Fonds l'Eau vive banniere
Close
La Saskatchewan manque de revenus et devra présenter deux déficits La Saskatchewan manque de revenus et devra présenter deux déficits

La Saskatchewan manque de revenus et devra présenter deux déficits

19823
Le premier ministre de la Saskatchewan, Brad Wall, a déclaré que son gouvernement faisait face à un "sérieux manque de revenus", ce qui le forcera à aligner des budgets déficitaires
Brad Wall rabroue les maires de la Communauté métropolitaine de Montréal Brad Wall rabroue les maires de la Communauté métropolitaine de Montréal

Brad Wall rabroue les maires de la Communauté métropolitaine de Montréal

28630

Par l'intermédiaire des médias sociaux, M. Wall a déclaré: "je suis convaincu que les maires de la région de Montréal vont poliment rembourser leur part des 10 milliards $ de paiements de péréquation auxquels l'Ouest du pays a contribué". 

Comment gérer la diversité culturelle au travail ? Comment gérer la diversité culturelle au travail ?

Comment gérer la diversité culturelle au travail ?

REGINA - Vendredi le 6 novembre, à Regina, dans le cadre de la Semaine nationale de l’immigration francophone, le Réseau en immigration...
23240
La Fondation fransaskoise loin de la crise de 2008 La Fondation fransaskoise loin de la crise de 2008

La Fondation fransaskoise loin de la crise de 2008

Fortement touchée par la chute des marchés boursiers et la crise mondiale de 2008, la Fondation fransaskoise (FF) voit...
30534
Le CCS repense son identité et devient le CÉCS Le CCS repense son identité et devient le CÉCS

Le CCS repense son identité et devient le CÉCS

Depuis le samedi 17 octobre 2015, le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan est officiellement devenu Conseil économique et...
29850

Subway débarque à Gravelbourg

GRAVELBOURG - Un restaurant Subway vient d’être inauguré à Gravelbourg. L’arrivée de la chaîne de restauration rapide américaine n’est pas passée inaperçue en ville et pourrait apporter du dynamisme à la localité.

RSS
Première45679111213Dernière
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
RSS
12345679Dernière

Actualité économique

Allocution du président de la FCFA, Jean Johnson à l’ouverture de la 12e Journée de réflexion sur l’immigration francophone

Monsieur le président de l’ACFA,

Représentants et représentantes des gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux,

Distingués invités, amis de la francophonie,

Le privilège de vous accueillir et de vous souhaiter officiellement la bienvenue en Alberta revient à mon collègue Marc Arnal, qui vous adressera la parole dans quelques minutes. Mais je tiens à vous dire que c’est une immense fierté pour moi, comme Franco-Albertain, de nous voir tous et toutes réunis ici à Calgary pour la 12e Journée de réflexion sur l’immigration francophone.

Depuis que la FCFA assume la coordination de la Journée, nous avons cherché à amener cet événement dans différentes régions du pays. En 2016, nous étions à Toronto, où on trouve une francophonie métropolitaine, diversifiée, où les immigrants et les immigrantes sont bien actifs au sein d’une variété d’organismes et d’institutions de langue française.

En 2017, nous étions à Moncton, où nous avons parlé du projet-pilote en matière d’immigration en Atlantique, et des initiatives pour l’accueil des réfugiés syriens. Nous avons réitéré l’importance des services d’établissement de langue française, par et pour nos communautés. Cette question du par et pour a trouvé son écho le lendemain dans la déclaration du premier Forum ministériel sur l’immigration francophone.

Nous voici maintenant à Calgary, dans une ville où la croissance de la francophonie et de l’immigration est plus récente, mais musclée. Cette croissance nous interpelle parce que nous ne voulons pas seulement attirer et recruter des immigrants et des immigrantes francophones. Pour reprendre l’expression de Rodrigue Landry, nous voulons faire communauté avec eux. Je vais y revenir dans quelques minutes.

Auparavant, je veux dire qu’à la FCFA, nous trouvons important que la Journée se déplace d’une année à l’autre parce que les réalités et les besoins de nos communautés, et des immigrants qui choisissent de s’y installer, sont différentes d’une région à l’autre. Je parlais de l’importance du par et pour, et c’est un argument de poids en ce sens.

Nous avons fait d’énormes avancées à ce niveau, et il faut qu’on en parle parce que ce sont des histoires à succès. Je m’en voudrais de ne pas saluer la communauté francophone de Terre-Neuve-et-Labrador, qui a célébré la semaine dernière l’ouverture de COMPAS, le tout premier service d’établissement direct pour les immigrants francophones dans la province. Je vous dis bravo.

Peu à peu, nous avançons, et quand nous regardons où nous sommes maintenant comparativement à il y a 10 ans, nous voyons tout ce que nous avons réussi à faire. La Semaine nationale de l’immigration francophone, ça n’existait pas il y a dix ans. Plusieurs services d’établissement francophones se sont créés dans la dernière décennie. Et nous, les communautés, avons acquis une expertise significative en immigration et en diversité.

Et pour moi, la plus grosse réussite, c’est que nous sommes tous et toutes embarqués dans ce projet de société. Vous êtes ici aujourd’hui parce que vous y croyez, à l’immigration francophone. Les communautés y croient. Les chercheurs y croient.

Les gouvernements y croient, et je salue tous ceux et toutes celles qui sont ici pour le premier symposium tripartite fédéral, provincial et territorial, avec nos communautés, sur l’immigration francophone demain.

 

La francophonie de 2030, de 2040, de 2050 dépend beaucoup de notre engagement à tous et à toutes, et de discussions comme celles que nous avons aujourd’hui et celles que nous aurons demain. Comme je le disais plus tôt, oui, il faut recruter des immigrants et des immigrantes et les accueillir, mais il faut aussi faire communauté ensemble. On ne peut pas se permettre de penser qu’une fois un immigrant établi, notre travail est fini. Une francophonie réellement plurielle, c’est une francophonie qui est forte parce que tous ceux et toutes celles qui en font partie y participent et sont des membres actifs de leur communauté et de la société, peu importe leurs origines.

C’est à ça que nous vous invitons à réfléchir aujourd’hui, et c’est sur ça que nous vous invitons à agir.

 Je vous remercie et je vous souhaite d’excellentes discussions.

Cet article Allocution du président de la FCFA, Jean Johnson à l’ouverture de la 12e Journée de réflexion sur l’immigration francophone est apparu en premier sur Fédération des communautés Francophones et Acadiennes du Canada.

Imprimer
8718

Fédération des communautés francophones et acadiennesFédération des communautés francophones et acadiennes

Autres messages par Fédération des communautés francophones et acadiennes
Contacter l'auteur

Comments are only visible to subscribers.

Contacter l'auteur

x
Conditions d'utilisationDéclaration de confidentialité© Copyright 2024 Journal L'Eau Vive. Tous les droits sont réservés.
Back To Top