La Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan (CAFS) a tenu le 30 mars son rendez-vous culturel du Gala africain à l’École canadienne-française de Saskatoon.
Le 12 mars à Regina, le Palais législatif a été le témoin d'un événement emblématique du printemps : la proclamation des Rendez-vous de la francophonie (RVF).
Le français chevillé au corps, deux passionnés partagent les récits de francophones de partout dans le monde dans un balado diffusé depuis Louisville aux États-Unis.
PUBLIREPORTAGE - Les chercheuses et les chercheurs de la francophonie canadienne font de plus en plus entendre leurs voix.
PUBLIREPORTAGE - Les Rendez-vous de la Francophonie (RVF) proposent une série d’activités, de spectacles et de concours pour que chacun puisse vivre et exprimer sa francophonie chez soi.
Depuis 15 ans, le Centre de la francophonie a pour mission de faire vivre la francophonie au Québec, au Nouveau-Brunswick, en Louisiane, au Brésil...
Découvrez l’épisode portant sur l’Acfas-Saskatchewan du balado Le savoir et le dire, produit par l’Acfas.
Un cartographe a créé en 2022 une carte des communautés fransaskoises. Un document passé un peu inaperçu qui pourrait pourtant inspirer les visiteurs à mieux découvrir la fransaskoisie.
À 7 000 kilomètres de la Saskatchewan, une étudiante à l’Université de Brême en Allemagne mène une étude sur le fait fransaskois. C’est que Flora Riechel, originaire de France, a toujours été attachée à la fransaskoisie, une communauté qui l’a accueillie en 1995.
Pour Jean-François Savard, professeur à l’École nationale d’administration publique (ENAP), le manque de bilinguisme chez les cadres de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) n’est pas une nouvelle en soi, mais un produit de la société.
Le 7 juin, Le français pour l’avenir a présenté sa liste d’ambassadeurs qui assisteront au Forum national des jeunes ambassadeurs 2023 qui se tiendra à Halifax en août. Parmi les 35 jeunes choisis figurent deux Saskatchewanais : Nyshane Clarke de Regina et Neyva Abbasi de Moose Jaw.
Vous trouvez-vous dans un désert médiatique ou dans une zone de pauvreté de nouvelles ? Possiblement, surtout si vous vivez à l’extérieur d’un grand centre ou si vous êtes en contexte minoritaire. Sachez que vous pouvez aider !
La Louisiane a accueilli du 22 au 27 mai 50 francophones d’une dizaine de pays du continent pour l’Université d’été sur la francophonie des Amériques. Cette 6e édition du rassemblement s’est déroulée pour la première fois à l’extérieur du Canada. Au menu des discussions : « pérennité et développements de la francophonie des Amériques ».
Les francophones qui veulent immigrer hors Québec ont désormais une catégorie qui leur est réservée dans le système Entrée express : la « compétence linguistique en français ». Avec davantage de points attribués, ces candidats auront donc plus de chances d’obtenir la résidence permanente.
Affirmer continuellement que le français est en déclin contribuerait au sentiment d’insécurité linguistique. Selon des sociolinguistes, le discours autour de la vitalité de la langue française doit être davantage nuancé, particulièrement en francophonie minoritaire.
FRANCOPRESSE – Une soixantaine d’organismes du Québec et de la francophonie canadienne sont réunis à Québec pour la seconde édition de Mobilisation franco. L’évènement, organisé conjointement par la Fédération des communautés francophones et acadienne et le Centre de la francophonie des Amériques, vise à tisser davantage de liens entre les organismes francophones du pays.
Assez French est un documentaire réalisé par l’artiste fransaskoise Alexis Normand. Si l’artiste charismatique est devenue au fil du temps une figure nationale inscrivant le bilinguisme dans ses partitions, c’est avant tout sur sa francophonie qu’elle a choisi de se pencher.
FRANCOPRESSE – Alors que le robot conversationnel ChatGPT jouit d’une certaine popularité, des chercheurs se questionnent sur la place de la francophonie canadienne dans l’intelligence artificielle et de ses impacts à moyen terme.
En dehors du cursus scolaire, les situations d’apprentissage sont infinies. C’est le message que veut faire passer le Réseau pour le développement de l’alphabétisme et des compétences (RESDAC). Une considération que l’organisme veut faire inscrire dans la modernisation de la Loi sur les langues officielles.
C’est en mars que l’on célèbre d’un bout à l’autre du pays la Francophonie. Toutes sortes d’activités sont offertes et des artistes francophones sillonnent le pays pour célébrer la langue et la culture françaises. Mais au-delà de ce bel apparat, qu’en est-il au jour le jour ?
Une cinquantaine de Fransaskois, dont deux classes de 8e année de l’école Monseigneur de Laval de Regina, ont assisté à la traditionnelle déclaration officielle des Rendez-vous de la Francophonie. Tenu au Palais législatif le 13 mars avec l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), l’événement a bénéficié de la présence de la ministre responsable des Affaires francophones, Laura Ross.
Rassemblé devant l’hôtel de ville de Regina le 7 mars, un groupe d’une soixante de personnes a assisté à plusieurs discours saluant la langue française et ses locuteurs. Comme le veut la tradition, le lever du drapeau fransaskois a ainsi marqué l’ouverture du Mois de la francophonie, célébré partout dans le monde en mars.
En contexte de gouvernement minoritaire, il n’est pas surprenant que les libéraux fédéraux rencontrent des défis pour faire adopter des projets de loi. Ce qui l’est plus, ce sont les coups qui proviennent de leur propre camp.
À la suite de la fermeture de la dernière librairie francophone en Saskatchewan, les francophones de la province n’ont d’autre option que de se tourner vers les bibliothèques publiques pour accéder aux livres en français. Et de se satisfaire d’une offre incomplète et parfois difficile d’accès.
En novembre dernier, Statistique Canada a révélé que près de 16 000 jeunes Saskatchewanais étaient admissibles à l’instruction en français en 2021. Pourtant, seulement 2 000 élèves fréquentent les écoles francophones de la province. Des personnalités de la communauté réagissent.
Le Théâtre Oskana de Regina présentait, du 15 au 18 mars dernier, Un tramway nommé Désir, de l’auteur américain Tennessee Williams.
Compte rendu et photos des célébrations de la Saint-Jean-Baptiste à Saskatoon, Bellegarde, Gravelbourg et Zenon Park.