Fraude, abus à l’endroit des aînés, lacunes au niveau des soins de santé. Vieillir en français est tout un défi pour les aînés francophones en situation minoritaire au Canada. Quand on sait que l’on retourne à sa langue maternelle en vieillissant, la qualité des soins de santé en français prend tout son sens.
Yvon Godin a le goût de changer d’air. Après 18 ans sur la colline parlementaire, où il s’est démarqué par sa défense des droits linguistiques de la francophonie canadienne, il tire sa révérence.
La nomination de Rob Nicholson au poste de ministre des Affaires étrangères a été accueillie comme une douche froide. Dans les milieux politiques comme au sein des communautés francophones, cette nomination laisse les dirigeants pantois.
La Loi sur les Langues officielles est beaucoup moins sur le radar qu’il y a 10 ou 15 ans. Mais le portrait n’est pas noir pour autant car « les succès sont invisibles et les échecs, évidents. » C’est le constat que dresse le Commissaire aux Langues officielles, Graham Fraser, lorsqu’on lui demande de dresser le bilan des dernières années au niveau de l’offre de services bilingues à la population.
Découvrir la Fransaskoise Annette Campagne est un vrai plaisir. On sent l’enthousiasme dans sa voix, une sérénité qui vient avec l’âge et l’expérience... et les retrouvailles avec son côté rockeuse, elle qui a d’abord fait carrière avec Folle Avoine et Hart Rouge.
Lorsqu’on parle de services de santé en français en milieu minoritaire, il faut innover. Il faut aller plus loin que la question de la langue. C’est tout le bagage culturel du patient qu’il faut voir. C’est donc dire des services adaptés à la culture des immigrants francophones d’origines ethniques diverses.
Le Théâtre Oskana de Regina présentait, du 15 au 18 mars dernier, Un tramway nommé Désir, de l’auteur américain Tennessee Williams.
Compte rendu et photos des célébrations de la Saint-Jean-Baptiste à Saskatoon, Bellegarde, Gravelbourg et Zenon Park.