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Prix de l’alimentation pour 2019 : la viande n’est plus à la mode Prix de l’alimentation pour 2019 : la viande n’est plus à la mode Le dernier Rapport canadien sur les prix alimentaires à la consommation nous annonce une hausse, entre 1,5 % et 3,5 %, du prix du panier... 28 décembre 2018 36045
Recrutement international Recrutement international Chaque année, la Fédération des communautés francophones et acadiennes et les bureaux d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté... 24 septembre 2018 46524
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Orchestrer les différences culturelles au sein d’une équipe Orchestrer les différences culturelles au sein d’une équipe REGINA - Quand on se retrouve avec différents bagages culturels au sein d'une équipe, il faut souvent du doigté pour réussir à maintenir la... 15 février 2018 33743
CÉCS : En plein essor 23 juin 2017 CÉCS : En plein essor MOOSE JAW - L’Assemblée générale annuelle du Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan s’est tenue dans l’établissement du Temple Gardens Hotel & Spa, le 17 juin dernier à Moose Jaw.
Ottawa veut faciliter l'immigration économique francophone 6 juin 2017 Ottawa veut faciliter l'immigration économique francophone Les candidats à l'"immigration économique" au Canada obtiendront davantage de points s'ils maîtrisent bien le français ou s'ils ont déjà un frère ou une soeur au pays.
Étienne Alary / 22 octobre 2014 / Catégories: 2014, Éducation, Postsecondaire Émile Fortier: Comme une grande famille! Un fransaskois au Campus St-Jean d'Edmonton Le Fransaskois Émile Fortier étudie au Campus St-Jean en Alberta. Photo: Étienne Alary (2014) EDMONTON - Avec ses 750 étudiants, le Campus Saint-Jean est considéré comme un petit établissement au sein de l’Université de l’Alberta qui accueille chaque année près de 30 000 étudiants. C’est justement ce qui réjouit le Fransaskois Émile Fortier, qui a entamé sa deuxième année de son baccalauréat en septembre dernier. « C’est ce que j’aime du Campus Saint-Jean. C’est comme une grande famille », s’exclame le jeune homme. Deux éléments l’ont poussé à venir à Edmonton : les petites classes, avec un ratio d’un professeur pour 17 étudiants, et le fait d’étudier en français. « J’ai toujours étudié en français. D’abord à Zenon Park où je suis né et ensuite, à partir de la 5e année, à l’École canadienne-française (ECF) de Saskatoon, lorsque mes parents (Lise Rivard et Guy Fortier) ont déménagé en 2005 », avance-t-il. « En termes du nombre d’étudiants, je trouve que nous sommes très bien au Campus. Même si je viens d’une école de Saskatoon, nous n’étions que 21 en 12e année, soit la plus grosse cohorte jamais observée à l’ECF à ce moment-là. À Saint-Jean, comparé à de grandes facultés, je ne suis pas un inconnu, je suis Émile. C’est comme à l’ECF, mais en plus gros. De plus, le Campus a la chance d’accueillir des étudiants d’une vingtaine de pays ce qui nous permet réellement d’élargir nos horizons et de découvrir les différences de culture », enchaîne Émile Fortier. La capitale albertaine s’est avérée un choix logique. « Si je souhaitais étudier au niveau postsecondaire en français, c’était soit Edmonton soit me rendre à Ottawa ou à Moncton. Puisque j’ai de la famille ici et que Saskatoon n’est pas trop loin, c’était donc l’endroit idéal », estime-t-il. Le jeune Fransaskois a aussi été précédé dans l’établissement universitaire francophone par l’aîné de la famille, Yvan Fortier, qui a fait son baccalauréat bilingue en administration des affaires et qui vit toujours à Edmonton. Malgré cette présence familiale, Émile Fortier a opté pour la Résidence Saint-Jean. « Je trouve cela pratique de vivre à côté du Campus et cela nous aide, surtout lors de notre première année, à rencontrer des gens, à tisser des liens avec d’autres étudiants. Cette année, j’ai même un rôle accru alors que j’ai décroché un travail d’aide à la résidence en appui à la personne responsable », avance celui qui a également une sœur, Zoé, qui vit à Saskatoon et qui est de plus en plus connue dans le milieu des arts visuels. Donner de son temps Émile Fortier est également très impliqué bénévolement à plusieurs niveaux au Campus. L’an dernier, il a été élu VP 1re année à l’association étudiante, en plus de faire partie du club de soccer et de la troupe de théâtre. « Cette année, j’ai décidé de créer un club d’improvisation et près d’une trentaine d’étudiants se sont inscrits dans le club. J’ai également accepté le poste de rédacteur en chef du Mouton Noir, le journal étudiant », présente-t-il. Il faut dire que son désir de s’impliquer en français remonte bien avant son arrivée à Edmonton. « J’ai été impliqué dans les conseils étudiants de mon école. J’ai également donné de mon temps du côté de l’Association jeunesse fransaskoise (AJF), en plus d’avoir participé à 10 parlements jeunesse, soit quatre en Saskatchewan, quatre au niveau de l’Ouest et du Nord (le PFCNO) et deux parlements jeunesse pancanadiens à Ottawa », souligne Émile Fortier. Études et bénévolat font partie d’un tout. « À mes yeux, mes études sont aussi importantes que la vie sociale et l’implication bénévole que j’ai ici. Tout cela mis ensemble fait en sorte que je suis vraiment dans mon élément ici », termine l’étudiant inscrit au Baccalauréat ès arts avec une majeure en Sciences politiques et une mineure en histoire. Imprimer 31611 Balises: Campus St-Jean Étienne AlaryÉtienne Alary Autres messages par Étienne Alary Contacter l'auteur Articles connexes Campus Saint-Jean : vers une intervention fédérale? Quand on l’attaque, la francophonie contre-attaque Toujours pas de déblocage pour le Campus Saint-Jean Un vent de solidarité au Canada pour sauver le Campus Saint-Jean La francophonie de l’Ouest menacée : «Sauvons Saint-Jean!» « Ne pas perdre ma langue! » Nicole Lemire: De Nipawin à Edmonton, en passant par Prince Albert Comments are only visible to subscribers.