Bras de fer dans le dossier immigration Bras de fer dans le dossier immigration Wednesday, May 3, 2017 33064 Regina – Le dossier du Réseau immigration francophone en Saskatchewan (RIF-SK) a suscité bien des réactions au cours des derniers mois.
Corridor : un projet historique à saveur francophone! Corridor : un projet historique à saveur francophone! Un projet touristique et culturel dans le cadre de Canada 150 Saturday, April 29, 2017 32723 REGINA - Les festivités du 150e du Canada battent leur plein. Un projet pancanadien à l'enseigne du patrimoine, de la culture et du tourisme francophone se mettra en branle impliquant trois ministères fédéraux.
Un budget qui fait mal Un budget qui fait mal Dans son dernier budget, le gouvernement de la Saskatchewan a annoncé une série de coupures ou abolitions de services, une hausse... Thursday, March 30, 2017 30063
L’Office national de l’énergie veut se redéfinir L’Office national de l’énergie veut se redéfinir L’Office national de l’énergie (ONE) a débuté sa tournée nationale de consultation avec un premier... Wednesday, February 15, 2017 25570
Et pourquoi pas un salaire maximum! Et pourquoi pas un salaire maximum! Savez-vous ce qui s'est passé le mardi 3 janvier 2017? À 11h47 très exactement, les 100 présidents-directeurs... Thursday, January 19, 2017 36609
Les PDG les mieux payés ont déjà gagné le salaire annuel d'un employé Les PDG les mieux payés ont déjà gagné le salaire annuel d'un employé Avant que l'horloge n'ait sonné les 12 coups de midi le mardi 3 janvier, les présidents et chefs de la direction les mieux... Tuesday, January 3, 2017 23285
L’importance des plans d’épargne enregistrés individuels L’importance des plans d’épargne enregistrés individuels Dans les deux dernières décennies, on a beaucoup entendu parler de l’importance des plans d’épargne enregistrés individuels et la... Thursday, September 15, 2016 37502
Accès carrière : favoriser l’employabilité des jeunes via l’expérience... Accès carrière : favoriser l’employabilité des jeunes via l’expérience... L’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) offre le programme Accès carrière qui permet aux jeunes de... Monday, August 1, 2016 33171
Saturday, July 23, 2016 Grandeurs et misères du néolibéralisme Dans un rapport du Fonds monétaire international, on peut lire: "Au lieu de favoriser la croissance, certaines politiques néolibérales ont accru les inégalités, mettant en péril une croissance durable."
De l'Algérie à la cuisine du Artful Dodger Thursday, July 7, 2016 De l'Algérie à la cuisine du Artful Dodger REGINA - Arrivé au Canada en 2014, Ramdane Chiouk travaille comme cuisinier à l’Artful Dodger au centre-ville de Regina grâce, à un projet pilote de Avantage significatif francophone.
Alexandre Truchon-Savard / Saturday, December 29, 2018 / Categories: Archives, 2018, Agriculture et environnement, Chronique environnement Ne pas se faire passer un sapin Arbre de Noël Photo : Nicolas Vollmer Votre humble chroniqueur doit s’avouer surpris lorsqu’il a appris qu’il devra conserver son sapin de Noël artificiel pendant au moins 20 ans afin d’assurer qu’il ait moins d’impact écologique qu’un sapin naturel annuel. En effet, produit généralement en Asie et de matière non recyclable, le sapin artificiel génère trois fois plus de carbone que son homologue de bois pendant sa durée de vie moyenne de six ans. Il est donc plus écologique d’utiliser un arbre naturel, idéalement d’un producteur local. Grâce à la plupart des programmes de collecte de sapins après les célébrations, plusieurs arbres trouvent une seconde vie dans la production d’huiles essentielles, comme nourriture pour les cervidés en élevage ou comme matière compostable. Bien entendu, un grand mérite vous revient si vous l’affublez d’une parure faite maison et la réutilisez le plus longtemps possible. Cependant, si vous devez parcourir plus de 5 km pour aller chercher votre roi des forêts, l’émission de carbone devient plus grande pour l’utilisation d’un arbre naturel. Si la solution n’est peut-être pas dans le choix du sapin pour vous, sachez que faire du covoiturage ou aller travailler en vélo trois semaines par année permet de compenser les émissions de carbone de votre sapin, peu importe le type. Bref, relativement négligeable dans les deux cas si on considère les autres déchets générés pendant cette période de l’année. Les puristes qui tiennent mordicus à respecter la tradition du sapin de Noël sont souvent surpris de voir d’autres essences d’arbres en vente à l’approche des Fêtes. Comment bien les reconnaître et ainsi avoir l’air vraiment intelligent dans votre salon, vêtu d’un exubérant tricot avec un verre de lait de poule à la main ? Alors qu’aux États-Unis on ne compte pas moins de 10 essences populaires pour décorer les foyers, même des cèdres, au Canada on retrouve le plus souvent, trois types de conifères : les sapins, les épinettes et les pins. Les arbres achetés dans des pépinières et les plantations sont souvent des variétés horticoles, il peut donc être difficile de les identifier précisément à l’espèce. Cependant, déterminer le genre est assez facile. Voici un petit guide rapide pour savoir le genre d’arbre qui orne votre salon ou celui de vos proches. Le premier critère est de déterminer si les aiguilles de l’arbre sont en fascicule (en paquet de deux à cinq). Si oui, votre arbre est un type de pin. Il existe neuf espèces de pins indigènes au Canada, dont deux se retrouvent en Saskatchewan : le pin tordu latifolié (lodgepole pine) et le pin gris (jack pine). En présence d’aiguilles individuelles, le prochain test est de vérifier si les aiguilles sont plates ou triangulaires en essayant d’en faire rouler une entre vos doigts. Si l’aiguille roule (triangulaire), c’est une épinette. Les épinettes indigènes de la Saskatchewan sont les épinettes noires et blanches, mais il est peu probable que ces espèces soient utilisées comme arbres décoratifs en raison de leur croissance plutôt lente. Finalement, si l’aiguille ne roule pas et elle est plate, l’arbre est un véritable sapin de Noël ! Le sapin baumier est l’espèce indigène que l’on retrouve en Saskatchewan. Les sapins sont généralement les essences préférées comme arbre de Noël puisqu’ils ont tendance à moins perdre leurs aiguilles et dégagent une meilleure odeur. Pour ce qui est du mélèze, le seul conifère décidu au Canada, il ferait un triste arbre des Fêtes puisqu’il perd ses aiguilles à l’automne ! Pour les curieux, l’étude (en anglais) se trouve ici : http://ellipsos.ca/lca-christmas-tree-natural-vs-artificial/ Print 34662 Alexandre Truchon-SavardWebmestre Other posts by Alexandre Truchon-Savard Contact author Comments are only visible to subscribers.