La Saskatchewan manque de revenus et devra présenter deux déficits La Saskatchewan manque de revenus et devra présenter deux déficits 3 février 2016 19538 Le premier ministre de la Saskatchewan, Brad Wall, a déclaré que son gouvernement faisait face à un "sérieux manque de revenus", ce qui le forcera à aligner des budgets déficitaires
Brad Wall rabroue les maires de la Communauté métropolitaine de Montréal Brad Wall rabroue les maires de la Communauté métropolitaine de Montréal 24 janvier 2016 28328 Par l'intermédiaire des médias sociaux, M. Wall a déclaré: "je suis convaincu que les maires de la région de Montréal vont poliment rembourser leur part des 10 milliards $ de paiements de péréquation auxquels l'Ouest du pays a contribué".
Les immigrants découvrent la recherche d’emploi ‘’à la canadienne’’ Les immigrants découvrent la recherche d’emploi ‘’à la canadienne’’ SASKATOON - Afin de guider les nouveaux arrivants dans les dédales du processus de recrutement canadien, le Conseil économique et... 26 novembre 2015 37823
Un marché virtuel pour les producteurs fransaskois ? Un marché virtuel pour les producteurs fransaskois ? SASKATOON - Le 20 novembre dernier des producteurs agricoles fransaskois ont participé à une journée de travail à... 26 novembre 2015 33983
Comment gérer la diversité culturelle au travail ? Comment gérer la diversité culturelle au travail ? REGINA - Vendredi le 6 novembre, à Regina, dans le cadre de la Semaine nationale de l’immigration francophone, le Réseau en immigration... 11 novembre 2015 22985
La Fondation fransaskoise loin de la crise de 2008 La Fondation fransaskoise loin de la crise de 2008 Fortement touchée par la chute des marchés boursiers et la crise mondiale de 2008, la Fondation fransaskoise (FF) voit... 11 novembre 2015 30170
Le déficit commercial du Canada a rétréci à 1,7 milliard $ en septembre Le déficit commercial du Canada a rétréci à 1,7 milliard $ en septembre OTTAWA - Le déficit commercial du Canada a rétréci à 1,7 milliard $ en septembre, a indiqué mercredi... 4 novembre 2015 20881
Le CCS repense son identité et devient le CÉCS Le CCS repense son identité et devient le CÉCS Depuis le samedi 17 octobre 2015, le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan est officiellement devenu Conseil économique et... 21 octobre 2015 29590
7Shifts lauréate du prix BRAVO entreprises 2015 21 octobre 2015 7Shifts lauréate du prix BRAVO entreprises 2015 REGINA - Journée faste, le samedi 17 octobre 2015, pour le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan. Le CCS est officiellement devenu le CECS, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan. La journée s’est terminée par le banquet du Prix BRAVO entreprises qui a été remis à l'entreprise 7shifts.
Subway débarque à Gravelbourg 8 octobre 2015 Subway débarque à Gravelbourg GRAVELBOURG - Un restaurant Subway vient d’être inauguré à Gravelbourg. L’arrivée de la chaîne de restauration rapide américaine n’est pas passée inaperçue en ville et pourrait apporter du dynamisme à la localité.
Anonym / 6 mars 2014 / Catégories: Société, Santé Mourir dans la dignité Mourir dans la dignité Compassion, économie ou évasion juridique? « Le fond de l’histoire, soutient Annette Labelle, c’est que la population est préoccupée par la souffrance. Mais pour les États, il y a des économies à faire. Et on veut changer la loi pour que l’aide à mourir ne soit plus un crime. » « Les gens ont de la misère à faire la part des choses, souligne la présidente de la Fédération des aînés fransaskois. D’un côté, on a une population vieillissante qui coûte de plus en plus cher à soigner; et de l’autre, des non-pratiquants qui veulent avoir plus de choix. Avant que des lois soient adoptées, j’aimerais que les vraies raisons soient mises sur la table. « On ne veut pas la souffrance extrême, dit-elle, on ne veut pas non plus qu’il y ait de l’abus. Ni que les professionnels pratiquant l’aide à mourir ou qui s’objectent aient des ennuis juridiques. Annette Labelle, présidente de la Fédération des aînés fransaskois « Le projet de loi québécois, reconnaît Annette Labelle, ça brasse des idées, ça fournit une opportunité d’en parler. On a semé l’idée qu’on doit changer quelque chose. Mais ça va me soulager si ça ne passe pas. La sensibilisation n’est pas complète. Il y a trop de négatif. » Comme Paul-André Gauthier, la résidente de Ponteix préconise la communication et la conscientisation. « La démarche québécoise nous force à avoir une discussion en famille et dans nos communautés. Il y a des familles qui ne parlent jamais des questions de fin de vie et ça cause de l’abus et des erreurs. « C’est notre responsabilité comme adultes, précise l’archiviste, d’avoir un testament et des directives en cas de perte d’autonomie. Et c’est important que ces informations soient partagées : c’est une opportunité d’en parler en famille et pour les jeunes enfants d’en entendre parler. « J’ai eu la chance de venir au monde quand il n’y avait pas encore d’avortements. Je crois au Notre-Père, résume Annette Labelle. Quand je dis « que ta volonté soit faite », c’est la volonté du Christ; ce n’est pas mon corps, c’est son corps. Mettre fin à ma vie, ce n’est pas un choix que je ferai. « En cas de maladie ou de blessure grave, mon mari et moi avons décidé qu’on ne voulait pas rester branché à une machine. Ce ne serait pas juste pour nous, ni pour la famille et la société. Mais tant qu’on est vivant, on ne voudrait pas qu’on nous laisse mourir de faim. « Le cadeau de l’avoir discuté en famille, c’est que chacun peut donner son opinion. Et après les enfants sont mieux informés pour faire leurs propres choix. » Imprimer 24025 Balises: EuthanasiesantéAnnette Labelle Articles connexes Carton vert pour une aînée de Ponteix Aide médicale à mourir: entre légalité et dignité L’aide médicale à mourir Comments are only visible to subscribers.