Close

Actualité économique

L’économie circulaire, un grand potentiel pour la Saskatchewan L’économie circulaire, un grand potentiel pour la Saskatchewan

L’économie circulaire, un grand potentiel pour la Saskatchewan

5370

Lors d’un webinaire organisé le 24 mars, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) a dressé le portrait d’un potentiel énorme en matière de valorisation des déchets et d’économie circulaire dans la province.

 

Le CÉCS au cœur du mouvement coopératif depuis 75 ans Le CÉCS au cœur du mouvement coopératif depuis 75 ans

Le CÉCS au cœur du mouvement coopératif depuis 75 ans

5817

À travers une exposition exclusive présentée dans le cadre de son du 75e anniversaire, toute l’histoire du Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan et du mouvement coopératif de la province est retracée. 

 

Une hausse du coût du lait qui divise Une hausse du coût du lait qui divise

Une hausse du coût du lait qui divise

Depuis le 1er février, les consommateurs observent une augmentation du prix du lait sur les étagères des magasins. 

4965
Camionneurs, vaccins et tablettes vides Camionneurs, vaccins et tablettes vides

Camionneurs, vaccins et tablettes vides

Alors que le convoi des camionneurs arrive à Ottawa, les consommateurs signalent un nombre croissant d’étagères vides dans les...
5319
Le CÉCS démystifie les cryptomonnaies Le CÉCS démystifie les cryptomonnaies

Le CÉCS démystifie les cryptomonnaies

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan a organisé deux formations qui expliquent le monde des cryptomonnaies.

7354
RSS
135678910Dernière
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CÉCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

Amélie Boutin, diplômée de l'École canadienne-française de Saskatoon

Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/19 juillet 2019/Catégories: 2019, Éducation, Écoles fransaskoises, La vie des élèves

Née à Saskatoon de parents francophones, Amélie Boutin a effectué tout son parcours scolaire à l’École canadienne-française, depuis la garderie jusqu’à la 12e année. Diplômée cette année, elle partira à la rentrée étudier les sciences en français à l’Université d’Ottawa. La finissante a adoré son parcours scolaire au CÉF et en parle généreusement.

La scolarité d’Amélie à l’École canadienne-française restera un beau souvenir. « Je ne serai jamais capable d’oublier nos relations avec nos enseignants. Ils sont toujours accessibles et là pour nous aider. On est une petite école, on a vraiment de la chance de pouvoir poser nos questions à nos profs. Je trouve qu’ils font beaucoup pour nous hors de la salle de classe. Ils rendent notre expérience scolaire encore plus agréable. »

Tout au long de sa scolarité, Amélie n’a pas boudé les événements francophones partout au Canada. « Non seulement ça m’a donné un sentiment d’appartenance à la francophonie canadienne, mais ça m’a aussi permis de rencontrer d’autres francophones et de faire du réseautage. Je suis très reconnaissante. » Elle a fait notamment partie du club de débat et a eu l’occasion de voyager à Vancouver en 9e année pour le débat national en français. « Ça m’a fait réaliser à quel point mon français pouvait m’ouvrir des portes. »

La jeune Fransaskoise se rend bien compte de la richesse de son éducation en français à l’École canadienne-française. « Ça m’a fait réaliser à quel point il n’y avait pas beaucoup de français dans la vie de tous les jours. On est une province majoritairement anglophone : en dehors de l’école, c’est difficile pour les jeunes de faire du réseautage. L’école m’a ouvert les yeux d’en vouloir plus ! »

Amélie est très impressionnée par les chefs de file de son établissement. « J’ai pu rencontrer des leaders de mon école, des personnes plus âgées que moi, qui étaient vraiment impliquées, qui avaient un esprit positif, qui parlaient tout le temps français. Ça m’a vraiment encouragée à vouloir donner plus, à faire plus pour ma communauté. J’ai été très inspirée par ces personnes-là. »

Amatrice de plein air, Amélie faisait partie du club des Franco-Voyageurs. « Ces activités ont aidé à briser la barrière que l’âge impose dans certaines écoles, surtout dans les grandes écoles, pour apprendre à tous nous connaître et à véritablement être une grande famille. » Chaque année, les participants font un voyage de canot-camping à La Ronge, au nord de la province, pendant quelques jours. Ski, planche à neige et randonnées pédestres sont aussi au programme selon la saison. « Ça nous permet de créer des amitiés en français. »

La communauté francophone lui manquera. « J’ai vraiment une bonne appréciation pour la fransaskoisie, alors je me vois revenir en Saskatchewan après mes études à l’Université d’Ottawa. Mais je garde l’esprit ouvert. On va voir où la vie me mène, je vais suivre le courant ! »

Imprimer

Nombre de vues (25482)/Commentaires ()

Conseil des écoles fransaskoises

Conseil des écoles fransaskoises

Contacter l'auteur

Comments are only visible to subscribers.

Contacter l'auteur

x
Conditions d'utilisationDéclaration de confidentialité© Copyright 2024 Journal L'Eau Vive. Tous les droits sont réservés.
Back To Top