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Agenda communautaire

Pour soumettre une activité : agenda@leau-vive.ca

«September 2024»
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Camp d'été à Saskatoon- Actifs ensemble:

Camp d'été à Saskatoon- Actifs ensemble:

L'Association des parents fransaskois offre un camp d'été pour les jeunes de 4 à 12 ans à Saskatoon.

Quand : du 2 au 19 juillet et du 5 au 30 août 2024
Où : 910, 5e Rue est, Saskatoon
Renseignements: 306-653-7446 / coordination@apfsk.ca

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Camp d'été à Saskatoon- Actifs ensemble:

Camp d'été à Saskatoon- Actifs ensemble:

L'Association des parents fransaskois offre un camp d'été pour les jeunes de 4 à 12 ans à Saskatoon.

Quand : du 2 au 19 juillet et du 5 au 30 août 2024
Où : 910, 5e Rue est, Saskatoon
Renseignements: 306-653-7446 / coordination@apfsk.ca

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Camp d'été à Saskatoon- Actifs ensemble:

Camp d'été à Saskatoon- Actifs ensemble:

L'Association des parents fransaskois offre un camp d'été pour les jeunes de 4 à 12 ans à Saskatoon.

Quand : du 2 au 19 juillet et du 5 au 30 août 2024
Où : 910, 5e Rue est, Saskatoon
Renseignements: 306-653-7446 / coordination@apfsk.ca

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Camp d'été à Saskatoon- Actifs ensemble:

Camp d'été à Saskatoon- Actifs ensemble:

L'Association des parents fransaskois offre un camp d'été pour les jeunes de 4 à 12 ans à Saskatoon.

Quand : du 2 au 19 juillet et du 5 au 30 août 2024
Où : 910, 5e Rue est, Saskatoon
Renseignements: 306-653-7446 / coordination@apfsk.ca

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Atelier de mandala à Zenon Park

Atelier de mandala à Zenon Park

Atelier animé par l'artiste Pauline Berger. Le matériel est inclus dans les frais d'inscription.

Quand : 5 septembre 2024 à 18 h 30
Où : 755, Main Street, Zenon Park
Inscription : 20 $ - direction@afzp.ca | 306-767-2203

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AGA de l'Association communautaire fransaskoise de Regina

AGA de l'Association communautaire fransaskoise de Regina

L'ACFR invite ses membres à son assemblée générale annuelle et à une soirée de réseautage.

Quand : 6 septembre 2024 dès 17 h (AGA à 18 h)
Où : Bistro, 3850, Hillsdale, Regina
Formulaire d'adhésion : https://vu.fr/VIFeb

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Badmington à Regina

Badmington à Regina

L'Association communautaire de Regina organise des après-midi hebdomadaires de badmington.

Quand : Tous les dimanches de 12 h à 14 h à compter du 8 septembre 2024
Où : Gymnase de l'école Monseigneur de Laval - 3850, Hillsdale, Regina

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5 à 7 réseautage pour les étudiant·e·s en sciences de la santé

5 à 7 réseautage pour les étudiant·e·s en sciences de la santé

Le Réseau Santé en français de la Saskatchewan invite les étudiant·e·s en sciences de la santé à participer à une rencontre de réseautage. Boissons et petits-fours seront offerts.

Quand : 12 septembre 2024 de 17 h à 19 h
Où : Louis' - 93 Campus Drive, Saskatoon 

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Projection du film L'ordre secret à Regina

Projection du film L'ordre secret à Regina

Cinergie vous invite à la projection gratuite du film L'ordre secret à Regina.

Quand : 13 septembre 2024 à 18 h 30
Où : Bistro - 3850, Hillsdale, Regina
Inscription :  https://vu.fr/AtFrP

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Lancement de la saison de La Troupe du jour

Lancement de la saison de La Troupe du jour

La Troupe du Jour vous invite au lancement de sa saison 2024-2025.Il y aura des costumes à vendre et le bar sera ouvert avec amuses-gueules.

Quand : samedi 14 septembre à partir de 15h
Où : Studio 914 - 914, 20th Street West, Saskatoon

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Badmington à Regina

Badmington à Regina

L'Association communautaire de Regina organise des après-midi hebdomadaires de badmington.

Quand : Tous les dimanches de 12 h à 14 h à compter du 8 septembre 2024
Où : Gymnase de l'école Monseigneur de Laval - 3850, Hillsdale, Regina

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AGA du Conseil culturel fransaskois

AGA du Conseil culturel fransaskois

Assemblée générale annuelle du Conseil culturel fransaskois

Quand : 19 septembre 2024 à 18 h 
Où : En formule hybride - En ligne et à la Rotonde de la Cité universitaire francophone
Renseignements : Pierre-Emmanuel Komoé à ccf@culturel.ca / 306-565-8916 poste 3.

 

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AGA de la Fédération des francophones de Saskatoon

AGA de la Fédération des francophones de Saskatoon

Quand : 1er octobre 2024 à 18 h
Où : Le Rendez-vous francophone - 308, 4e Avenue Nord, Saskatoon

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École en pandémie : manque de ressources pour aider les élèves

Date de l'événement

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Crédit: Kelly Sikkema - Unsplash

FRANCOPRESSE – Au cours de la dernière année, les enseignants ont constaté que tous les élèves n’étaient pas égaux devant les défis imposés par la pandémie. Le système de support à domicile variant énormément d’un enfant à l’autre, les conseils scolaires ont été forcés de repenser leur manière de soutenir les élèves. Une situation qui a mis en lumière les défis socioémotionnels des élèves, mais aussi des adultes.  

Sylvie Tremblay

Sylvie Tremblay est directrice de l’éducation et secrétaire-trésorière au Conseil des écoles publiques de l’Est de l’Ontario (CEPEO). 

Photo: Capture d'écran francopresse

«L’une des analogies qu’on a beaucoup utilisées dans notre équipe depuis le mois de mars, c’est de dire qu’on est en train de construire l’avion et il est déjà dans les airs en train de voler», relate Sylvie Tremblay, directrice de l’éducation et secrétaire-trésorière au Conseil des écoles publiques de l’Est de l’Ontario (CEPEO).

Cette dernière s’exprimait à l’occasion d’une table ronde organisée récemment par la Chaire de recherche en éducation du Collège des chaires sur le monde francophone et le Laboratoire de recherche interdisciplinaire sur les droits de l’enfant (LRIDE). 

«Il a fallu accepter que ce qu’on faisait ne serait pas parfait, mais que ce serait en plus très incomplet. Et ça a été difficile parce que […] on ne veut jamais échapper un enfant ou un ado, on veut toujours être derrière eux. C’est ce qui donne le plus grand sens à notre travail comme pédagogue», enchaine Sylvie Tremblay. 

Un point de vue partagé par Mélanie Landry, enseignante au secondaire et chargée d’un poste additionnel de responsabilité au District scolaire francophone Sud (DSFS) du Nouveau-Brunswick : «On se sent encore comme [en avion] et ça fait déjà un semestre qui vient de s’écouler!» 

Manque de ressources en santé mentale

Mélanie Landry

Mélanie Landry, enseignante au secondaire et chargée d’un poste additionnel de responsabilité au District scolaire francophone Sud (DSFS) du Nouveau-Brunswick.

Photo: Capture écran francopresse

L’école à laquelle travaille Mélanie Landry est située en milieu rural, où «beaucoup de jeunes sont à risque» au niveau de la santé mentale, remarque-t-elle. «On avait beaucoup d’élèves qui étaient anxieux, puis on en a de plus en plus, donc c’est un peu plus difficile d’aller les chercher et de leur parler régulièrement», déplore l’enseignante. 

D’autant plus que dans une petite communauté comme la sienne, l’école peut être «une porte de sortie» pour les jeunes puisque les enseignants doivent parfois porter le chapeau de «psychologue sans formation, juste pour jaser et les écouter». Un rôle plus difficile à remplir lorsque les élèves sont à domicile un jour sur deux.  

Au CEPEO, les services en santé mentale ont été réimaginés au début de la pandémie afin qu’ils soient accessibles tout l’été aux élèves et aux parents qui pouvaient en avoir besoin. 

Mais «s’il y a une chose qu’on apprend de notre expérience, c’est qu’il manque des ressources en santé mentale, des ressources humaines, des personnes pour accompagner les enfants et les ados dans une démarche pour développer leurs compétences socioémotionnnelles», note Sylvie Tremblay. 

Au Conseil scolaire catholique de district des Grandes Rivières (CSCDGR), en Ontario, la directrice de l’éducation, Sylvie Petroski, abonde dans le même sens : «[C’est] une raison supplémentaire de vouloir prendre soin de notre personnel, car nos élèves ressentent tout ce qui se passe et si le personnel n’est pas bien, ça aura un impact sur les élèves».

Repenser le cheminement socioémotionnel à l’école

Sylvie Tremblay note que son passage de trois ans à l’Université d’Ottawa à titre de directrice du Service d’appui au succès scolaire (SASS) l’a «amenée à voir à quel point, de la petite enfance à la 12e année, on avait besoin de repenser comment on travaillait pour développer les compétences socioémotionnelles de nos élèves».

Cela permettrait de s’assurer qu’une fois rendus adultes, ils soient en mesure de faire face aux difficultés tout en demeurant «dans un état de bienêtre minimal». 

«Je demeure convaincue plus que jamais qu’on a besoin de faire ce travail-là parce que nos enfants et nos ados sont résilients, ils ont une capacité à faire face à l’adversité. Mais quelque chose se passe au courant de leur jeune vie qui fait en sorte qu’on perd en résilience et ça m’interpelle énormément», constate Sylvie Tremblay. 

Au Nouveau-Brunswick, l’enseignante Mélanie Landry indique avoir «pris le temps de jaser» avec les élèves lors de la rentrée scolaire. «On ne s’est pas mis la tête dans la matière dès le début, on s’est donné le temps de bien prendre le pouls de nos élèves, de s’assurer qu’ils étaient bien, que la rentrée se déroulait bien, et de voir s’ils avaient besoin de parler de ce qu’ils avaient vécu», explique-t-elle. 

Elle ajoute le faire encore aujourd’hui, même si le rythme est rapide pour couvrir toute la matière. «On prend quand même le temps de s’arrêter et de les écouter, de jaser avec eux. Je pense qu’il y en a qui en ont besoin.»

Constater et accompagner 

Sylvie Petroski

Sylvie Petroski, directrice de l’éducation au Conseil scolaire catholique de district des Grandes Rivières (CSCDGR), en Ontario.

Photo: Capture d'écran francopresse

 Bien que la pandémie ne semble pas s’essouffler, Sylvie Petroski du CSCDGR se veut optimiste pour les mois à venir : «Si on regarde où on était au mois de mars et où on est maintenant, on a réussi à réinventer le système d’éducation! C’est incroyable, tout ce qui a été accompli en peu de temps.»

Les impacts de la crise risquent toutefois de se faire sentir au cours des prochaines années, note Sylvie Tremblay du CEPEO : «L’an prochain, ça va être une grosse année dans les écoles partout sur la planète pour prendre la pleine mesure de l’impact de cette pandémie sur l’apprentissage des élèves.»

Ce sera notamment le cas pour les élèves ayant des troubles d’apprentissage ou des besoins particuliers.  «Les retards accumulés pourraient se faire sentir pour la suite de leur cheminement scolaire», observe la directrice de l’éducation.  

Dans un sondage réalisé en juin par la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants (CTF/FCE), plus de 70 % des répondants ont d’ailleurs indiqué avoir «des inquiétudes ou des questions au sujet de l’incidence que le monde après la COVID-19 aura sur [leur] milieu d’enseignement et d’apprentissage». 

« Il va falloir que toutes les équipes consacrent des efforts [à identifier] ce qui devra être ajusté dans les programmes et services et dans la pédagogie, pour être capables d’aller chercher ces enfants et ces ados et les accompagner vers la prochaine étape. » 

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