En cette période de rentrée, le Conseil culturel fransaskois (CCF) veut resserrer ses liens avec le secteur scolaire.
Avec le printemps qui s’installe et l’approche du Mois de la Fierté en juin, les paysages des villes canadiennes s’apprêtent à reprendre des couleurs. Cette année, l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) dévoile une nouvelle initiative, En toute fierté !, pour favoriser la représentation et le bien-être des francophones de la communauté LGBTQ+.
Portés par des organismes fransaskois provinciaux et locaux, quatre projets vont bénéficier de l’appui financier du Fonds de développement économique francophone de l’Ouest (FDÉFO) pour l’année 2022-2023. L’occasion de revenir sur ces initiatives et leurs bénéfices sur la vie quotidienne des Fransaskois.
Alors que la cérémonie de remise des diplômes de la première cohorte du programme bilingue de sciences infirmières de La Cité universitaire francophone de Regina a eu lieu le 7 avril dernier, le nombre de praticiens capables de prodiguer des soins en français dans la province semble toujours insuffisant.
Le 29 mars, l’Association canadienne-française de Regina (ACFR) a invité la communauté à une soirée d’information intitulée L’ACFR vers demain. L’objectif : insuffler une nouvelle énergie dans l’organisme en perte de vigueur depuis quelques années.
Dans le cadre du projet Mieux-vivre ensemble du Partenariat provincial interculturel (PPI) et de son plan stratégique sur cinq ans, un sondage a été mené en mars et avril afin de créer une Charte des valeurs. Un outil pour renforcer la cohésion, le sentiment d’appartenance et l’engagement au sein de la communauté fransaskoise.
Après avoir appris les bases de la langue cree en 10 jours dans son premier documentaire 10 Days of Cree, le réalisateur francophone Wahbi Zarry poursuit son aventure au cœur des langues autochtones avec un deuxième opus intitulé 10 Days of Nakota, dévoilé le 20 mars dernier.
La langue anglaise permet aux personnes non-binaires d’utiliser un terme parapluie pour définir leur identité: they/them. En français, les pronoms neutres et inclusifs comme iels, saon, celleux tardent à s’implanter dans la culture populaire. Résultat : des francophones trans et non-binaires sont plusieurs à se tourner vers un mode de vie anglais.
Les services de santé en français en Saskatchewan, en Alberta et en Colombie-Britannique sont à peu près inexistants, en raison de l’absence d’obligations juridiques. Il appartient aux réseaux de santé en français de ces trois provinces de mettre en œuvre des actions concrètes pour préserver la santé mentale des populations francophones.
La moitié des communautés francophones accueillantes au Canada se situe dans l’Ouest et les Territoires.
Dans un récent sondage mené en août, seulement 58% des Québécois se disent au courant des enjeux qui préoccupent les Premières Nations à travers le pays. Il semble que les résidents de l’Ouest canadien sont plus informés quant aux diverses préoccupations des peuples autochtones, mais ne leur offrent pas toujours leur appui.
Les francophones de la Colombie-Britannique et de la Saskatchewan ont peu d’espoir de voir leurs gouvernements respectifs adopter des lois sur les langues officielles.
Les établissements universitaires de l’Ouest du pays ont des outils en place pour assurer la liberté académique de leurs professeurs tout en assurant un traitement rigoureux des plaintes des étudiants.
En Saskatchewan, 1,3% de la population utilise le français comme première langue officielle alors que c’est la langue maternelle de 1,5% de ses habitants. Entourée de 5% de la population pouvant parler le français, la jeunesse fransaskoise persiste.
En Saskatchewan, le président et directeur général de l’Association Hôtel et Hospitalité, Jim Bence, a confirmé une saison touristique estivale 2020 catastrophique pour la province.
L’Alliance des femmes de la francophonie canadienne vient de lancer son rapport final suite à une enquête pancanadienne sur les priorités des femmes francophones et acadiennes afin de cibler leurs principaux enjeux.
Selon le sociologue fransaskois Wilfrid Denis, les enjeux varient selon la situation géographique - Nord ou Sud, rurale ou urbaine - et selon les orientations politiques. « La Fransaskoisie est loin d’être homogène », prévient-il.
REGINA - L’Association canadienne-française de Regina a inauguré son tout premier jardin communautaire le 15 juin dernier sur le terrain de l'École Mgr de Laval.
Avec l’assouplissement des règles de confinement arrivent les divergences de compréhension : c’est quoi encore ma bulle ? Masque ou pas masque ?
Après 10 ans de lutte judiciaire, la Cour suprême du Canada a tranché en faveur des parents franco-colombiens. Cette décision historique a été chaudement saluée par la communauté fransaskoise.
À travers sa série d’ateliers pédagogiques, la Société historique de la Saskatchewan (SHS) donne vie à l’histoire dans la salle de classe des écoles de la province.
REGINA - L’Association canadienne-française de Regina a fêté la Saint-Jean-Baptiste sous une nouvelle formule, consacrant la première activité en plein air depuis le confinement.
Via un sondage en ligne diffusé depuis le 26 mai, les francophones de Regina sont invités à donner leur avis sur le nom de l'Association canadienne-française de Regina : le terme « canadien-français » doit-il disparaître ?
Si tout va bien à la rentrée de septembre, le Conseil des écoles fransaskoises (CEF) ira de l’avant avec un concept nouveau en Saskatchewan, mais qui a fait ses preuves dans d’autres provinces: l’école communautaire citoyenne.
L’Eau vive s’est entretenue avec Hélène Davis, travailleuse sociale, conseillère et psychothérapeute pour Family Service Saskatoon, pour discuter de l'impact la pandémie de COVID-19 sur le bien-être psychique.
Le Théâtre Oskana de Regina présentait, du 15 au 18 mars dernier, Un tramway nommé Désir, de l’auteur américain Tennessee Williams.
Compte rendu et photos des célébrations de la Saint-Jean-Baptiste à Saskatoon, Bellegarde, Gravelbourg et Zenon Park.