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Corridor : un projet historique à saveur francophone! Corridor : un projet historique à saveur francophone!

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Un projet touristique et culturel dans le cadre de Canada 150

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REGINA - Les festivités du  150e du Canada battent leur plein. Un projet pancanadien  à l'enseigne du patrimoine, de la culture et du tourisme francophone se mettra en branle impliquant trois ministères fédéraux.

Un budget qui fait mal Un budget qui fait mal

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Hausse de la taxe provinciale et coupures de services en Saskatchewan

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Dans son dernier budget, le gouvernement de la Saskatchewan a annoncé une série de coupures ou abolitions de services, une hausse d'un point de la taxe de vente provinciale et une baisse de 3,5 pour cent des salaires dans la fonction publique. 
Et pourquoi pas un salaire maximum! Et pourquoi pas un salaire maximum!

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Savez-vous ce qui s'est passé le mardi 3 janvier 2017?  À 11h47 très exactement, les 100 présidents-directeurs...
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Dans un rapport du Fonds monétaire international, on peut lire: "Au lieu de favoriser la croissance, certaines politiques...
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Programme Mobilité francophone

Le ministère Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) a annoncé l'arrivée du programme Mobilité francophone à compter du 1er juin 2016.  Ce programme avantage les francophones qui reçoivent une offre d'emploi au Canada hors du Québec.
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Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

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Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.
Monday, November 15, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
Thursday, September 30, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/
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Actualité économique

Quel avenir pour le journal albertain Le Franco?
Marc Poirier (Francopresse)
/ Categories: Communication

Quel avenir pour le journal albertain Le Franco?

Plusieurs questions se posent quant à l’avenir du journal albertain Le Franco à la suite de la décision de son propriétaire, l’Association canadienne-française de l’Alberta (ACFA), de reprendre plein contrôle de l’hebdomadaire.

La semaine dernière, l’ACFA a dissout le conseil d’administration indépendant du journal qu’elle avait nommé en 2018 et congédié la rédactrice en chef, Hélène Lequitte.

À première vue, le geste peut paraitre étonnant puisque, plus tôt cette année, l’ACFA s’était presque entendu pour vendre Le Franco à ce même conseil d’administration.

Que s’est-il passé? La présidente du conseil d’administration de l’ACFA, Sheila Risbud, expliquait ainsi la situation vendredi dernier sur les ondes de Radio-Cité d’Edmonton : «Ultimement, Le Franco est une filiale de l’ACFA. En tant que filiale, l’ACFA a un devoir fiduciaire et légal et fiscal envers Le Franco. Dans le moment, on sentait, basé sur des avis juridiques et de nos aviseurs financiers, qu’il était le temps de reprendre en main un peu Le Franco parce qu’on sentait qu’il n’y avait pas eu la chance d’avoir une consultation vraiment avec les membres de l’ACFA avec la communauté sur l’avenir du journal et sur ce que le journal devrait être et qu’en reprenant le contrôle du conseil d’administration, ça nous permettait justement de mettre une pause et de nous permettre que cette consultation publique ait lieu.»

À la fin du mois d’aout, le conseil d’administration de l’ACFA a voté en faveur de la vente du journal, mais il s’est ravisé après avoir essuyé plusieurs critiques provenant de la communauté. Comme des élections à l’ACFA approchaient, la décision a été prise de laisser au prochain conseil d’administration le soin de décider de la voie à suivre.

Questions de vocations

Le nouveau conseil d’administration de l’ACFA avance plusieurs raisons pour expliquer son geste. L’une d’elles est la dette de 200 000 $ que le journal a envers l’ACFA. Selon Pierre Asselin, membre du conseil, l’offre d’achat présentée par le conseil d’administration du Franco incluait l’annulation de cette dette. «De faire une transaction qui effacerait la dette de 200 000 $ mettrait à risque, en théorie, notre statut d’organisme de bienfaisance», souligne-t-il. Et la perte de ce statut aurait pu priver l’ACFA l’accès à sa propre fondation.

Le président du conseil d’administration dissout du Franco, Louis Grenier, affirme que le journal n’avait pas à payer cette dette puisque l’ACFA, au fil des ans, avait utilisé une très grande partie des profits de l’hebdomadaire pour payer des primes aux employés. «Donc, le même organisme qui a permis des décisions de cette nature-là qui ont couté de l’argent au journal a aussi permis un soi-disant endettement qui était basé sur le paiement de salaires des employés de l’ACFA.»

Mais pour Pierre Asselin, cette façon de voir les choses est un non-sens. «On n’était pas convaincu que l’ACFA avait privé les profits du Franco plutôt que les laisser là, dit-il. C’est pas comme de dire que l’ACFA a pris l’argent et se l’est approprié. C’était l’argent du Franco pour payer les employés du Franco dans les années où ils ont fait de l’argent.»

L’ACFA craignait également que le journal perde sa vocation communautaire avec les nouveaux propriétaires.

Louis Grenier souligne que c’est justement ce qui devrait faire la différence entre un journal indépendant et un journal qui est la propriété d’un organisme porte-parole. «Tout ce que je veux c’est qu’au moins le journal ait une chance pour l’avenir et qu’il ne soit pas juste un organe de communication pour certaines personnes qui désirent dire ce qu’eux veulent qui soit dit à la population.»

L’Association de la presse francophone (APF), dont Le Franco est membre, ne veut pas s’immiscer dans cette dispute. Toutefois, son président, Francis Sonier, rappelle l’un des grands principes de la Charte de la presse écrite de langue française en situation minoritaire au Canada que s’est dotée l’APF : «un journal n’est pas un organe de propagande, ce n’est pas le bulletin communautaire des organismes communautaires, c’est un journal à part entière qui a un rôle critique et, surtout, indépendant.» Il estime que l’ACFA était sur la bonne voie lorsqu’elle avait nommé un conseil d’administration indépendant pour le journal l’an dernier. «On dirait qu’on revient à la case départ. On revient en arrière.»

L’ACFA a nommé un rédacteur en chef intérimaire en la personne d’Alain Bessette, un ancien rédacteur en chef du journal L’Aquilon, aux Territoires du Nord-Ouest. Le processus d’embauche pour un nouveau rédacteur en chef sera lancé en janvier.

L’ACFA veut aussi lancer une consultation auprès de la communauté sur l’avenir du journal Le Franco.

Elle assure que l’indépendance journalistique sera assurée. Quant à son indépendance totale, c’est une question qui reste à débattre, et à décider.

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