Vente accrues de farine : les producteurs ne font pas plus d’argent Vente accrues de farine : les producteurs ne font pas plus d’argent 7 juin 2020 21509 Les ventes de farine plus importantes des derniers mois n’ont pas rapporté plus aux producteurs de farine et de blé.
La COVID-19 fera-t-elle bondir les prix des aliments? La COVID-19 fera-t-elle bondir les prix des aliments? 25 avril 2020 25184 FRANCOPRESSE – Quels seront les effets à moyen et long terme de la crise de la COVID-19 sur les prix des aliments? Même les experts ont de la difficulté à répondre avec précision à cette question, tellement il y a d’éléments qui entrent en jeu.
Emploi et immigration : Échange de dossiers entre l’ACF et le CÉCS Emploi et immigration : Échange de dossiers entre l’ACF et le CÉCS Depuis le début du mois d’avril, les services d’emplois sont désormais assurés par le Conseil économique et coopératif de la... 18 avril 2020 34172
La fransaskoisie adopte le télétravail La fransaskoisie adopte le télétravail Entre les projets qui s’annulent et ceux qui doivent continuer, les rapports de fin d’année fiscale et les réunions virtuelles,... 2 avril 2020 21715
Vers un circuit touristique francophone en Saskatchewan Vers un circuit touristique francophone en Saskatchewan Depuis leur adhésion au Réseau des villes francophones et francophiles d’Amérique (RVFFA), les villes de Prince Albert et Saskatoon... 15 mars 2020 20301
La Saskatchewan accueille son premier économusée La Saskatchewan accueille son premier économusée LUMSDEN - Le 17 septembre, le premier économusée de la province a ouvert ses portes à Lumsden sur le site enchanteur des vergers Over the... 18 octobre 2019 22525
Le revenu de base garanti se faufile dans la campagne électorale Le revenu de base garanti se faufile dans la campagne électorale L’Institut Cooper et le PEI Working Group for a Livable Income (WGLI) veulent faire du revenu de base garanti (RBG) un enjeu électoral. 12 octobre 2019 33943
La dégénérescence des produits La dégénérescence des produits Avez-vous déjà remarqué que les produits d’aujourd’hui n’ont pas la même qualité ou ne durent pas aussi longtemps que ceux de... 21 juin 2019 26900
SENA : Une participation francophone modeste 28 mai 2019 SENA : Une participation francophone modeste REGINA - Le volet francophone a eu peu de participants lors de la Semaine pour l’emploi des nouveaux arrivants (SENA) du 6 au 10 mai à Regina,
Le Francothon fait le plein ! 10 mai 2019 Le Francothon fait le plein ! REGINA - Cette 23e édition du Francothon a porté ses fruits en surpassant son objectif de 60 000 dollars : au total, plus de 107 000 dollars ont été récoltés.
Étienne Alary / 9 octobre 2014 / Catégories: 2014, Éducation, Postsecondaire Nicole Lemire: De Nipawin à Edmonton, en passant par Prince Albert La Fransaskoise Nicole Lemire, originaire de Nipawin, étudie au Campus St-jean PHOTO: Étienne Alary (2014) Chaque année, des milliers d’étudiants en 12e année sont confrontés à la même question : qu’est-ce qu’ils feront après l’obtention de leur diplôme : amorcer des études collégiales ou universitaires, aller directement sur le marché du travail ou prendre une pause d’études? C’est à cette question que la Fransaskoise Nicole Lemire a dû réfléchir au cours de l’automne 2010 et au début de l’hiver 2011 alors qu’elle était en 12e année dans le programme d’immersion de l’école St. Mary de Prince Albert. « J’ai toujours voulu devenir optométriste, alors pour moi l’université était un incontournable. Ce programme n’est offert qu’à deux endroit au pays, soit à l’Université de Waterloo, pour le programme en anglais, et l’Université de Montréal, pour le programme en français », raconte Nicole Lemire. Toutefois, avant d’être accepté dans ces études universitaires de 2e cycle, l’obtention d’un baccalauréat est nécessaire. « L’option logique, en raison de la proximité, aurait été de m’inscrire à l’Université de la Saskatchewan. Cependant, après 13 années passées en immersion, je ne voulais pas perdre mon français. Oui, j’aurais pu suivre quelques cours en français à l’Université de la Saskatchewan, mais ce n’est pas comme se plonger dans un milieu francophone », avance la Fransaskoise qui a passé sa jeunesse à Nipawin, avant de voir ses parents Carol et Maurice Lemire, déménager à Prince Albert en 2003. C’est avec cette volonté de s’exposer davantage à la langue de Molière qu’elle entame, en septembre 2011, un Baccalauréat ès sciences au Campus Saint-Jean (CSJ) de l’Université de l’Alberta. « Dès mon arrivée à Edmonton, j’ai senti que j’étais au bon endroit. Je vivais à la Résidence Saint-Jean (qui est rattachée au Campus) et le plus grand défi au départ était qu’il fallait toujours parler en français puisque cela fait partie des règles de la résidence », explique Nicole Lemire. Cette dernière passera ses trois premières années universitaires en résidence. « Nous sommes en plein cœur du Quartier francophone, avec La Cité francophone (centre communautaire) juste de l’autre côté de la rue. De plus, à la résidence, il y a un bon mélange d’étudiants qui proviennent d’écoles francophones et du monde de l’immersion. Cela est une bonne chose, permettant aux étudiants de l’immersion de se faire corriger les erreurs qu’ils font en parlant ou encore en apprenant de nouveaux mots au fil des conversations », estime-t-elle. Cette année, Nicole Lemire suit la majorité de ces cours au campus principal de l’Université de l’Alberta. « Ce n’est pas quelque chose d’anormal lorsqu’on s’inscrit en sciences au CSJ. La première année, tous les cours sont au Campus Saint-Jean. Lors de ma deuxième année, je prenais la navette une fois par semaine, car j’avais un cours au campus principal. La troisième année, le partage des cours entre les deux campus est environ 50-50 », souligne la jeune femme. Pour l’année universitaire 2014-2015, la Fransaskoise aurait pu s’inscrire uniquement dans des cours au campus principal. « J’ai choisi de prendre un cours ici au Campus Saint-Jean. Je voulais continuer à suivre un cours en français et faire partie de la vie du Campus Saint-Jean, car lorsqu’on est étudiant ici, on fait vraiment partie d’une grande famille », lance-t-elle. Si tout se déroule comme prévu, Nicole Lemire aura son Baccalauréat ès sciences avec une majeure en Sciences biologiques en poche en avril 2015. Ensuite? « Mes intérêts ont évolué. J’explore la possibilité de faire des études en ergothérapie à l’Université d’Ottawa. Mais pour le moment, je me concentre sur ma dernière année qui est très importante », conclut-elle. Imprimer 27720 Balises: Campus St-Jean Étienne AlaryÉtienne Alary Autres messages par Étienne Alary Contacter l'auteur Articles connexes Campus Saint-Jean : vers une intervention fédérale? Quand on l’attaque, la francophonie contre-attaque Toujours pas de déblocage pour le Campus Saint-Jean Un vent de solidarité au Canada pour sauver le Campus Saint-Jean La francophonie de l’Ouest menacée : «Sauvons Saint-Jean!» « Ne pas perdre ma langue! » Émile Fortier: Comme une grande famille! Comments are only visible to subscribers.