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Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le Conseil scolaire fransaskois (CFS) a annoncé la nomination de monsieur Donald Michaud au poste de directeur par intérim du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). 

20 février 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (26878)/Commentaires ()/
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Êtes-vous business?

Êtes-vous business?

Des ateliers bien appréciés

C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et dernier atelier pour l’année 2013 – 2014, et ce, dans le cadre de son projet « Êtes-vous business? »

20 février 2014/Auteur: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/Nombre de vues (39330)/Commentaires ()/
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Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Comme chaque année, le 27 janvier a été synonyme de Journée de l’Alphabétisation Familiale. 

30 janvier 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (22536)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Entrevue avec Marcel Michaud, directeur général du Collège Mathieu

Il l’affirme sans broncher, les défis que devra relever le Collège Mathieu sont énormes. De plus, la diminution du nombre d’élèves fréquentant son école l’inquiète beaucoup.

12 avril 2001/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (21867)/Commentaires ()/
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Ce qu'il faut pour vivre (2008)

Un film de Benoït Pilon

Auteur: Catherine Duffy/27 avril 2017/Catégories: 2017, Arts et culture, Cinéma , Le 7e art

Ce qu'il faut pour vivre  (2008)

Ce qu'il faut pour vivre (2008)

Un film de Benoït Pilon
Le film Ce qu’il faut pour vivre illustre une relation idéalisée entre les Autochtones et la population blanche. L’histoire se passe en 1952 alors qu’un bateau allait au nord périodiquement pour soigner des Autochtones malades. Un Inuit nommé Tivii est transporté de L’île de Baffin à un hôpital à Québec. Sa maladie agit comme un vilain; il est arraché à sa famille et il rencontre plusieurs chocs culturels. À Québec, les bâtiments sont nouveaux pour lui, tout comme la nourriture, les vêtements et la langue.

Il n’y a pas autant de racisme dans le film que ce à quoi on est habitué. Le docteur appelle Tivii « Eskimo » et les autres patients se moquent de lui, mais après un bout de temps ils deviennent des amis et veulent apprendre à propos des coutumes de Tivii. Une jolie infirmière qui s’appelle Carole est vraiment gentille avec lui et elle met plus d’effort que nécessaire pour plaire à l’Inuit.

Même si Tivii ne peut pas parler le français, Carole fait beaucoup pour le mettre à l’aise. Les deux font des gestes pour communiquer. Carole arrange la visite d’un jeune Inuit nommé Kaki pour que Tivii puisse avoir quelqu’un avec qui parler.

Les acteurs ont représenté leurs personnages clairement. Les spectateurs ont éprouvé de la sympathie pour Tivii, et regarder l’infirmière Carole a fait chaud au cœur. Le scénario était émotionnel, beau et écrit soigneusement. L’intrigue était lente, mais dramatique, alors le public devait suivre les détails.

L’intrigue était bien développée malgré les détails historiques qui ont pris une perspective fictive. Il y a « de bonnes morales »; par exemple, on devrait apprendre à propos des cultures diverses avant d’émettre un jugement. L’intrigue donne une nouvelle perspective de la relation entre les Inuits et les Canadiens francophones. Dans l’ensemble, le film était réconfortant et les personnages ont pris vie grâce aux acteurs.

4/5


*Catherine Duffy est étudiante du cours FRN 220 AD : Le Canada francophone au cinéma.

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