Le budget fédéral et la formation à l’emploi Le budget fédéral et la formation à l’emploi Les francophones pris entre les colonnes Thursday, February 27, 2014 34335 Les provinces, les employeurs et les sans emploi sont poussés au pied du mur.
AGA de la Chambre de commerce de Gravelbourg AGA de la Chambre de commerce de Gravelbourg Sunday, February 23, 2014 25907 Le Centre culturel Maillard a été l’hôte de l’assemblée générale annuelle (AGA) de la Chambre de commerce de Gravelbourg le jeudi 13 février 2014.
Êtes-vous business? Êtes-vous business? C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et... Thursday, February 20, 2014 37997
L'Eau vive / Thursday, March 6, 2014 / Categories: Société, Aînés Mourir dans la dignité Compassion, économie ou évasion juridique? Jean-Pierre Dubé (APF) « Les gens ont de la misère à faire la part des choses, souligne la présidente de la Fédération des aînés fransaskois. D’un côté, on a une population vieillissante qui coûte de plus en plus cher à soigner; et de l’autre, des non-pratiquants qui veulent avoir plus de choix. Avant que des lois soient adoptées, j’aimerais que les vraies raisons soient mises sur la table. « On ne veut pas la souffrance extrême, dit-elle, on ne veut pas non plus qu’il y ait de l’abus. Ni que les professionnels pratiquant l’aide à mourir ou qui s’objectent aient des ennuis juridiques. « Le projet de loi québécois, reconnaît Annette Labelle, ça brasse des idées, ça fournit une opportunité d’en parler. On a semé l’idée qu’on doit changer quelque chose. Mais ça va me soulager si ça ne passe pas. La sensibilisation n’est pas complète. Il y a trop de négatif. » Comme Paul-André Gauthier, la résidente de Ponteix préconise la communication et la conscientisation. « La démarche québécoise nous force à avoir une discussion en famille et dans nos communautés. Il y a des familles qui ne parlent jamais des questions de fin de vie et ça cause de l’abus et des erreurs. Annette Labelle, présidente de la Fédération des aînés fransaskois « C’est notre responsabilité comme adultes, précise l’archiviste, d’avoir un testament et des directives en cas de perte d’autonomie. Et c’est important que ces informations soient partagées : c’est une opportunité d’en parler en famille et pour les jeunes enfants d’en entendre parler. « J’ai eu la chance de venir au monde quand il n’y avait pas encore d’avortements. Je crois au Notre-Père, résume Annette Labelle. Quand je dis « que ta volonté soit faite », c’est la volonté du Christ; ce n’est pas mon corps, c’est son corps. Mettre fin à ma vie, ce n’est pas un choix que je ferai. « En cas de maladie ou de blessure grave, mon mari et moi avons décidé qu’on ne voulait pas rester branché à une machine. Ce ne serait pas juste pour nous, ni pour la famille et la société. Mais tant qu’on est vivant, on ne voudrait pas qu’on nous laisse mourir de faim. « Le cadeau de l’avoir discuté en famille, c’est que chacun peut donner son opinion. Et après les enfants sont mieux informés pour faire leurs propres choix. » Print 21661 L'Eau viveL'Eau vive Other posts by L'Eau vive Contact author Comments are only visible to subscribers.