Close

Actualité économique

Le CÉCS investit pour l’avenir Le CÉCS investit pour l’avenir

Le CÉCS investit pour l’avenir

5815

En se dotant d’un fonds d’investissement depuis la première fois de son existence, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) compte bien donner un nouveau souffle pour l’entrepreneuriat fransaskois. Kouamé N’Goandi, directeur général de l’organisme, explique le but de l’initiative.

Lutter contre le déclin démographique par la relance économique Lutter contre le déclin démographique par la relance économique

Lutter contre le déclin démographique par la relance économique

5358
L’augmentation des cibles en immigration et l’injection substantielle de fonds gouvernementaux se trouvent au cœur du deuxième Livre blanc sur la francophonie économique. Le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE Canada), qui signe le document, propose un plan de cinq ans qui mise notamment sur la création...
Léger ralentissement de l’inflation en décembre Léger ralentissement de l’inflation en décembre

Léger ralentissement de l’inflation en décembre

FRANCOPRESSE – Malgré un maintien des prix élevés au Canada, l’Indice des prix à la consommation (IPC) est passé de 6,8 % à...
6998
RSS
245678910Dernière
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CÉCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

Activités sportives ou artistiques: quand notre petit ne sait plus quoi choisir

Auteur: Sandra Hassan Farah /25 mai 2017/Catégories: 2017, Petite enfance, Grandir, un jeu d'enfant

Nous rêvons tous de voir notre enfant s’épanouir, se développer dans un sport ou une activité artistique. On ne décrira pas le bien-fondé que de tels loisirs apportent aux enfants tant ce sujet a été traité, décortiqué et largement étudié.

Cependant, même si nous restons persuadés que les activités sont bénéfiques pour nos enfants, nous nous retrouvons parfois confrontés a des enfants qui ne savent pas quoi choisir. Effectivement, il existe différents cas de figure d’enfants face au choix d’activités : ceux qui ne sont attirés par aucun loisir, ceux qui veulent tout faire, ceux qui savent depuis toujours ce qu’ils veulent pratiquer, ceux qui aiment un peu de tout mais avec parcimonie…. Et tant d’autres encore à l’image de la complexité humaine.

Même s’il nous semble obligatoire que notre enfant s’inscrive dans un cours de sport ou de création, il faut pouvoir imaginer et accepter que celui-ci ne semble attiré par rien en dehors de l’école et de la maison. Sans se résigner pour autant dans l’acceptation que c’est une cause perdue, il faut, me semble-t-il, entendre que son enfant trouve son échappatoire autrement. D’ailleurs, il n’y a pas meilleur refuge que de rentrer chez soi et profiter de ce que la maison offre… Cependant, à un moment donné, cela peut enfermer l’enfant dans une routine beaucoup trop maîtrisée qui ne laisse pas de place à la fantaisie et à la découverte.

Le loisir extérieur à l’école ou à la maison a le mérite d’apporter la nouveauté. Qu’il soit artistique ou sportif, le loisir a le même impact sur le développement psychologique de l’enfant : se retrouver confronté à une situation nouvelle où il faudra interagir avec autrui. Avant même de parler de bénéfices physiques ou créatifs, les activités permettent à l’enfant de se retrouver confronté à une situation inédite ou il devra adapter son comportement. Une fois que cette nouveauté devient commune, nous retrouverons tous les bénéfices largement décrits dans les innombrables études sur les bénéfices des activités de loisirs.

Enfin, qu’elle soit artistique ou sportive, l’activité doit rester un plaisir pour l’enfant, en aucune manière cela ne doit se traduire en contrainte.

Pour les enfants qui ont du mal à faire leur choix, pourquoi pas leur faire découvrir un grand nombre de loisirs. À un moment donné, il se fixera sur une activité, ou pas… Mais comme je le dis déjà, un cours de sport extérieur à l’école n’est en rien obligatoire. C’est un plus indéniable pour les enfants qui s’épanouissent dedans, mais ce n’est pas vital !

Pour résumer, ne nous mettons pas la pression de l’inscription obligatoire de notre enfant dans une activité. Profitons de ce moment pour lui parler de nos passions et pour lui faire partager nos souvenirs d’enfance lorsque nous portions un tutu ou jouions au soccer…

Cela peut parfois aider notre enfant dans son choix de loisir !

Imprimer

Nombre de vues (40306)/Commentaires ()

Sandra Hassan Farah

Sandra Hassan Farah

Autres messages par Sandra Hassan Farah
Contacter l'auteur

Comments are only visible to subscribers.

Contacter l'auteur

x
Conditions d'utilisationDéclaration de confidentialité© Copyright 2024 Journal L'Eau Vive. Tous les droits sont réservés.
Back To Top