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Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le Conseil scolaire fransaskois (CFS) a annoncé la nomination de monsieur Donald Michaud au poste de directeur par intérim du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). 

20 février 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (26900)/Commentaires ()/
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Êtes-vous business?

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Des ateliers bien appréciés

C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et dernier atelier pour l’année 2013 – 2014, et ce, dans le cadre de son projet « Êtes-vous business? »

20 février 2014/Auteur: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/Nombre de vues (39492)/Commentaires ()/
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Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Comme chaque année, le 27 janvier a été synonyme de Journée de l’Alphabétisation Familiale. 

30 janvier 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (22637)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Entrevue avec Marcel Michaud, directeur général du Collège Mathieu

Il l’affirme sans broncher, les défis que devra relever le Collège Mathieu sont énormes. De plus, la diminution du nombre d’élèves fréquentant son école l’inquiète beaucoup.

12 avril 2001/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (21872)/Commentaires ()/
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Bilan des langues officielles: Des progrès mais pas toujours évidents

Bilan des langues officielles: Des progrès mais pas toujours évidents

Auteur: Huguette Young (Francopresse)/21 janvier 2015/Catégories: Politique

Le commissaire aux langues officielles, Graham Fraser.

Le commissaire aux langues officielles, Graham Fraser.

Photo: CLO (2014)

La Loi sur les Langues officielles est beaucoup moins sur le radar qu’il y a 10 ou 15 ans. Mais le portrait n’est pas noir pour autant car « les succès sont invisibles et les échecs, évidents. » C’est le constat que dresse le Commissaire aux Langues officielles, Graham Fraser, lorsqu’on lui demande de dresser le bilan des dernières années au niveau de l’offre de services bilingues à la population.

« On n’y pense plus lorsque ça fonctionne », dit-il, lors d’une longue entrevue accordée à Francopresse. Il donne l’exemple du Centre national des Arts où le spectateur se fait accueillir dans les deux langues et diriger à son siège en français et en anglais. 

Selon lui, il y a des institutions qui ont vraiment donné un coup de barre pour offrir des services dans les deux langues : Patrimoine canadien, Via Rail, Statistiques Canada, le CNA et les Jeux olympiques de Vancouver, sauf pour la cérémonie d’ouverture qui était « lamentable ». Une entente a été signée avec les organisateurs des Jeux panaméricains pour assurer des services bilingues. De son côté, l’Agence du revenu du Canada a instauré des mesures pour accélérer le traitement de plaintes. Un pas dans la bonne direction, affirme M. Fraser, qui note au passage qu’on a cependant fermé des comptoirs d’accueil au public.

« Il y a un échec lorsqu’il y a un niveau de frustration », reprend le commissaire. Par exemple, la nomination de juges unilingues anglophones à la Cour suprême du Canada a fait couler beaucoup d’encre, une décision regrettable qu’il a dénoncée. Il appuie le projet de loi du député néo-démocrate Yvan Godin en ce sens. 

Harper « rigoureux »

Au fil des ans, note le commissaire, les attitudes des Canadiens ont changé vis-à-vis le bilinguisme institutionnel. Le visage public du gouvernement Harper est à ses yeux un exemple du succès invisible de la dualité linguistique. C’est la première fois au Parlement qu’il y a autant de ministres de l’Ouest bilingues, ajoute-t-il. Ce sont des produits des programmes d’immersion en français au Canada et non, comme c’était le cas auparavant, des écoles privées en Suisse ou ailleurs. Il faudrait que le bilinguisme devienne la langue d’ambition personnelle pour les avocats et les juges tout comme cela se fait dans d’autres secteurs. 

Autres signes encourageants : le premier ministre Stephen Harper est « très rigoureux » au niveau de l’utilisation des deux langues « en toutes circonstances » et, une première dans l’histoire canadienne, la majorité des premiers ministres provinciaux sont bilingues.

Mais ce qui est intriguant, c’est la tendance à la baisse du nombre de plaintes. Que faut-il en conclure? Est-ce généralisé? La jeune génération, friande de services de services sur le Web, est-elle désabusée? A-t-elle renoncé à déposer des plaintes? Ou encore, est-ce que les services se sont améliorés? 

Le Bureau du commissaire a entrepris une étude en ce sens. Pour l’heure, M. Fraser y va de sa propre théorie. Puisqu’il y a de moins en moins de contacts en personne entre les fonctionnaires fédéraux et le public et de plus en plus de services bilingues offerts sur le site Web des institutions, il se peut que les citoyens y trouvent leur compte.

Que ce soit pour renouveler un passeport ou pour payer ses impôts, les formulaires sont disponibles en ligne dans les deux langues officielles, ce qui n’a rien de déshumanisant à ses yeux. 

« C’est beaucoup plus facile de s’assurer que les services soient disponibles dans les deux langues officielles quand on passe par des formules disponibles sur Internet. Même chose pour les centres d’appel. »

Cela dit, il y aura toujours pour certaines institutions fédérales l’obligation d’avoir un contact face à face avec le public voyageur, par exemple, les services frontaliers, Air Canada, les autorités aéroportuaires, et l’Administration canadienne de la sûreté du transport aérien. Et là, le succès n’est pas toujours évident.

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Huguette Young (Francopresse)

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