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Festival fransaskois 2024
Deux écoles saskatchewannaises se partagent 112 000$ de la Fondation Indigo pour l'amour de la lecture

Deux écoles saskatchewannaises se partagent 112 000$ de la Fondation Indigo pour l'amour de la lecture

Plus de 1,5 millions distribués aux écoles primaires dans le besoin

La Fondation Indigo pour l'amour de la lecture octroie des subventions du Fonds pour la littératie de 1,5 million de dollars à 20 écoles primaires dans le besoin.

28 mai 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (29979)/Commentaires ()/
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Un débat mal engagé et un mauvais choix pour le Canada

Un débat mal engagé et un mauvais choix pour le Canada

Le RESDAC se prononce sur le financement du développement des compétences

Le débat actuel concernant le financement du développement de l’alphabétisme et des compétences au Canada dérape. 

26 mai 2014/Auteur: Isabelle Salesse/Nombre de vues (34401)/Commentaires ()/
Balises: RESDAC

Méga-procès pour les écoles francophones en Colombie-Britannique

« Si on construit, les gens viennent »

C’est le Champ de rêve, version francophone hors Québec. Depuis 1982, un scénario semblable s’est déroulé dans plus de 130 collectivités francophones et acadiennes. Bâtissez l’école, disaient les parents, et vous verrez, les inscriptions y seront et les jeunes y resteront.

23 mai 2014/Auteur: Lucien Chaput (Francopresse)/Nombre de vues (17948)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Les élèves de Debden voyagent à la Ville de Québec

Les élèves de Debden voyagent à la Ville de Québec

En novembre 2013, nous avons commencé à planifier notre premier voyage éducationnel à la Ville de Québec. Avec l'aide de nos parents, notre communauté et nos enseignants, nous avons commencé les collectes de fonds. Pendant les heures de classe, nous avons recherché les activités qui satisferaient nos résultats d'apprentissages de nos programmes d'études. Les billets d'avion étaient achetés, et avant qu'on le sache, on était parti! 

22 mai 2014/Auteur: Diana Couture – École Publique de Debden/Nombre de vues (24249)/Commentaires ()/
Balises: Debden
Edward Simon, 1er finissant de l’école Sans-Frontières à Lloydminster

Edward Simon, 1er finissant de l’école Sans-Frontières à Lloydminster

L’histoire en marche

Le 23 mai prochain, Edward Simon deviendra le premier finissant de l’école Sans-Frontières de Lloydminster.

22 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25595)/Commentaires ()/
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Éducation en français des enfants de trois ans en Saskatchewan

Éducation en français des enfants de trois ans en Saskatchewan

La responsabilité remise aux aux CPE

Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) cessera d’offrir son service de prématernelle trois ans dès la fin du mois de juin 2014 dans ses écoles, à l’exception des trois communautés où il n’y a pas de centre éducatif fransaskois. Ce sont les centres éducatifs de la petite enfance (CPE) qui seront en charge de la gestion et de l’offre du programme des trois ans.

22 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25022)/Commentaires ()/
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Aménagement linguistique en petite enfance

Aménagement linguistique en petite enfance

L'Ontario prend les devants

La petite enfance est d’une importance capitale pour les francophones et Acadiens des provinces et territoires à majorité anglophone. Et leur avenir pourrait être lié à l’adoption de politiques d’aménagement linguistique (PAL). L’Ontario prend les devants en petite enfance.

22 mai 2014/Auteur: Lucien Chaput (Francopresse)/Nombre de vues (24795)/Commentaires ()/
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Aménagement linguistique et culturel

Aménagement linguistique et culturel

Le Nouveau-Brunswick bonifie la vision éducative

Plusieurs organisations francophones au Nouveau-Brunswick saluent la Politique d’aménagement linguistique et culturel (PALC), lancée officiellement le vendredi 9 mai. Selon des représentants acadiens, il était temps que ce type d’aménagement se développe comme en Ontario.

22 mai 2014/Auteur: Louis-Marie Achille (Francopresse)/Nombre de vues (24559)/Commentaires ()/
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Le plaisir de jardiner... à l’école

Le plaisir de jardiner... à l’école

Un journaliste dans les tomates

Initiative originale à l’école d’immersion Massey, à Regina, où une vingtaine d’élèves ont appris à planter des tomates.

22 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (22833)/Commentaires ()/
Catégories: ReginaÉducation
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Six élèves du Pavillon secondaire des Quatre-Vents (PSQV) de Regina vont traverser la Saskatchewan à vélo

Six élèves du Pavillon secondaire des Quatre-Vents (PSQV) de Regina vont traverser la Saskatchewan à vélo

Mardi 20 mai, six élèves de l’école secondaire Laval de Regina et six accompagnateurs se sont élancés à vélo de l’école Sans-Frontières de Lloydminster (CÉF) pour atteindre Bellegarde, le vendredi 23 mai. Ce parcours cycliste s’inscrit dans le cadre de l’évènement sportif La Grande Traversée (LGT), qui a débuté à Victoria le 12 mai dernier et s’achèvera à Québec le 13 juin prochain.

20 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (38733)/Commentaires ()/
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Dossier spécial Petite enfance 2014

Dossier spécial Petite enfance 2014

Mai, le mois de l’éducation de la petite enfance

Le 14 mai est la Journée d’appréciation des éducatrices et des éducateurs de la petite enfance. Découvrez notre dossier sur la petite enfance. 

15 mai 2014/Auteur: Mychèle Fortin/Nombre de vues (28141)/Commentaires ()/
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Place de la petite enfance dans notre société

Dossier petite enfance - Mai 2014

Les jeunes parents qui arrivent du Québec sont toujours étonnés de découvrir ce qu’il leur en coûtera pour que leurs enfants puissent fréquenter un Centre de petite enfance (CPE) en Saskatchewan. Ils sont loin du 7 $ par jour rendu possible par le programme universel mis sur pied par le gouvernement du Québec, programme dont l'objectif premier est de permettre l'accès à un CPE, quel que soit le revenu familial. 

15 mai 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (25494)/Commentaires ()/
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L’animation culturelle dans les écoles

On apprenait récemment que le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) révisait plusieurs de ses programmes, dans le contexte de la crise financière qu’il traverse actuellement. Un de ces programmes est celui qui concerne l’embauche d’animatrices / animateurs culturels dans les écoles.

15 mai 2014/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (24575)/Commentaires ()/
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Se sucrer le bec pour une bonne cause

Se sucrer le bec pour une bonne cause

Un souper pour moderniser les infrastructures de la Gard’Amis

Le vendredi 9 mai 2014, la communauté francophone de Regina honore le rendez-vous fixé par le Centre éducatif Gard’Amis au Bistro du Carrefour des Plaines. Le souper Cabane à sucre, organisé en collaboration avec l’Association canadienne française de Regina (ACFR), a pour de but de lever des fonds « afin de donner un coup de jeunesse aux infrastructures vieillissantes » de la seule garderie francophone de la ville reine. 

15 mai 2014/Auteur: Luc Bengono/Nombre de vues (29975)/Commentaires ()/

L’Association des parents fransaskois et la petite enfance

Dossier petite enfance - Mai 2014

Pour l’Association des parents fransaskois (APF), la petite enfance (de la garderie à la prématernelle) est un dossier prioritaire, car il représente l’avenir de la communauté. Investir dans la petite enfance, c’est donc investir dans notre avenir. L’APF traite ce dossier avec le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).

15 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25673)/Commentaires ()/
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La démocratie reste à venir même en Occident...

Auteur: Frédéric Dupré/22 octobre 2015/Catégories: L'Apostrophe, Politique

Au moment de lire ceci, vous avez probablement exercé votre droit de vote. Vous avez aussi probablement « perdu vos élections » ou du moins votre candidat n’a pas été élu. C’est la norme au Canada étant donné le mode de scrutin non-proportionnel que nous avons. En 2011, près de 60% des électeurs n’avaient pas voté pour le parti conservateur qui a pourtant remporté la majorité au gouvernement. Tout cela n’est pas inusité, c’est la triste réalité de notre « pseudo-démocratie ». Un système parlementaire hérité de notre passé de colonie anglaise. D’ailleurs, ce système de type uninominal majoritaire à un tour est appliqué seulement dans deux pays à travers le monde, en Grande-Bretagne et au Canada, soit l’empire et sa vieille colonie la plus docile. 

 

Ainsi, le vote « stratégique » est une pratique courante pour bien des électeurs qui souhaitent éviter de laisser passer le parti qu’ils désirent le moins. Notre système électoral force les citoyens à voter « contre » plutôt qu’à voter selon leur conscience. Si nous avions deux tours et/ou un vote proportionnel, la situation serait tellement différente. Un premier tour pour voter par conviction et un second pour choisir entre les deux partis en lice pour le pouvoir. Mais au moins j’ai voté en 2015...

 

Une conséquence indirecte, mais des plus sérieuses, de ce système uninominal, colonial et pseudo-démocratique qui prévaut depuis la fondation du pays, est certainement le désengagement citoyen vis-à-vis de la politique en général. Le vote, grand symbole de notre liberté citoyenne, ne permet que d’élire nos représentants et ce, à chaque quatre ou cinq ans. Au-delà de ce vote, vous n’avez plus aucun mot à dire sur les politiques qui seront développées et implantées par le gouvernement. Quand avez-vous participé pour la dernière fois à un référendum? Mot qui horrifie les politiciens. Leurs décisions pourraient être remises en question par la population! Quand avez-vous même déjà été consulté sur les politiques en voie d’être adoptées par nos représentants? À travers des sondages d’opinion peut-être. 

 

Bref, notre système de gouvernance favorise notre désengagement en nous forçant à abandonner notre sort entre les mains de ceux et celles qui nous représentent. Mais ces derniers relèvent plus de leur parti politique que de leurs électeurs, alors le cynisme et le « je-m’en-foutisme » règnent parmi les citoyens. C’est un cercle vicieux qui favorise ceux au pouvoir. « Ça sert à rien de participer, on ne nous écoute pas et de toute façon on n’y peut rien ». Voilà qui résume la pensée de bien des Canadiens qui laissent leur pouvoir au placard et le cèdent, en quelque sorte, aux bureaucrates et politiciens. Mais au moins j’ai voté en 2015…

 

Ce désengagement citoyen est endémique dans la plupart des pays occidentaux, qui défendent pourtant à tous vents la liberté et la démocratie. Ce malaise social a toutes sortes d’implications tout aussi inquiétantes dans l’attitude générale des citoyens, que ce soit dans le milieu de travail ou dans la vie privé. La position d’observateur passif et silencieux semble être devenue la norme. La passivité citoyenne est une normalité chronique. Comme le soulignait en 1996, le philosophe Cornelius Castoriadis : « La liberté, c’est très difficile. Parce qu’il est très facile de se laisser aller. L’homme est un animal paresseux. » Cette paresse démocratique se répand comme un virus dans nos organisations et institutions. Elle prend la forme d’un sens sévère de conformisme et d’une rectitude de gestionnaire qui ne laisse plus aucune place à la créativité ou la dissidence. 

 

De manière plus insidieuse, ce désengagement favorise la montée de la médiocrité parmi nos « élites », comme le défend Alain Deneault dans son dernier livre La médiocratie. Le pouvoir n’appartenant plus au peuple, il est protégé par une « élite » dirigeante, au-dessus de la mêlée des cadres et autres bureaucrates et ne souhaite que partager le devoir, comme celui de voter, plutôt que le véritable « pouvoir » de choisir et de débattre. Certes, rien n’est figé, mais il faut du courage et de la ténacité pour éviter d’être aspiré dans l’inertie et la paresse citoyenne. Mais au moins j’ai voté en 2015...

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Frédéric Dupré

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 - vendredi 5 juillet 2024