Hier soir, alors que je repensais à ma merveilleuse journée après avoir reçu la distinction de l’Ordre des francophones de l’Amérique du gouvernement du Québec, je me suis demandé “Mais comment ai-je bien pu me rendre ici?” 

Après avoir cogné à la porte de Québec, une coalition de médias écrits se tourne vers Ottawa pour réclamer une aide financière afin d'éviter de sombrer, une "tempête parfaite" se profilant à l'horizon. 

Les couloirs du Parlement, déserts depuis la relâche estivale, reprennent vie cette semaine. Ainsi s’ouvre un nouveau chapitre de ce que j’ose appeler, peut-être un peu pompeusement, le nouveau Canada des francophones. 

Roger Ouellette de l’Acadie, la Franco-Ontarienne Nicole Fortier, Marie-France Kenny représentant l’Ouest canadien et l’Association canadienne-française de l’Alberta se sont vus ainsi récompensés par Luc Fortin, ministre québécois de la Culture et des Communications et ministre responsable de la Protection et de la Promotion...

Le phénomène est répandu : des enfants en retrait ou agressifs qui dérangent. On ne sait pas comment les aider, on les écarte, on les stigmatise et les relations se détériorent. La santé mentale n’est pas perçue comme un problème de santé ordinaire.

Le 23 septembre, La Troupe du Jour lançait sa nouvelle saison avec la première mondiale de la version francophone de Ma Irma (Oh My Irma) de la dramaturge Haley McGee. Marie-Claire Marcotte réussit une performance on ne peut plus dynamique et nuancée dans le grand jeu de déséquilibre de cette pièce.   

Le parc national des Prairies près de Val-Marie, dans le sud de la Saskatchewan, préserve l’un des derniers fragments de la prairie mixte du Canada.