Festival fransaskois 2024
Close
Le CCS enrichit son aide aux chercheurs d’emploi Le CCS enrichit son aide aux chercheurs d’emploi

Le CCS enrichit son aide aux chercheurs d’emploi

Foires de l'emploi et ateliers sont au programme

23535

Outre les foires, le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) a lancé des ateliers pour mieux appréhender le marché du travail et optimiser la recherche d’emploi.

L’après-pétrole dans l'Ouest canadien: entre déni et peur de l’inconnu L’après-pétrole dans l'Ouest canadien: entre déni et peur de l’inconnu

L’après-pétrole dans l'Ouest canadien: entre déni et peur de l’inconnu

Impact sur les francophones

23520
« Le pétrole nous a donné une période de croissance économique mais il n’en reste rien, soutient la professeure retraitée de l’Université de Calgary, Dominique Perron. Les perceptions traditionnelles de l’économie ont à peu près trahi les Canadiens. Le...
Le CCS attend plus de justice avec les anglophones Le CCS attend plus de justice avec les anglophones

Le CCS attend plus de justice avec les anglophones

REGINA - Le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan espère que le pouvoir issu des prochaines élections, épaulera...
24502
Le français, un atout de taille en affaires Le français, un atout de taille en affaires

Le français, un atout de taille en affaires

Le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE) Canada a profité de la tenue de...
18396
Économie et francophonie Économie et francophonie

Économie et francophonie

Le Conseil de la coopération a changé de nom pour devenir le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan. Ce...
31043
La presse doit se réinventer La presse doit se réinventer

La presse doit se réinventer

TORONTO - Les journaux régionaux sont au coeur d'une révolution sans précédent et ils doivent innover pour demeurer...
22379
RSS
First567810121314Last
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.
Monday, November 15, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
Thursday, September 30, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/
RSS
1234567810Last

Actualité économique

Liberté académique : la parole aux universités de l’Ouest

Liberté académique : la parole aux universités de l’Ouest

Les établissements universitaires de l’Ouest du pays ont des outils en place pour assurer la liberté académique de leurs professeurs tout en assurant un traitement rigoureux des plaintes des étudiants. Dans la foulée de la controverse à l’Université d’Ottawa, l’existence de ces outils administratifs refait surface.

Une professeure d’histoire et de théorie de l’art de l'Université d'Ottawa (UdeO), Verushka Lieutenant-Duval, a été momentanément suspendue par son employeur, le 23 septembre dernier. Une étudiante s’est plainte du fait que la professeure Lieutenant-Duval ait prononcé le « mot en n » dans le cadre de son cours Art and Gender, en discutant de la réappropriation de mots offensants. Bien qu’elle ait depuis réintégré ses fonctions, l’affaire continue d’animer le débat public, en particulier au Québec. Qu’en est-il de la liberté d’enseignement dans les universités canadiennes de l’Ouest?

Des situations traitées au cas par cas à UBC

Selon le directeur des affaires universitaires aux relations médias de l’Université de Colombie-Britannique (UBC), Matthew Ramsey, les plaintes sont examinées au cas par cas. « Il existe une Déclaration pour un environnement respectueux. Il est conseillé aux étudiants qui ont des préoccupations au sujet du harcèlement personnel lié à un cours ou à une question universitaire de contacter leur professeur, leur chef de département ou le bureau du doyen », explique-t-il.

Or dans le cas de Verushka Lieutenant-Duval, l’étudiante a choisi de dénoncer son enseignante sur Twitter via un gazouilli qui divulguait le nom, le numéro de téléphone et l’adresse personnelle de celle-ci. Les médias sociaux se sont enflammés et la professeure à l'UdeO a reçu, le lendemain, un courriel de l’Université lui annonçant sa suspension à des fins d’enquête.

Lors une entrevue accordée à Tout le monde en parle, le 25 octobre, la professeure s’est avouée déçue que l’Université l’ait déclarée, sur Twitter, coupable d’avoir utilisé un vocabulaire haineux et inacceptable à l’Université. « On n’a pas pris le temps de me demander ma version des faits, de corroborer, même pour savoir si c’était vrai », dénonce-t-elle.

Des structures établies à l’Université de l’Alberta

La responsable des questions et de la communication stratégiques de l’Université de l’Alberta (UAlberta), Hallie Brodie, renvoie quant à elle à la Déclaration sur la liberté d'expression de l’Université, ajoutant que la liberté académique fait partie de la convention collective universitaire.

Les préoccupations de l’Université, affirme-t-elle, « seront traitées par le biais des procédures applicables décrites dans nos politiques officielles, nos conventions collectives et nos codes de conduite. En fonction de la nature de la plainte, des bureaux tels que le Bureau de la divulgation sécuritaire et des droits de l'homme, le Bureau du doyen des étudiants, les Services de protection de l'Université de l'Alberta, les Services des ressources humaines et les Relations avec la faculté peuvent être approchés ».

Une politique de respect à l’Université de Regina

Le directeur aux communications et aux relations publiques à l’Université de Regina, Paul Dederick, présente deux mécanismes en place pour signaler et résoudre les plaintes à son université. Tout d’abord, il découle de la Politique de respect une procédure de plainte formelle. Un mécanisme de plainte formelle est également attaché au Code de conduite des employés.

Selon lui, son établissement valorise la liberté académique, la liberté d'expression et un débat ouvert, civil et solide sur les idées et les questions controversées. La liberté académique, ajoute-t-il, est le fondement sur lequel repose son entreprise académique et de recherche et c'est pourquoi elle est ancrée dans leur convention collective avec la faculté aux articles 2.1 et 2.2. Il ajoute que l’Université doit fournir un lieu sûr et inclusif pour étudier, travailler et vivre, à l'abri du harcèlement et de la discrimination.

Réfléchir avant de parler

Pour sa part, le vice-président académique du syndicat des étudiants de l'UAlberta, Dave Draper, prévient que « les moments où il est pédagogiquement nécessaire de proférer des insultes raciales, homophobes, transphobes ou autres à l'encontre des étudiants sont rares, et je recommande vivement aux professeurs qui utilisent ce langage de réfléchir à leur devoir envers leurs étudiants ».

L’Association canadienne des professeures et professeurs d’université (ACPPU)

Le directeur général de l’ACPPU, David Robinson, a indiqué que la professeure Lieutenant-Duval a exercé sa liberté académique, en faisant référence à une insulte raciale, pour illustrer un point pédagogique en rapport avec le sujet de discussion du cours. « Dans ce contexte, nous estimons que l'insulte raciale ne constitue pas un harcèlement ou une discrimination », conclue-t-il.
Print
15212

Marie-Paule Berthiaume (Initiative de journalisme local – APF - Ouest)Francopresse

Other posts by Marie-Paule Berthiaume (Initiative de journalisme local – APF - Ouest)
Contact author
Comments are only visible to subscribers.

Contact author

x
Terms Of UsePrivacy StatementCopyright 2014 par L'Eau vive
Back To Top