Le budget fédéral et la formation à l’emploi Le budget fédéral et la formation à l’emploi Les francophones pris entre les colonnes Thursday, February 27, 2014 34375 Les provinces, les employeurs et les sans emploi sont poussés au pied du mur.
AGA de la Chambre de commerce de Gravelbourg AGA de la Chambre de commerce de Gravelbourg Sunday, February 23, 2014 25920 Le Centre culturel Maillard a été l’hôte de l’assemblée générale annuelle (AGA) de la Chambre de commerce de Gravelbourg le jeudi 13 février 2014.
Êtes-vous business? Êtes-vous business? C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et... Thursday, February 20, 2014 38023
Laurent Desrosiers / Thursday, July 10, 2014 / Categories: 2014, Les timbrés Cinq timbres marquent le 75e anniversaire de l'ONF 1939... La guerre a éclaté en Europe. Le Canada est engagé C'est en 1939 que le gouvernement fédéral lance l'Office national du film (ONF). L'effort de guerre sape les finances du Canada. Peu importe! On embauche une équipe de caméramans qui s'évertuent à documenter sur film les efforts héroïques des Canadiens tant sur le front de guerre que sur le front domestique. Dès sa fondation, les cinéastes de l'ONF se concentrent sur la vie canadienne dans tous les champs d'activité. Le Canada est devenu un chef de file dans la production du film documentaire. Cinq timbres ont paru le 2 mai 2014 pour commémorer le 75e anniversaire de l'ONF. Son palmarès est impressionnant: plus de 13 000 films documentaires, 12 Oscars et 90 prix Génie. Sa spécialité est le documentaire et son premier commissaire, John Grierson, était un pionnier du documentaire. Pour produire les 5 timbres, le choix est tombé sur les 5 films suivants: Flamenco (1983), The Railrodder (1965), Mon oncle Antoine (1971), La valse du maître draveur (1979) et Voisins (1952). Une image de chacun de ces films est encadrée par le logo de l'ONF. Quand ce scribe fréquentait l'École normale de l'Université d'Ottawa, lui et ses compagnons d'études empruntaient à l'ONF une brassée de documentaires et un projecteur Bell & Howell pour notre délassement de fin de semaine. C'était gratuit. Les télévisions étaient rares dans ces temps. Les documentaires de l'ONF remplissaient nos fins de semaines, surtout celles de nos hivers sibériens. Une autre fois, je suivais un cours d'été à la même université. Je logeais juste à côté de l'édifice de l'ONF sur la rue Fairmont dans l'ouest de la capitale. L'équipe cherchait à simuler des accidents, surtout des accidents de la route. Que de carnage! Bientôt leur terrain de stationnement était jonché de ferraille. Les cinéastes avaient autant de plaisir que les Myth Busters. Print 13885 Laurent DesrosiersLaurent Desrosiers Other posts by Laurent Desrosiers Contact author Comments are only visible to subscribers.