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Edward Simon, 1er finissant de l’école Sans-Frontières à Lloydminster

Edward Simon, 1er finissant de l’école Sans-Frontières à Lloydminster

L’histoire en marche

Le 23 mai prochain, Edward Simon deviendra le premier finissant de l’école Sans-Frontières de Lloydminster.

22 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25200)/Commentaires ()/
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Éducation en français des enfants de trois ans en Saskatchewan

Éducation en français des enfants de trois ans en Saskatchewan

La responsabilité remise aux aux CPE

Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) cessera d’offrir son service de prématernelle trois ans dès la fin du mois de juin 2014 dans ses écoles, à l’exception des trois communautés où il n’y a pas de centre éducatif fransaskois. Ce sont les centres éducatifs de la petite enfance (CPE) qui seront en charge de la gestion et de l’offre du programme des trois ans.

22 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (24391)/Commentaires ()/
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Aménagement linguistique en petite enfance

Aménagement linguistique en petite enfance

L'Ontario prend les devants

La petite enfance est d’une importance capitale pour les francophones et Acadiens des provinces et territoires à majorité anglophone. Et leur avenir pourrait être lié à l’adoption de politiques d’aménagement linguistique (PAL). L’Ontario prend les devants en petite enfance.

22 mai 2014/Auteur: Lucien Chaput (Francopresse)/Nombre de vues (24258)/Commentaires ()/
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Aménagement linguistique et culturel

Aménagement linguistique et culturel

Le Nouveau-Brunswick bonifie la vision éducative

Plusieurs organisations francophones au Nouveau-Brunswick saluent la Politique d’aménagement linguistique et culturel (PALC), lancée officiellement le vendredi 9 mai. Selon des représentants acadiens, il était temps que ce type d’aménagement se développe comme en Ontario.

22 mai 2014/Auteur: Louis-Marie Achille (Francopresse)/Nombre de vues (23915)/Commentaires ()/
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Le plaisir de jardiner... à l’école

Le plaisir de jardiner... à l’école

Un journaliste dans les tomates

Initiative originale à l’école d’immersion Massey, à Regina, où une vingtaine d’élèves ont appris à planter des tomates.

22 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (22282)/Commentaires ()/
Catégories: ReginaÉducation
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Six élèves du Pavillon secondaire des Quatre-Vents (PSQV) de Regina vont traverser la Saskatchewan à vélo

Six élèves du Pavillon secondaire des Quatre-Vents (PSQV) de Regina vont traverser la Saskatchewan à vélo

Mardi 20 mai, six élèves de l’école secondaire Laval de Regina et six accompagnateurs se sont élancés à vélo de l’école Sans-Frontières de Lloydminster (CÉF) pour atteindre Bellegarde, le vendredi 23 mai. Ce parcours cycliste s’inscrit dans le cadre de l’évènement sportif La Grande Traversée (LGT), qui a débuté à Victoria le 12 mai dernier et s’achèvera à Québec le 13 juin prochain.

20 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (38320)/Commentaires ()/
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Dossier spécial Petite enfance 2014

Dossier spécial Petite enfance 2014

Mai, le mois de l’éducation de la petite enfance

Le 14 mai est la Journée d’appréciation des éducatrices et des éducateurs de la petite enfance. Découvrez notre dossier sur la petite enfance. 

15 mai 2014/Auteur: Mychèle Fortin/Nombre de vues (27382)/Commentaires ()/
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Place de la petite enfance dans notre société

Dossier petite enfance - Mai 2014

Les jeunes parents qui arrivent du Québec sont toujours étonnés de découvrir ce qu’il leur en coûtera pour que leurs enfants puissent fréquenter un Centre de petite enfance (CPE) en Saskatchewan. Ils sont loin du 7 $ par jour rendu possible par le programme universel mis sur pied par le gouvernement du Québec, programme dont l'objectif premier est de permettre l'accès à un CPE, quel que soit le revenu familial. 

15 mai 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (25079)/Commentaires ()/
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L’animation culturelle dans les écoles

On apprenait récemment que le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) révisait plusieurs de ses programmes, dans le contexte de la crise financière qu’il traverse actuellement. Un de ces programmes est celui qui concerne l’embauche d’animatrices / animateurs culturels dans les écoles.

15 mai 2014/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (24167)/Commentaires ()/
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Se sucrer le bec pour une bonne cause

Se sucrer le bec pour une bonne cause

Un souper pour moderniser les infrastructures de la Gard’Amis

Le vendredi 9 mai 2014, la communauté francophone de Regina honore le rendez-vous fixé par le Centre éducatif Gard’Amis au Bistro du Carrefour des Plaines. Le souper Cabane à sucre, organisé en collaboration avec l’Association canadienne française de Regina (ACFR), a pour de but de lever des fonds « afin de donner un coup de jeunesse aux infrastructures vieillissantes » de la seule garderie francophone de la ville reine. 

15 mai 2014/Auteur: Luc Bengono/Nombre de vues (29407)/Commentaires ()/

L’Association des parents fransaskois et la petite enfance

Dossier petite enfance - Mai 2014

Pour l’Association des parents fransaskois (APF), la petite enfance (de la garderie à la prématernelle) est un dossier prioritaire, car il représente l’avenir de la communauté. Investir dans la petite enfance, c’est donc investir dans notre avenir. L’APF traite ce dossier avec le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).

15 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25000)/Commentaires ()/

Les groupes de jeux :Pour favoriser le développement global de l’enfant

Dossier petite enfance - Mai 2014

L’Association des parents fransaskois (APF) chapeaute plusieurs structures, telles que les Centres d’appui à la famille et à l’enfance (CAFE) et les Centres de ressources à la petite enfance (CREPE). Elle travaille avec les garderies familiales avec ou sans permis et les prématernelles du CÉF. « Plus il y a d’organismes qui s’impliquent, chacun avec ses compétences, meilleur sera l’appui », affirme Hind Ramy. 

15 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (24305)/Commentaires ()/
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Le Collège Mathieu et la formation en petite enfance

Le Collège Mathieu et la formation en petite enfance

Dossier petite enfance - Mai 2014

Le Collège Mathieu, institution d’éducation postsecondaire en français en Saskatchewan, offre le programme d’Éducation à la petite enfance depuis une dizaine d’années. Les personnes qui ont complété ce programme, ainsi que la majorité des étudiants actuellement admis, travaillent déjà dans le secteur. La tendance des inscriptions est à la hausse d’une année à l’autre, et ceci est l’un des indicateurs d’un besoin réel sur le marché du travail de la province.

15 mai 2014/Auteur: Josiane Barebereho – Collège Mathieu/Nombre de vues (34669)/Commentaires ()/
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Éducatrice : Un métier à l’avenir prometteur

Dossier petite enfance - Mai 2014

Entretien avec Madame Brigitte Chassé, Agente à la petite enfance auprès du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) qui nous a partagé son opinion sur l’éducation de la petite enfance.

15 mai 2014/Auteur: Josiane Barebereho – Collège Mathieu/Nombre de vues (32611)/Commentaires ()/
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La Garderie : Là où tout commence

La Garderie : Là où tout commence

Dossier petite enfance - Mai 2014

C’est au bout de quatre ans de démarches auprès du gouvernement et grâce à l’appui de l’ensemble de la communauté fransaskoise que le centre éducatif a pu ouvrir ses portes en 1987. À l’été 1996, le Centre a emménagé dans ses nouveaux locaux au Centre scolaire communautaire de Regina.

15 mai 2014/Auteur: Mychèle Fortin/Nombre de vues (34844)/Commentaires ()/
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Jacque Poulin-Denis : Une course à contre-courant

Auteur: Estelle Bonetto/14 novembre 2019/Catégories: 2019, Arts et culture, Danse

Le chorégraphe et scénographe fransaskois Jacques Poulin-Denis était de passage en Saskatchewan pour présenter sa nouvelle œuvre Running piece. Il a aussi offert un avant-goût, lors du Rendez-vous fransaskois, de sa prochaine production où il se met en scène pour parler, peut-être, de résilience.

L’artiste multitalentueux a l’élan créateur de son côté. Celui dont la compagnie se surnomme « Grand poney » a plutôt l’envergure d’un étalon pur-sang qui dévale les plaines de sa vie à vive allure, tout en prenant son temps, celui qui part trop vite et qui ne revient pas, comme un faux départ.

Running piece

Les pas du danseur défilent, eux aussi, dans un rythme tantôt fou, tantôt fougueux, parfois au bord du gouffre effréné d’une course qui suit le courant puis le défie pour signifier son épuisement, la lassitude d’une vie menée dans l’accélération des relations, dans le tourbillon des urgences.

Un danseur, seul, sur un tapis roulant qu’il ne contrôle pas, pourtant bombardé de bris de musiques affolés et affolants et d’images bigarrées qui se débattent sur un écran de fond. L’homme, le sujet, devient un pantin tiraillé par l’obligation de marcher, de continuer, d’avancer. Car celui qui tombe glisse en une fracture sociale et ne se relève pas forcément.

La course à la résilience

Au-delà de l’affolement et de l’isolement que dépeint cette pièce, il y a aussi la résilience, cette force quasi surhumaine qui porte vers l’impossible. Une énergie qui ressemble à une rage : celle de vivre, de survivre, de s’épanouir en terrain hostile.

C’est cette même résilience qui a poussé Jacques Poulin-Denis à se dépasser lorsqu’une infirmière lui avait affirmé, à la suite de son accident de la route, qu’il ne pourrait pas skier avec un pied amputé. Le Fransaskois a fait mieux que ça : il est devenu danseur. « Quand on te dit ‘’Tu ne pourras plus jamais’’, il y a ce feu qui s’allume en toi pour leur donner tort », explique l’artiste.

Tout cela a un prix, un poids. Deux mesures, voire plusieurs. Il y a aussi cette petite voix, qui peut prendre toute la place, et qui semble installer le doute, les peines perdues d’avance. La « petite voix » est au cœur du monologue que Jacques Poulin-Denis a présenté, en avant-première, au Rendez-vous fransaskois. Un fragment fragmenté comme peut l’être le discours intérieur, intériorisé, et qui révèle une logique éparpillée, démesurée.

Au confluent de la danse, du théâtre et de la musique, les trois passions de l’artiste, cette œuvre résume à elle seule le parcours atypique d’un homme porté par la beauté de l’ambiguïté et de la multidisciplinarité. « Je me destinais au théâtre quand j’ai goûté à la danse. Cet art me permet de réunir tout ce que j’aime : la théâtralité, le mouvement et la musicalité. »

L’étincelle créatrice

L’artiste aime aussi se perdre pour mieux se trouver. « Je suis quelqu’un de très éparpillé, désorganisé, j’ai aussi une piètre mémoire », avoue-t-il. C’est ainsi que naît le feu sacré, la petite étincelle qui fait basculer une idée vers une œuvre. « Parfois les thèmes que j’aborde sont intentionnels, souvent pas, et je me laisse porter par ce qui m’entoure, par l’inspiration du moment. Par exemple, c’est en marchant dans les rues de Berlin que m’est venue l’idée du tapis pour Running piece. »

On n’a sans doute pas fini de découvrir toutes les facettes d’un Jacques Poulin-Denis qui s’invente et se réinvente plus vite que la musique. Sa mise en scène Running piece a été présentée en collaboration avec la compagnie de danse contemporaine New Dance Horizons à Regina et sera sur les planches de Saskatoon avec la Troupe du Jour les 15 et 16 novembre, avant que le tapis ne s’envole pour Ottawa à la fin novembre.

Tous les détails de la tournée : http://grandponey.com/projects/running-piece/

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Estelle Bonetto

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 - samedi 11 mai 2024