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Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le Conseil scolaire fransaskois (CFS) a annoncé la nomination de monsieur Donald Michaud au poste de directeur par intérim du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). 

20 février 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (26900)/Commentaires ()/
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Êtes-vous business?

Êtes-vous business?

Des ateliers bien appréciés

C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et dernier atelier pour l’année 2013 – 2014, et ce, dans le cadre de son projet « Êtes-vous business? »

20 février 2014/Auteur: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/Nombre de vues (39513)/Commentaires ()/
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Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Comme chaque année, le 27 janvier a été synonyme de Journée de l’Alphabétisation Familiale. 

30 janvier 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (22637)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Entrevue avec Marcel Michaud, directeur général du Collège Mathieu

Il l’affirme sans broncher, les défis que devra relever le Collège Mathieu sont énormes. De plus, la diminution du nombre d’élèves fréquentant son école l’inquiète beaucoup.

12 avril 2001/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (21872)/Commentaires ()/
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Savoir se réinventer pour éviter la médiocrité!

Auteur: Frédéric Dupré/10 mars 2016/Catégories: 2016, Opinion, L'Apostrophe

Autant le changement semble lent, mais inexorable, telle une plante qui pousse, autant il peut être radical et sans appel. Personne ne peut savoir quand tout sera chamboulé. Le destin suit son cours promettant le mystère et l’aventure. Nous savons tous très bien, qu’un jour ou l’autre, nous allons être bousculé, devoir évoluer, vieillir aussi et disparaître bien sûr. Rien de nouveau sous le soleil. D’ailleurs, la pensée bouddhiste enseigne que rien n’est permanent, que tout est en transformation par interaction. Donc la permanence, de quelque forme que ce soit, n’est qu’illusion et fausse sécurité. 

Sachant cela, nous parcourons tout de même notre sentier de vie en nous efforçant de le niveler, le planifier pour nous protéger des soubresauts et des zones d’ombre effrayantes ou de surprises périlleuses. C’est un geste naturel de chercher la stabilité, la sécurité, le connu, c’est aussi un piège commun qui met en péril bien des potentiels et opportunités. Pire encore, cette attitude peut brimer l’intelligence collective, mener à la médiocrité et détruire les aspirations les plus folles et les plus prometteuses. Au lieu de chercher la stabilité, le connu ou le « permanent » ne devrions-nous pas être toujours aux aguets, prêt à risquer l’aventure du neuf un peu plus chaque jour? Toujours vivre dans le calme du mouvement permanent, savoir l’apprécier comme étant la qualité propre à notre existence. Ainsi, nous serions probablement plus prêts à faire face aux changements qui ne font que nous attendre au prochain tournant…

Je rêve que chaque instant de notre vie est un moment de création et de réinvention où aucune tourmente n’est rejetée ou vécue dans la souffrance, mais dans l’acceptation du changement inéluctable. Idéaliste bien sûr, mais pourtant seule cette aspiration au renouvellement peut permettre à cette vue de l’esprit de prendre forme. D’ailleurs, ceux et celles qui se réinventent s’adaptent le mieux aux crises, conflits et autres catastrophes personnelles.

Cette belle philosophie a, selon moi, une application précise dans nos organisations et projets. Elle mérite d’être appliquée avec rigueur. Tout effort qui ne favorise pas la transformation est voué à la fragilité et provoquera des frustrations évidentes chez les individus affectés. Nous ne sommes pas des êtres statiques. L’attitude naturelle d’éviter toute forme de critique, de conflit ou de remise en question assure à maintenir le statu quo malgré la nécessité d'adaptation et d’évolution qui appelle à l’intelligence et à la créativité. Ce piège du laissez-faire, de la résistance passive, du silence, fragilise les organisations et laisse la médiocrité s’imposer. Certes chaque expérience étant unique, la généralisation porte son lot de faussetés. Toutefois, l’attitude générale, qui vise à la perception juste de la transformation dans une interaction respectueuse et intelligente avec son environnement, est la seule attitude qui permette de traverser les pires périls et d’envisager les meilleures solutions pour un avenir digne de ce nom.

Aujourd’hui, notre cher journal fransaskois se renouvelle, se transforme subtilement, mais certainement. Il s’agit d’une opportunité réelle qu’une petite équipe tente, tant bien que mal, de saisir pour que se poursuive cette évolution malgré la tempête et l’épuisement. Je souhaite sincèrement que cette passion pour le changement donne des ailes à cette entreprise communautaire et que cette philosophie puisse rassurer tous ceux et celles qui vivent des transformations plus ou moins traumatisantes.

La vie n’est qu’une expérience, ça ne sert à rien de la juger ou de la refuser. Embrasser le changement est une réjouissance continue!

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Frédéric Dupré

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 - vendredi 15 novembre 2024