gouvernement révélée dans le rapport annuel fait bondir la Fédération des communautés francophones et acadienne. La présidente Marie-France Kenny s’interroge : « Y a-t-il un pilote dans l’avion ?

« En lisant le rapport, clame-t-elle, on a l’impression que les institutions fédérales sont laissées à elles-mêmes, tandis que Patrimoine canadien et le Conseil du Trésor ne jouent pas leur rôle de coordination.

« Quant au commissaire, signale Marie-France Kenny, il fonde beaucoup d’espoirs sur ses recommandations pour amener les institutions fédérales à respecter leurs obligations. Faut-il lui donner plus de pouvoir ? Déjà, si ses recommandations ne sont pas écoutées, il peut aller en cour. Mais les problèmes demeurent.

« Ce n’est pas le commissaire qui doit faire plus, croit-elle, mais le gouvernement. La ministre Glover n’a pas l’autorité pour exiger quoi que ce soit de ses collègues. La seule personne qui a le pouvoir de faire ça, c’est le premier ministre Stephen Harper. »

Le député d’Acadie-Bathurst (NB) et grand défenseur du bilinguisme, Yvon Godin, a vécu les effets du manque de leadership sur le terrain.

« En Atlantique, il y avait quatre différents bureaux directeurs pour Ressources humaines Canada, a-t-il déclaré à la SRC. Ils ont fermé les quatre pour n’en ouvrir qu’un, à Terre-Neuve, dirigé par une personne contre laquelle j’ai été obligé de porter plainte parce qu’elle ne parlait pas un mot de français. Son assistant non plus. » 

Le rapport 2013-2014 fustige les récalcitrants habituels, dont Air Canada et l’Agence canadienne des services frontaliers. Il accorde d’excellentes notes à Via Rail et à Statistique Canada. Il dresse un bilan de 476 plaintes recevables (comparativement à 415 l’année précédente), dont 282 sur le service au public et 103 sur la langue de travail.

Print
20997
Comments are only visible to subscribers.

Contact author

x
Terms Of UsePrivacy StatementCopyright 2014 par L'Eau vive
Back To Top