Close
Le budget fédéral et la formation à l’emploi Le budget fédéral et la formation à l’emploi

Le budget fédéral et la formation à l’emploi

Les francophones pris entre les colonnes

35637

Les provinces, les employeurs et les sans emploi sont poussés au pied du mur.

AGA de la Chambre de commerce de Gravelbourg AGA de la Chambre de commerce de Gravelbourg

AGA de la Chambre de commerce de Gravelbourg

Le Centre culturel Maillard a été l’hôte de l’assemblée générale annuelle (AGA) de la Chambre...
26891
Êtes-vous business? Êtes-vous business?

Êtes-vous business?

C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et...
39568
RSS
First789101112131416
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.
Monday, November 15, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
Thursday, September 30, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/
RSS
12345678910Last

Actualité économique

Paul Heppelle

Comment devenir Fransaskois

Comment ne pas sympathiser avec Alexandra Drame (Eau vive, 19-25 mars), confuse devant une étiquette appropriée pour qualifier son identité francophone. Je vis, de temps en temps, de pareils moments. C’était plus difficile à un temps; plus facile maintenant.

Pourtant, je suis canadien de naissance, fils d’un père francophone, descendant d’une longue lignée de francophones, “immigrant” en quelque sorte, qui est arrivé en Saskatchewan en 1959, il y a alors 56 ans et finissant du Collège Mathieu alors  qu’il était collège classique.

Mon implication active dans et pour la communauté francophone de la province date depuis les années ’70. Durant ma carrière professionnelle, j’étais, entre autres, à la direction du Collège Mathieu et de l’École française de Saskatoon (la seule « Type A » à l’époque), du bureau des affaires francophones pour le gouvernement provincial. J’ai pris ma retraite après 12 ans comme concepteur de programmes à l’unité fransaskoise au ministère de l’Éducation de la Saskatchewan.

De plus, j’ai fait deux termes à la Commission de langue française de la Fédération canadienne des enseignants, 6 ans comme délégué saskatchewannais à la Fédération des communautés francophones et acadiennes du Canada, 5 ans au Conseil pastoral francophone interdiocésain de la Saskatchewan, 10 ans à l’Assemblée communautaire fransaskoise.  J’ai défendu le fait français et nos droits devant la Commission Pépin-Robarts, la Commission Ready, nos deux universités et les gouvernements de la Saskatchewan et du Canada. Mes trois enfants ont fréquenté les écoles fransaskoises et j’étais membre en droit de trois paroisses francophones de la province.

Je ne voudrais pas me vanter pas, mais il me semble que si quelqu’un peut s’appeler « Fransaskois », c’est bien moi. Et j’ai prononcé ce digne sobriquet haut et fort un peu partout au monde. Loin de moi les qualificatifs « d’adoption », « nouveau », « de souche » et tout autre déterminant que l’on voudrait me faire porter, sans doute pour me diminuer. Pourtant, dans certains quartiers, chez certaines gens, je serai à tout jamais    « ce gars d’ailleurs », la récente Commission sur l’inclusion nonobstant.

Mon avis à Mme Drame – « Fransaskoise, tout court? »  Va avec ce qui vous convient et tant pis pour ces gens qui ne veulent jamais s’adapter, ou ces quelques snobs qui croient avoir inventé la francophonie saskatchewannaise parce qu’ils y sont nés! N’est-ce pas un trajet humain ordinaire de passer un peu de temps ici et là, héritant un peu du milieu en passant et laissant un peu derrière soi lors de son départ?

Paul Heppelle, Saskatoon

 

Print
20733

Paul HeppellePaul Heppelle

Other posts by Paul Heppelle
Contact author
Comments are only visible to subscribers.

Contact author

x
Terms Of UsePrivacy StatementCopyright 2014 par L'Eau vive
Back To Top