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La COVID-19 fera-t-elle bondir les prix des aliments? La COVID-19 fera-t-elle bondir les prix des aliments? 25 avril 2020 25210 FRANCOPRESSE – Quels seront les effets à moyen et long terme de la crise de la COVID-19 sur les prix des aliments? Même les experts ont de la difficulté à répondre avec précision à cette question, tellement il y a d’éléments qui entrent en jeu.
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La fransaskoisie adopte le télétravail La fransaskoisie adopte le télétravail Entre les projets qui s’annulent et ceux qui doivent continuer, les rapports de fin d’année fiscale et les réunions virtuelles,... 2 avril 2020 21803
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La Saskatchewan accueille son premier économusée La Saskatchewan accueille son premier économusée LUMSDEN - Le 17 septembre, le premier économusée de la province a ouvert ses portes à Lumsden sur le site enchanteur des vergers Over the... 18 octobre 2019 22570
Le revenu de base garanti se faufile dans la campagne électorale Le revenu de base garanti se faufile dans la campagne électorale L’Institut Cooper et le PEI Working Group for a Livable Income (WGLI) veulent faire du revenu de base garanti (RBG) un enjeu électoral. 12 octobre 2019 33986
La dégénérescence des produits La dégénérescence des produits Avez-vous déjà remarqué que les produits d’aujourd’hui n’ont pas la même qualité ou ne durent pas aussi longtemps que ceux de... 21 juin 2019 26944
SENA : Une participation francophone modeste 28 mai 2019 SENA : Une participation francophone modeste REGINA - Le volet francophone a eu peu de participants lors de la Semaine pour l’emploi des nouveaux arrivants (SENA) du 6 au 10 mai à Regina,
Le Francothon fait le plein ! 10 mai 2019 Le Francothon fait le plein ! REGINA - Cette 23e édition du Francothon a porté ses fruits en surpassant son objectif de 60 000 dollars : au total, plus de 107 000 dollars ont été récoltés.
Anonym / 27 septembre 2016 / Catégories: 2016, Éducation, Santé Santé mentale à l’école Accepter de partager ses états d’âme est difficile quand on souffre Caroline Vézina, directrice des programmes à la Société Santé en français Photo: FCE Le phénomène est répandu : des enfants en retrait ou agressifs qui dérangent. On ne sait pas comment les aider, on les écarte, on les stigmatise et les relations se détériorent. La santé mentale n’est pas perçue comme un problème de santé ordinaire. « On s’exprime facilement sur des problèmes concrets, mais quand on souffre de trouble mental, on entre dans une zone plus fragile », explique Caroline Vézina, la directrice de la programmation à la Société santé en français. « Contrairement aux autres maladies, il n’y a pas de plateau technique (examens et technologies). C’est particulier. L’outil essentiel du diagnostic et du traitement est la communication entre les personnes. « Accepter de partager ses états d’âme est difficile quand on souffre. Si on ajoute la dimension de la langue, c’est encore pire », croit-elle, évoquant les défis du 1,2 million de francophones en milieu minoritaire, dont 160 000 écoliers. « Trouver des ressources d’aide en français, c’est le grand défi. Quand un enseignant identifie un enfant (en détresse), à qui le réfère-t-il ? Ce n’est pas facile de trouver quelqu’un pour évaluer et apporter l’interprétation appropriée. » La travailleuse sociale a participé en juillet à un panel sur la santé mentale dans le cadre d’un forum de la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants. « De plus en plus, note Caroline Vézina, on démystifie, on peut diagnostiquer et soigner de façon appropriée. Mais on manque de personnel, de ressources conçues pour le milieu minoritaire et on n’a pas encore assez de données. » L’évidence viendra. L’Institut canadien de recherche sur les minorités linguistiques (Université de Moncton) a lancé en mai un appel de textes sur l’état des lieux en santé mentale, incluant les jeunes francophones, en vue d’un numéro spécial de sa revue Minorités linguistiques et société. Selon l’appel, les études à date « ont donné des résultats équivoques » sans révéler de défis distinctifs, sauf pour un accès problématique aux services. Une recherche de janvier 2016 du Conseil de la santé du Nouveau-Brunswick a révélé que la majorité des adolescents ne dorment pas assez. L’étude s’est intéressée à la capacité des jeunes de surmonter les problèmes de santé mentale, notamment en obtenant de l’aide. La résilience des francophones serait plus forte (74 %) que celle des anglophones (65 %). La santé mentale chiffrée (Canada, 2011) (source : Commission de la santé mentale du Canada) 24 % des 9 à 19 ans sont touchés 70 % des adultes atteints souffrent depuis l’adolescence 6 types de troubles : attention, anxiété, dépression, alimentation, dépendances, insécurité 3 obstacles majeurs : pauvreté, discrimination et stigmatisation 2e cause de suicide chez les 16 à 24 ans Imprimer 30968 Comments are only visible to subscribers.