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Match de basket anciens vs nouveaux élèves de l’ÉCF

Match de basket anciens vs nouveaux élèves de l’ÉCF

Une activité intégrante organisée par l’AJF

SASKATOON - Un choc des titans a eu lieu au Pavillon Gustave Dubois le mardi 9 juin : un match de basket-ball opposant les élèves actuels et les anciens élèves de l’École canadienne-française (ÉCF). 

18 juin 2015/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (35261)/Commentaires ()/
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Rencontre avec Miles Muri, directeur de deux écoles du CEF

Rencontre avec Miles Muri, directeur de deux écoles du CEF

“Je n‘ai pas de contrôle sur les affaires politiques, alors concentrons-nous sur ce qui est important pour vos enfants!” - Miles Muri

NORTH BATTLEFORD - Miles Muri a accepté de relever le défi d’assurer la direction de deux petites écoles du nord de la province, distantes d’une centaine de kilomètres : l’école Père Mercure de North Battleford et l’école Sans frontière de Lloydminster. 
18 juin 2015/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (26849)/Commentaires ()/
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De plus en plus d'élèves font l'école à la maison depuis 5 ans

TORONTO - Les familles qui choisissent de faire l'éducation de leurs enfants à domicile sont de plus en plus nombreuses, indique une étude de l'Institut Fraser. 

16 juin 2015/Auteur: La Presse canadienne/Nombre de vues (19711)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Le blogue chanté du Dr Horrible

Le blogue chanté du Dr Horrible

Une pièce innovante présentée par les élèves du Pavillon Gustave Dubois

SASKATOON -Pour les élèves de l’École canadienne-française secondaire, la fin de l'année scolaire c’est aussi le temps de présenter une nouvelle pièce de théâtre : ils ont ainsi interprété Le blogue chanté du Docteur Horrible les 2 et 3 juin derniers.

11 juin 2015/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (32612)/Commentaires ()/
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Alexis Warren se démarque à la Dictée P.G.L.

Alexis Warren se démarque à la Dictée P.G.L.

Le jeune Fransaskois Alexis Warren a remporté le prix Provinces de l'Ouest et Territoires, dans la catégorie classe francophone, lors de la grande finale internationale de la Dictée P.G.L.
28 mai 2015/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (28347)/Commentaires ()/
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Fête des finissants à l'école Valois

Fête des finissants à l'école Valois

Une soirée placée sous le signe de l'émotion

PRINCE ALBERT - Le 22 mai dernier, l’École Valois s’est parée de ses plus belles couleurs pour la fameuse fête des finissants.
28 mai 2015/Auteur: Sandra Hassan Farah (EV)/Nombre de vues (30719)/Commentaires ()/
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Collation des grades pour les finissantes du Collège Mathieu

Collation des grades pour les finissantes du Collège Mathieu

Le Collège Mathieu est heureux d’avoir tenu la collation des grades pour souligner les accomplissements et l’engagement réalisés par les finissantes de la cohorte 2015.

28 mai 2015/Auteur: Collège Mathieu/Nombre de vues (35101)/Commentaires ()/
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Charlotte Mabika, propriétaire d’une garderie en milieu familial à Saskatoon

Charlotte Mabika, propriétaire d’une garderie en milieu familial à Saskatoon

Mai est le mois de la petite enfance. Quand on pense aux garderies, c’est souvent les centres à la petite enfance qui nous viennent à l’esprit. Aujourd’hui nous allons découvrir une alternative à ces centres : les garderies en milieu familial.

28 mai 2015/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (46512)/Commentaires ()/
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Des parents veulent que leur association se prononce sur la situation des écoles fransaskoises

Le 12 mai dernier, un groupe de parents, dont je fais partie, a envoyé une lettre à la présidente de l'Association des parents fransaskois (APF). Dans cette lettre nous faisions part de nos préoccupations, notamment au sujet des coupures faites par le Conseil scolaire fransaskois (CSF) et des diminutions importantes des services.
28 mai 2015/Auteur: Jean-Marie Allard (Courrier du lecteur)/Nombre de vues (20351)/Commentaires ()/
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Mario Cyr reçoit le prix Edgar-Gallant 2015 pour l’éducation

Mario Cyr, ancien directeur général du Conseil scolaire francophone de la Colombie-Britannique, est le lauréat cette année du prix Edgar-Gallant pour sa contribution remarquable à l’essor de l’éducation en français en milieu minoritaire.

21 mai 2015/Auteur: Francopresse/Nombre de vues (19293)/Commentaires ()/
Catégories: 2015Éducation
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Le Test d’Évaluation de Français (TEF) à l’Institut français de Regina

Le Test d’Évaluation de Français (TEF) à l’Institut français de Regina

Une participante raconte…

REGINA - L’Institut est devenu, il y a 3 mois, le premier établissement en Saskatchewan officiellement reconnu pour administrer le Test d’évaluation de français (TEF).

20 mai 2015/Auteur: Sandra Hassan Farah(EV)/Nombre de vues (35213)/Commentaires ()/
Balises: TEF
Transport scolaire et élèves francophones

Transport scolaire et élèves francophones

Le transport homogène dans les conseils scolaires francophones est-il constitutionnel ?
20 mai 2015/Auteur: Anonym/Nombre de vues (34273)/Commentaires ()/
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Bilinguisme: les francophones et les anglophones invités à mieux se connaître

Bilinguisme: les francophones et les anglophones invités à mieux se connaître

Une belle initiative du club Rotary de Moncton

MONCTON - Dominic Cardy, chef du NPD au Nouveau Brunswick et Mathieu Wade, sociologue de l’Université de Moncton, ont partagé leurs points de vue sur la question sensible du bilinguisme lors d’un dialogue public au début du mois de mai au Collège Oulton de Moncton.

20 mai 2015/Auteur: Simon Delattre (Acadie Nouvelle)/Nombre de vues (28352)/Commentaires ()/
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Foire régionale du Patrimoine à Regina

Foire régionale du Patrimoine à Regina

« Est-ce que les juges sont passés vous voir » ?

10 élèves de l’école élémentaire et secondaire de Monseigneur de Laval ont participé à cette belle foire sur l’histoire
20 mai 2015/Auteur: Claude Martel (EV)/Nombre de vues (37639)/Commentaires ()/
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La Cour suprême et la Commission scolaire francophone du Yukon: la Cour d’appel a commis une erreur

La Cour suprême et la Commission scolaire francophone du Yukon: la Cour d’appel a commis une erreur

Retour à la case départ

La Cour suprême a rendu une décision unanime concernant le litige opposant la Commission scolaire francophone du Yukon au gouvernement territorial.
14 mai 2015/Auteur: Pierre-Luc Lafrance (L'Aurore boréale)/Nombre de vues (26333)/Commentaires ()/
Catégories: ÉducationJuridique
Balises: CSFY
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Marjorie Beaucage, une artiviste du changement

Marjorie Beaucage, une artiviste du changement

Auteur: Leanne Tremblay/5 avril 2024/Catégories: Arts et culture, Arts visuels

Les adjectifs employés pour décrire Marjorie Beaucage ne manquent pas : cinéaste, métisse, éducatrice, bispirituelle, marcheuse d’eau... Depuis début mars, on peut ajouter à cette liste : récipiendaire d’un prix du Gouverneur général en arts médiatiques et visuels. Cette prestigieuse reconnaissance souligne ainsi la longue carrière inspirée et engagée de la Franco-Manitobaine établie à Duck Lake, en Saskatchewan. Rencontre avec une artiviste épanouie.

Qu’est-ce qui vous a valu ce prix du Gouverneur général ?

J’ai gagné ce prix pour mon travail en film ces 35 dernières années. C’est la galerie Dunlop de la Bibliothèque publique de Regina qui a soumis mon nom. Ils ont toujours soutenu mon travail.

Vous avez une quarantaine de films à votre actif. Qu’est-ce qui vous a amenée à cette forme d’art ?

C’est à 40 ans que j’ai commencé mes études en film à Toronto. Avant ça, j’étais activiste. Je travaillais dans l’action sociale et l’éducation dans des communautés autochtones. Je faisais vraiment toutes sortes d’affaires. En fait, j’en faisais trop et je me trouvais au bout du chemin.

Qu’est-ce qui a été le déclic ?

Pour mon 40e anniversaire, j’ai fait une retraite pour les femmes queers. Quand je suis revenue au travail, je ne pouvais plus continuer. On m’a demandé ce que j’aimerais faire et j’ai dit « Danser ! » Mais j’avais 40 ans…

Un ami m’a dit : « Pourquoi pas les films ? Tu es raconteuse, tu es créative, tu fais beaucoup de choses. » Ce soir-là, je n’ai pas été capable de dormir. À chaque fois que je pensais à notre conversation, j’avais un grand sourire. Le lendemain matin, j’ai appelé mon frère qui travaillait à Ryerson à Toronto et qui m’a aidé à tout organiser.

Que vous procure cette forme d’art plutôt qu’une autre ?

Avec le film j’ai trouvé ma voix. J’ai trouvé une expression qui est très sacrée pour moi. La caméra est un témoin de ce qu’on vit. Le film est une façon de créer avec nos histoires.

Que pense aujourd’hui cet ami de votre carrière ?

C’est un de mes cheerleaders maintenant !

Quels sont les sujets qui vous tiennent à cœur et que vous abordez dans vos films ?

La vie. Surtout ce qui concerne la protection de la terre, la guérison de notre communauté, la réduction des méfaits.

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Marjorie Beaucage est une marcheuse d’eau, ou water walker, qui lutte pour la survie et la santé de la rivière Saskatchewan. Crédit : Page Facebook de 2023 South Saskatchewan River Water Walk

Je me concentre sur des personnes qui ont surmonté des défis. Je veux aider les personnes à avoir de l’espoir. Je travaille toujours avec les gens dans mes films, c’est interactif et ce sont toujours eux qui ont le dernier mot. Je n’enlève pas leur voix.

Récemment, quel projet a retenu votre attention ?

Je travaille souvent ces jours-ci avec des jeunes et des femmes. Récemment, j’ai travaillé avec le Conseil culturel fransaskois sur le projet La moisson. Cette trousse pédagogique donne accès à mon travail sans que j’aille dans toutes les écoles.

Le film inclus dans la trousse parle du fait que je suis marcheuse d’eau. Je marche pour la rivière Saskatchewan. C’est une cérémonie qu’on fait pour la rivière parce qu’elle est en danger. C’est une tradition ojibwée : on prend de l’eau de la source de la rivière dans les montagnes et on marche aussi près de la rivière que possible en portant l’eau.

Il y a de l’énergie dans l’eau, il faut aller avec l’énergie. Quand on remet l’eau dans la rivière, on met toutes nos prières et nos intentions dans l’eau. Cette année, on planifie de commencer la marche aux Fourches de la rivière, près de Prince Albert, et de terminer la marche à Cumberland House.

Vous vous décrivez comme artiviste. Qu’entendez-vous par là ?

Lorsqu’on est pris dans des choses difficiles, comment est-ce qu’on peut s’en sortir ? On est tous créatif, on a tous des énergies de création. Comment on peut s’en servir pour transformer les choses ?

J’ai commencé à faire ça dans mon travail en éducation. Je me servais toujours des arts. Il y a toutes sortes de façons d’aider les personnes à traverser les épreuves, à ne plus être des victimes. Les arts nous aident à penser autrement.

Vous êtes aussi souvent décrite comme auntie, ou tante. Qu’est-ce que cela signifie ?

Dans notre monde métis, on se définit par nos relations. Je suis auntie parce que je suis comme une confidente, quelqu’un avec qui on peut parler de n’importe quoi sans être jugé. Je suis une auntie surtout pour les jeunes gais ou queer.

Vous êtes originaire du Manitoba, mais vous vivez à Duck Lake en Saskatchewan. Comment êtes-vous arrivée là ?

Ça fait 15 ans que je suis à Duck Lake maintenant. La Saskatchewan m’appelle toujours. Je viens puis je pars, je viens puis je pars.

Cette fois-ci, je suis venue pour créer une place pour les artistes métis à Batoche. On n’a pas eu de succès, mais on a toujours un collectif d’artistes, le Shushkitew Collective.  

Est-ce que Duck Lake vous inspire ?

C’est le homeland of the Métis ! Je suis entre Prince Albert et Saskatoon et je fais beaucoup de travail avec les jeunes dans ces deux lieux.

J’ai aussi du terrain pas loin de chez moi où je peux faire des camps culturels et des cérémonies pour les gens qui en ont besoin. Ma maison est une cabane métisse de 150 ans, anciennement habitée par la nièce de Gabriel Dumont. Il y a beaucoup de bonnes vibrations ici.

Quels sont vos projets à venir ?

Je vis un jour à la fois. Il y a toujours quelque chose qui s’en vient vers moi. Récemment, ce sont les jeunes et les femmes qui me trouvent.

L’été passé, j’ai fait partie du projet Creating Your Sacred Landscape à Prince Albert. On a planifié toute une journée pour la communauté où ils pouvaient venir faire toutes sortes d’art. On va faire une exposition des œuvres créées ce printemps. Ce projet me donne vraiment de l’énergie.

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Leanne Tremblay

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 - vendredi 27 décembre 2024