Poursuivons notre exploration des anglicismes intégraux… Une chasse incessante qui révèle la manière dont ils se sont infiltrés dans notre langage de tous les jours.
Après avoir présenté de façon aussi sérieuse que drôle, les idiomes anglais, français et québécois, j’oriente maintenant mon attention vers : les anglicismes.
Avec des expressions linguistiques assez spéciales, les Québécois ont conçu une manière toute particulière d’exprimer un éventail de situations et d’actions incroyables.
Lançons-nous encore une fois et poursuivons notre aventure idiomatique québécoise !
Les Franco-Canadiens ont fait preuve de la plus grande des imaginations au fil des siècles pour exprimer tout un éventail d’actions.
Avant de vous brosser tout un triptyque d’expressions québécoises pittoresques après la pause estivale, je veux explorer un phénomène linguistique propre aux Québécois.
Avec ce nouveau récit imbu de fantaisie, j’entame une série de cinq articles sur les mots et les expressions franco-canadiens. Allons-y !
Vous vous montrez complaisant ? Mais ayant mangé la soupe à la grimace, vous avez reçu un accueil peu chaleureux ? Quel dommage.
Il ne faut pas tirer de conclusions à partir d’une seule expérience. Reprenons notre aventure idiomatique avec une autre belle ménagerie de créatures originales et surprenantes.
Ayant un bœuf sur la langue, vous ne confiez rien à personne, gardant fermement un secret ? Que signifient, au juste, ces idiomes animaliers tout à fait insondables ?
Le Théâtre Oskana de Regina présentait, du 15 au 18 mars dernier, Un tramway nommé Désir, de l’auteur américain Tennessee Williams.
Compte rendu et photos des célébrations de la Saint-Jean-Baptiste à Saskatoon, Bellegarde, Gravelbourg et Zenon Park.