Close

Actualité économique

Faut-il (encore) avoir peur de la finance sociale ? Faut-il (encore) avoir peur de la finance sociale ?

Faut-il (encore) avoir peur de la finance sociale ?

Famille, Enfants et Développement social

24769

Une première annonce de 3,4 millions $ à mi-parcours de la Feuille de route pour les langues officielles vient relancer quatre organismes dont les clientèles n’étaient pas prioritaires pour l’administration conservatrice. 

Livre blanc du RDÉE Canada sur le développement économique dans la... Livre blanc du RDÉE Canada sur le développement économique dans la...

Livre blanc du RDÉE Canada sur le développement économique dans la...

Lancement d’un ambitieux plan de positionnement

20536

Le Réseau de développement économique et employabilité (RDÉE) Canada a rendu public le 21 mars un plan de positionnement qui doit inspirer son orientation au cours des trois à cinq prochaines années pour la francophonie canadienne.

Budget fédéral 2016: Au-delà de Radio-Canada Budget fédéral 2016: Au-delà de Radio-Canada

Budget fédéral 2016: Au-delà de Radio-Canada

OTTAWA – Pour son premier budget, le nouveau gouvernement libéral avait promis de stimuler l’économie canadienne avec...
16681
RSS
Première567810121314Dernière
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CÉCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

Un photographe donne vie à la Saskatchewan oubliée

Auteur: Dominique Liboiron/12 décembre 2019/Catégories: 2019, Arts et culture, Arts visuels, Aventure et plein air

La Saskatchewan se prête bien à l’exploration. Nos chemins de campagne mènent tous éventuellement à des endroits intéressants, mais parfois oubliés. Peut-être qu’il s’agit d’une vieille église ou d’une étable balayée par le vent. Un photographe de Shaunavon explore ces coins perdus de notre province et partage leur découverte.

Chris Attrell capte surtout les symboles des Prairies. C’est-à-dire qu’il se concentre sur les villages fantômes, les élévateurs et les bâtisses abandonnées. Ce qui distingue sa photographie et la rend mémorable est que Chris Attrell prend souvent ses photos la nuit.

Lorsqu’il capte des images de bâtisses délaissées, Chris Attrell y place des lumières à l’intérieur afin de redonner vie à ses sujets négligés. Le photographe souhaite que les structures qui paraissent quelque peu hantées puissent paraître majestueuses encore une fois.

Ses photos, à la fois remarquables et captivantes, ont paru à la télévision et dans le Star-Phoenix, le Leader-Post et le National Post. Cet été, il a publié Forgotten Saskatchewan, son premier livre. Ce recueil de photos trace le parcours du photographe alors qu’il découvre non seulement nos bâtisses oubliées, mais aussi la beauté de nos paysages. Ces derniers, nous les voyons sous un ciel incrusté d’étoiles ou embelli d’aurores boréales. La photographie de Chris Attrell nous permet d’imaginer l’aventure qui attend ceux qui quittent nos communautés si bien éclairées afin de plonger dans la noirceur de la campagne.

Photographe par accident

Originaire de Calgary, Chris Attrell a été élevé à Houston où son père travaillait dans l’industrie du pétrole. Depuis 2006, il habite à Shaunavon. Lors de sa jeunesse, il pratiquait un peu la photographie, mais le coût de la pellicule l’empêchait de la prendre au sérieux. Vers 2003, il a obtenu son premier appareil photo numérique, un Canon Rebel, ce qui lui a permis de développer ses habiletés tout en épargnant le coût du développement.

Plus tard, le Calgarien a consacré beaucoup de son temps libre à la photographie. Petit à petit, les gens ont commencé à acheter ses images et des journaux les ont également publiées. « Je suis devenu photographe par accident », confie-t-il.

Quant aux photographes qui l’ont influencé et qui l’ont instruit, Chris Attrell mentionne Mike Stobbs de Moose Jaw et Bobby Scott de Calgary. Ces deux artistes s’intéressent aux scènes rurales, aux couleurs vives et à la photographie de nuit sous un ciel dramatique.

En tant que professionnel, Chris Attrell effectue de la photographie commerciale et prend des photos de noces ou de fêtes de finissants. De plus, il enseigne des cours de photographie en Alberta et en Saskatchewan. Il immortalise les bâtisses avec un Nikon D610 qu’il jumelle surtout avec des lentilles à grand angle et à grande ouverture.

Pour voir ses photos, visitez Forgotten Saskatchewan sur Facebook. Son site web, anywhere.ca, contient également des photos en plus d’une liste des villes où il enseignera des cours en 2020. Son livre se vend sur Amazon ou à Chapters et Coles. 

Imprimer

Nombre de vues (30133)/Commentaires ()

Balises: Chris Attrell
Dominique Liboiron

Dominique Liboiron

Autres messages par Dominique Liboiron
Contacter l'auteur

Comments are only visible to subscribers.

Contacter l'auteur

x
Conditions d'utilisationDéclaration de confidentialité© Copyright 2024 Journal L'Eau Vive. Tous les droits sont réservés.
Back To Top