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L’après-pétrole dans l'Ouest canadien: entre déni et peur de l’inconnu L’après-pétrole dans l'Ouest canadien: entre déni et peur de l’inconnu Impact sur les francophones Thursday, August 27, 2015 23491 « Le pétrole nous a donné une période de croissance économique mais il n’en reste rien, soutient la professeure retraitée de l’Université de Calgary, Dominique Perron. Les perceptions traditionnelles de l’économie ont à peu près trahi les Canadiens. Le...
Le CCS attend plus de justice avec les anglophones Le CCS attend plus de justice avec les anglophones REGINA - Le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan espère que le pouvoir issu des prochaines élections, épaulera... Thursday, August 20, 2015 24487
Le français, un atout de taille en affaires Le français, un atout de taille en affaires Le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE) Canada a profité de la tenue de... Friday, June 26, 2015 18351
Le CCS devient le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan Le CCS devient le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan REGINA - Les années se suivent mais ne se ressemblent pas pour l'association fransaskoise qui s'occupe d'économie, le Conseil de la... Thursday, June 18, 2015 28941
Essencerie automatisée: inauguration officielle à Gravelbourg Essencerie automatisée: inauguration officielle à Gravelbourg GRAVELBOURG - La Coopérative régionale Southland d’Assiniboia a inauguré officiellement une nouvelle essencerie... Thursday, June 18, 2015 24791
Économie et francophonie Économie et francophonie Le Conseil de la coopération a changé de nom pour devenir le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan. Ce... Thursday, June 18, 2015 31005
La presse doit se réinventer La presse doit se réinventer TORONTO - Les journaux régionaux sont au coeur d'une révolution sans précédent et ils doivent innover pour demeurer... Tuesday, June 16, 2015 22332
Tourisme francophone en milieu minoritaire Friday, June 12, 2015 Tourisme francophone en milieu minoritaire Mais le tourisme de proximité n’est pas adapté aux dimensions du Canada. Visiter les communautés francophones reste néanmoins un marché en plein essor.
Le français, langue de travail au World Trade Centre Winnipeg Wednesday, May 20, 2015 Le français, langue de travail au World Trade Centre Winnipeg WINNIPEG - Fin avril 2015, les 300 membres de l’Association internationale des WTC ont élu Mariette Mulaire à leur Conseil d’administration.
Publireportage - Fondation dialogue / Wednesday, June 21, 2023 / Categories: Arts et culture, Publireportage La Saint-Jean en musique, de 1834 à aujourd’hui PUBLIREPORTAGE – La fête de la Saint-Jean-Baptiste est depuis longtemps un moment de célébration de l’identité culturelle canadienne-française. Depuis près de 200 ans, les francophones du Canada chantent leur culture le 24 juin. Cette tradition se poursuit encore en 2023. Le 24 juin, une douzaine d’artistes d’un peu partout au pays célèbreront leur francophonie en musique dans le cadre de la 5e édition du spectacle «Tout pour la musique». Contenu commandité par la Fondation dialogue Lancée comme fête païenne au XVIIe siècle pour célébrer le solstice d’été et récupérée par l’Église catholique au XIXe siècle, la Saint-Jean-Baptiste est aujourd’hui une grande célébration de l’identité francophone au Canada. Tout pour la musique Sur vos écrans le 24 juin Cette année encore, la Fondation dialogue présente le grand spectacle télévisé Tout pour la musique avec douze artistes de partout au pays. Le spectacle est enregistré devant public le 22 juin à la salle The Exchange à Regina et diffusé sur Unis TV le 24 juin à 22 heures (heure avancée de l’Est). Ludger Duvernay, fondateur de la Société Saint-Jean-Baptiste Photo : Jean Gagnon, Wikimedia Commons Les prestations en chanson et en musique ont été très tôt au centre des célébrations de la fête nationale des Canadiens français. En fait, elles en font partie depuis 1834, année qui marque la célébration de la toute première Saint-Jean-Baptiste. Lors d’un banquet patriotique organisé par le journaliste et homme politique Ludger Duvernay à Montréal, Georges-Étienne Cartier, l’un des futurs Pères de la Confédération, a interprété pour la toute première fois le chant Ô Canada! mon pays! mes amours! dont il avait écrit les paroles sur l’air de la chanson française Je suis Français, mon pays avant tout. https://www.youtube.com/watch?v=BZc7lwSvmrY Ô Canada! mon pays! mes amours! La bonne chanson Crédit : Wikimedia Commons : Partition de l’hymne national Ô Canada. Photo : Wikimedia Commons – Domaine public Le répertoire musical patriotique de l’époque comprenait aussi la chanson Vive la Canadienne, qui a fait office d’hymne des Canadiens français pendant une quarantaine d’années. Le 24 juin 1880, lors d’un grand banquet auquel assistaient 500 convives à Québec, trois groupes de musiciens interprètent le Ô Canada pour la toute première fois. Le chant, dont la musique a été composée par le «musicien national du Canada» Calixa Lavallée et dont les paroles ont été écrites par le juge Adolphe-Basile Routhier, est interprété à nouveau le lendemain devant une galerie de 6000 personnes. Cependant, il a fallu attendre le 15 mars 1967 pour qu’un comité mixte du Sénat et de la Chambre des communes approuve officiellement le Ô Canada comme hymne officiel, en français et en anglais. Malgré cette reconnaissance, ce n’est que le 1er juillet 1980, soit 100 ans et 7 jours après la première interprétation, que la Loi sur l’hymne national est adoptée. Manifestations identitaires Même si au début du XIXe siècle la Saint-Jean-Baptiste était une célébration entre des représentants d’une classe supérieure à Montréal, elle est devenue rapidement une manifestation de l’identité canadienne-française dans plusieurs régions du Bas-Canada, puis du Haut-Canada, avant se répandre aux quatre coins du Dominion du Canada après 1867. À l’instar des Irlandais à la Saint-Patrick, des Écossais à la Saint-André et des Anglais à la Saint-Georges, les Canadiens (comprendre ici les francophones) ont organisé leur tout premier défilé de la Saint-Jean-Baptiste, en 1843. Ils voulaient ainsi affirmer la présence canadienne-française à Montréal. L’organisation de défilés a rapidement pris de l’ampleur dans les villes et villages où se trouvaient des francophones. La force du rassemblement des Canadiens français pendant les défilés envoyait un message d’unité et de fierté aux autres communautés. Le petit saint Jean-Baptiste Représentation du petit saint Jean-Baptiste en 1867 Crédit : William Notman-Wikimedia Commons Qui dit défilé de la Saint-Jean dit petit saint Jean-Baptiste aux cheveux blonds et bouclés accompagné d’un mouton. C’est en fait en 1866 que la première incarnation du saint patron des Canadiens français a fait son apparition dans un défilé de la Saint-Jean. La tradition a perduré pendant une centaine d’années jusqu’à ce que la fête revête un caractère plus politique, notamment au Québec, après la Révolution tranquille. De nos jours, les défilés de la Saint-Jean-Baptiste sont moins répandus dans les collectivités francophones. Au Canada, la fête des Canadiens français est soulignée notamment lors de journées familiales où se côtoient arts visuels, musique, théâtre, grands repas et autres divertissements. Des rassemblements communautaires auront lieu aussi cette année pour inviter les gens à non seulement célébrer la fête des Canadiens français, mais aussi à visionner ensemble le spectacle Tout pour la musique. Quinze organismes dans sept provinces accueillent les francophones, les francophiles et les francocurieux à visionner le spectacle et à célébrer leur francophonie. Print 2873 Publireportage - Fondation dialogueMarie-Lou Bernatchez Other posts by Publireportage - Fondation dialogue Contact author Comments are only visible to subscribers.