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Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le Conseil scolaire fransaskois (CFS) a annoncé la nomination de monsieur Donald Michaud au poste de directeur par intérim du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). 

20 février 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (26901)/Commentaires ()/
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Êtes-vous business?

Êtes-vous business?

Des ateliers bien appréciés

C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et dernier atelier pour l’année 2013 – 2014, et ce, dans le cadre de son projet « Êtes-vous business? »

20 février 2014/Auteur: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/Nombre de vues (39536)/Commentaires ()/
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Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Comme chaque année, le 27 janvier a été synonyme de Journée de l’Alphabétisation Familiale. 

30 janvier 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (22637)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Entrevue avec Marcel Michaud, directeur général du Collège Mathieu

Il l’affirme sans broncher, les défis que devra relever le Collège Mathieu sont énormes. De plus, la diminution du nombre d’élèves fréquentant son école l’inquiète beaucoup.

12 avril 2001/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (21872)/Commentaires ()/
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Une nouvelle loi veut protéger les travailleurs immigrés en Saskatchewan

Une nouvelle loi veut protéger les travailleurs immigrés en Saskatchewan

Auteur: Hélène Lequitte – IJL-Réseau.Presse/18 juillet 2024/Catégories: Communautaire, Politique

Depuis le 1er juillet, une nouvelle Loi sur les services d'immigration est entrée en vigueur en Saskatchewan. Son but : modifier la manière dont la province gère et protège sa main-d'œuvre. La communauté fransaskoise voit d'un bon œil cette nouvelle loi, et en espère plus pour l'avenir des futurs travailleurs qu’elle souhaite accueillir. 

« Cette loi va ajouter des éléments de protection », lance Ronald Labrecque, directeur de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF).

La Loi sur les services d'immigration (The Immigration Services Act) vient remplacer la Loi sur le recrutement des travailleurs étrangers et les services d'immigration (The Foreign Worker Recruitment and Immigration Services Act). Un nouveau nom, donc, et de nouvelles protections.

« Il y a des gens qui se font escroquer par des recruteurs ou des consultants en immigration, déplore Ronald Labrecque. Avec cette loi, il y aura un suivi renforcé concernant l'activité de ces gens sous peine d'une amende. »

L'exemple le plus récurrent qui lui vient à l'esprit est le suivant : « Des consultants en immigration disent qu'ils vont faire la paperasse pour les nouveaux arrivants, mais qu'il faut payer 2 000 dollars pour un formulaire qui s'avère être gratuit et accessible en ligne », pointe-t-il du doigt.

Le gouvernement serre la vis

Même chose pour les mauvais employeurs : « Il faut s'assurer que les employeurs ne vont pas abuser, ne payent pas assez, ou bien n'accordent pas le même traitement à certaines personnes qu'à d'autres qui font un travail semblable », ajoute le directeur de l'ACF.

Afin d'éviter ces travers, les fraudeurs encourront une amende salée. Selon Anne McRorie, directrice générale de la politique d'immigration et de formation professionnelle, « la loi prévoit d'augmenter le montant maximal des amendes pour les infractions à la loi et de mettre en œuvre de nouvelles sanctions administratives ».

Les sommes maximales passent ainsi de 50 000 à 750 000 dollars pour un particulier et de 100 000 à 1 250 000 dollars pour une société qui enfreindrait la loi.

Un frein ou un incitatif à l’immigration ?

Avec un système d'immigration renforcé et une grosse amende en cas d'infraction, la province restera-t-elle attractive aux yeux des immigrants, et notamment des francophones ?

« Je ne pense pas que l'abus d'un côté comme de l’autre était largement répandu, mais je pense que le but est de donner confiance dans le système d'immigration de la Saskatchewan », met de l'avant Ronald Labrecque. « La loi rassurera les futurs immigrants francophones », croit-il.

Selon le gestionnaire de l’ACF, la province fait preuve d’un plus grand intérêt pour attirer des francophones en Saskatchewan. Des collaborations seraient même en cours, mais de façon non officielle.

« La priorité du dossier de l'immigration est en train de monter dans les rangs du côté de la province, assure Ronald Labrecque. Ils voient que c'est une voie pour pourvoir des postes qui sont disponibles, et ils ont aussi le but d'augmenter la population de la Saskatchewan. »

De son côté, le Réseau d'immigration francophone (RIF) a fait savoir qu'il se ralliait totalement au positionnement de l'ACF dans le dossier en matière d'immigration francophone.

En fin de compte, Ronald Labrecque souhaite que la province puisse accorder un plus grand financement.

« L’impact de ces mesures pourrait engendrer des investissements plus robustes auprès des fournisseurs de services comme le Service d’accueil et d’inclusion francophone de la Saskatchewan (SAIF-SK). Les fonds octroyés pour ces services par la province n’ont pas augmenté depuis plus de dix ans », note-t-il.

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Ghita Hanane

Hélène Lequitte – IJL-Réseau.Presse

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 - vendredi 15 novembre 2024