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Le budget fédéral 2019 désespère les petits journaux Le budget fédéral 2019 désespère les petits journaux 2 avril 2019 31514 Suvol du budget fédéral 2019, dévoilé le 19 mars.
Une entreprise fransaskoise à l’honneur au Annual Diversity Awards Une entreprise fransaskoise à l’honneur au Annual Diversity Awards SASKATOON - L'entreprise Jerry’s Emporium s'est une fois de plus démarquée au gala des Prix de la diversité,... 14 février 2019 23133
Prix de l’alimentation pour 2019 : la viande n’est plus à la mode Prix de l’alimentation pour 2019 : la viande n’est plus à la mode Le dernier Rapport canadien sur les prix alimentaires à la consommation nous annonce une hausse, entre 1,5 % et 3,5 %, du prix du panier... 28 décembre 2018 36061
Recrutement international Recrutement international Chaque année, la Fédération des communautés francophones et acadiennes et les bureaux d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté... 24 septembre 2018 46533
Budget fédéral : des appuis au journalisme local et aux médias en... Budget fédéral : des appuis au journalisme local et aux médias en... Le budget fédéral apporte un double soutien à la presse francophone en milieu minoritaire, même s’il ignore les principales revendications... 28 février 2018 29292
Réactions au budget fédéral 2018 Réactions au budget fédéral 2018 Réactions de divers organismes francophones au budget fédéral 27 février 2018 29019
Orchestrer les différences culturelles au sein d’une équipe Orchestrer les différences culturelles au sein d’une équipe REGINA - Quand on se retrouve avec différents bagages culturels au sein d'une équipe, il faut souvent du doigté pour réussir à maintenir la... 15 février 2018 33756
CÉCS : En plein essor 23 juin 2017 CÉCS : En plein essor MOOSE JAW - L’Assemblée générale annuelle du Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan s’est tenue dans l’établissement du Temple Gardens Hotel & Spa, le 17 juin dernier à Moose Jaw.
Ottawa veut faciliter l'immigration économique francophone 6 juin 2017 Ottawa veut faciliter l'immigration économique francophone Les candidats à l'"immigration économique" au Canada obtiendront davantage de points s'ils maîtrisent bien le français ou s'ils ont déjà un frère ou une soeur au pays.
Jean-Pierre Picard / 10 juillet 2014 / Catégories: 2014, Éditorial Pour qu’on se souvienne d’eux Certaines rencontres dans nos vies laissent leur marque. C’est à l’Eau vive, en 1986, que le chemin d’Albert O. Dubé et le mien se sont croisés. Quelques jours plus tôt, un certain Roland Pinsonneault m’avait invité à souper pour ce que je croyais être une entrevue pour le poste de graphiste dans un journal francophone. J’ai eu droit à un cours passionné sur l’histoire de la presse francophone de l’Ouest et sur le mot Fransaskois. Dans son envolée, il y avait toujours un nom qui revenait : Albert! La semaine suivante, je me présente au bureau de l’Eau vive. Il n’y a que deux personnes sur place : l’homme en charge, le fameux Albert en question, et la femme qui sait comment les choses se passent, Micheline Brault. Je me présente à ce nouveau patron et attend ses directives. D’entrée de jeu il me dit : « C’est ma première journée, moi aussi, et je n’ai jamais touché à un journal de ma vie ». Il me fixe de son regard vif. Moi, du haut des 26 ans d’un Québécois fraîchement débarqué, je lui réponds : « Moi non plus! ». Léger silence, presque comique, puis d’une voix qui inspire la confiance, avec un sourire malin, il me dit : « Bien, on va apprendre! ». Je venais de rencontrer un autodidacte extraordinaire. Pour apprendre, on a appris. Monsieur Dubé a pris une Eau vive en difficulté et l’a relancée dans une voie qui l’amena à remporter le prix du meilleur journal de la francophonie canadienne en 1992. Il y a des êtres d’exception dans la Fransaskoisie. Comme d’autres qui ont les tempes grises, j’ai eu la chance d’en côtoyer plusieurs qui sont aujourd’hui disparus. Je pense, entre autres, à Raymond Marcotte, Roland Pinsonneault, Gustave Dubois et, bien sûr, Albert O. Dubé. Et n’oublions pas les grandes femmes telle Odette Carignan. Pour que leurs noms demeurent vivants dans notre mémoire collective, pourquoi ne pas nommer nos lieux communautaires et nos écoles à la mémoire de nos grands disparus? Il y a déjà le pavillon Gustave Dubois de l’École canadienne-française de Saskatoon, l’école André Mercure, l’école Ducharme, le centre culturel Maillard à Gravelbourg et quelques autres. Pourquoi pas une École Arthur Marchildon à Zénon Park, village où est né cet abbé qui a tant fait pour la francophonie et la jeunesse d’ici? Monseigneur de Laval pourrait devenir Monseigneur Baudoux, le Carrefour Horizons pourrait devenir le Carrefour Albert Dubé etc. La tenue de nos rencontres dans des locaux portant le nom de nos grands bâtisseurs pourrait peut-être nous inspirer à mieux collaborer pour ne pas mettre en péril les victoires chèrement acquises au prix de leur dévouement. Imprimer 8311 Jean-Pierre PicardJean-Pierre Picard Autres messages par Jean-Pierre Picard Contacter l'auteur Comments are only visible to subscribers.