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Nouvelles du CÉCS

Un jardin communautaire planté à Lumsden

Un jardin communautaire planté à Lumsden

Auteur: Ghita Hanane – IJL-Réseau.Presse/1 juillet 2024/Catégories: Communautaire, Agriculture et environnement

C’est dans la petite ville de Lumsden, au nord de Regina, que la Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan (CAFS) a choisi de planter les graines d’un jardin communautaire tropical dont les travaux ont commencé en avril dernier.

Ce jardin n'est pas seulement un espace de culture et de verdure, mais également un lieu de rencontre, de partage et de soutien pour les francophones d'origine africaine et d'autres membres de la communauté.

Ayant rempli tous les critères d’éligibilité à un programme du Fonds de développement économique francophone des Prairies (FDÉFP), ce projet a été retenu parmi six autres en Saskatchewan.

« L’objectif est de favoriser et d’appuyer financièrement le développement économique francophone, indique Melchior Niyonkuru, directeur général de la CAFS. Le projet permettra aux bénéficiaires d’effectuer le travail, et avec l’aide des bénévoles et des contractuels, on pourra également faire des ateliers. »

Un appel aux bénévoles

Pour mener à bien son projet de jardin communautaire, la CAFS a besoin de mains vertes. Pour ce faire, elle a lancé il y a quelques semaines un appel aux bénévoles via ses réseaux.

Jusque-là, l’organisme a reçu quelques candidatures, mais pas assez. « Le bénévolat, ce n’est pas quelque chose que tout le monde aime faire, mais ça ne nous décourage pas. On va continuer à chercher des bénévoles », reste positif Melchior Niyonkuru.

Les tâches de jardinerie peuvent se faire pendant la semaine ou en fin de semaine, selon les cas. « C’est là le défi, on a beaucoup de demandes pour les samedis quand les gens ne travaillent pas, mais très peu en semaine », ponctue le directeur.

Un allié de taille

La CAFS peut malgré tout compter sur le soutien du Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS).

« Le CÉCS nous appuie, se réjouit Melchior Niyonkuru. Non seulement ils nous accompagnent si on organise des ateliers ou si on cherche des experts ou des gens qui maîtrisent le jardinage, mais ils nous sont également d’une grande aide au niveau financier. »

Le CÉCS a octroyé un budget de 70 000 dollars au projet de jardin communautaire pour l’année 2024-2025. L’organisme économique assure aussi un accompagnement professionnel grâce à l’implication de ses conseillers, dont certains connaissent bien la CAFS.

Un jardin tropical

« Le projet, c’est pour mettre en place un jardin tropical, précise Jean de Dieu Ndayahundwa, gestionnaire au CÉCS. On va essayer de planter des légumes tropicaux qui ne sont pas souvent plantés ici. »

Sans compter que le jardin constituera un espace pour les nouveaux arrivants, surtout ceux issus de pays tropicaux.

« On espère que le projet va se développer au cours des années pour que ce soit une source d’approvisionnement pour la plupart des francophones », ajoute Jean de Dieu Ndayahundwa.

Les travaux du jardin tropical communautaire de la CAFS ont débuté le 1er avril et prendront fin le 31 mars 2025.

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Ghita Hanane

Ghita Hanane – IJL-Réseau.Presse

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