Un projet numérique inédit pour stimuler l’économie fransaskoise Un projet numérique inédit pour stimuler l’économie fransaskoise 23 avril 2021 10632 Avec la campagne numérique bilingue « Venez nous découvrir », le CÉCS espère faire des communautés fransaskoises de véritables destinations touristiques.
Coupe des startups : les entrepreneurs fransaskois sur le devant de la... Coupe des startups : les entrepreneurs fransaskois sur le devant de la... 17 mars 2021 13140 Quatre startups participantes à la finale régionale des Prairies de la Coupe des startups étaient fondées par des Fransaskois.
Cap sur le tourisme local pour relancer l’économie fransaskois Cap sur le tourisme local pour relancer l’économie fransaskois Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan mise sur la promotion du tourisme local pour relancer l’activité économique... 23 février 2021 14213
Annulation de Keystone XL : un coup dur pour l’Ouest canadien Annulation de Keystone XL : un coup dur pour l’Ouest canadien L'annulation de l'extension de l'oléoduc Keystone XL signifie que la Saskatchewan doit diversifier davantage son économie 5 février 2021 14919
Biden renforce « Buy America » : le Canada en a vu d’autres Biden renforce « Buy America » : le Canada en a vu d’autres Les mesures protectionnistes américaines de Joe Biden n’inquiètent pas les observateurs canadiens outre mesure. 2 février 2021 14306
D’où viennent les fruits consommés en hiver au Canada? D’où viennent les fruits consommés en hiver au Canada? Les fruits consommés en hiver au Canada sont très souvent produits hors de nos frontières et donc importés. 1 février 2021 14695
La fin de Keystone XL pourrait faire l’affaire de Trudeau La fin de Keystone XL pourrait faire l’affaire de Trudeau Le président des États-Unis, Joe Biden, a annulé le permis de construction et d’opération fédéral du projet de pipeline... 22 janvier 2021 15334
L’inclusion : un choix judicieux pour les entreprises francophones L’inclusion : un choix judicieux pour les entreprises francophones La croissance de l’immigration a apporté une nouvelle diversité dans les milieux de travail. Cette situation apporte des opportunités, mais... 24 novembre 2020 14235
COVID-19 : les entreprises payent l’addition 29 octobre 2020 COVID-19 : les entreprises payent l’addition Comment les entrepreneurs et chefs d’entreprise font-ils face à cette crise sanitaire devenue économique ? Et quelles leçons ont-ils pu tirer de ces événements ?
Le tourisme estival touché de plein fouet en Alberta et Saskatchewan 9 octobre 2020 Le tourisme estival touché de plein fouet en Alberta et Saskatchewan En Saskatchewan, le président et directeur général de l’Association Hôtel et Hospitalité, Jim Bence, a confirmé une saison touristique estivale 2020 catastrophique pour la province.
Lucas Pilleri – Initiative de journalisme local – APF / 16 mai 2020 / Catégories: Initiavive de journalisme local - APF, 2020, Arts et culture, Musique Spirit Animals : Lord Byrun lance son premier album solo Byrun Boutin-Maloney, alias Lord Byrun, a franchi un nouveau cap dans sa carrière en lançant le 8 mai son tout premier album solo intitulé Spirit Animals. Disponible sur les grandes plateformes numériques, ce premier opus est une consécration pour l’artiste originaire de Riceton, près de Regina. « C’est mon produit au monde, quelque chose que je peux donner et qui me représente », explique l’artiste. Ancien membre du groupe Indigo Joseph, le chanteur et musicien indique qu’il s’agit malgré tout encore d’un travail d’équipe. « Je ne suis pas tout seul dans ma chambre à faire les chansons, il y a de la collaboration », insiste-t-il. Autour de lui, un batteur, un guitariste, un bassiste, et parfois un claviériste s’affairent. L’album a d’ailleurs été enregistré dans le studio-maison de Keiran Semple, l’un des musiciens, à Regina. Lord Byrun est le lauréat de la 50e édition du Festival international de la chanson de Granby en 2018, devenant ainsi le seul artiste de la Saskatchewan à emporter le prestigieux concours. « J’ai rencontré beaucoup de gens et j’ai appris sur moi-même, dit-il. Je suis super fier d’avoir fait ça et d’avoir représenté la Saskatchewan. Mais je garde les pieds sur terre, les concours sont importants mais ça ne fait pas une carrière », tempère-t-il. De la scène au studio Avec un pied dans la ferme familiale et l’autre dans le studio d’enregistrement, l’artiste a pris son temps pour parfaire son premier opus. Certes, Lord Byrun se plaît avant tout sur une scène, une expérience « plus gratifiante et amusante », mais le travail en studio lui a permis d’explorer de nouveaux horizons. « Dans l’album, il n’y a pas cette énergie du live, alors il faut trouver d’autres façons de faire vivre les chansons. Il y a beaucoup de textures, d’ambiances, un peu de désorientation, des forces qui vont et viennent », détaille-t-il. Spirit Animals emprunte ainsi à plusieurs genres, du rock au folk, en passant par le dance et le punk. « Les paroles de Dylan avec la musique de Talking Heads », résume l’artiste qui cherchait à développer une attitude de laisser-faire, d’énergie, de connexion. « C’est la liberté d’être soi, de dire ce qu’on veut dire, de faire ce qu’on veut faire, de ne pas s’inquiéter de ce que les gens pensent », affirme-t-il. Le choix du titre de l’album renvoie à une certaine philosophie de vie pour l’artiste. « Le royaume naturel peut nous enseigner des choses. C’est la façon dont je vois le monde », décrit celui qui a grandi au milieu des Prairies. Ouvert sur le monde L’album comporte trois titres en français et sept en anglais, une variété revendiquée par l’artiste : « J’aime me voir comme un artiste bilingue. Je ne veux pas me limiter à une langue », dit-il. Ayant grandi avec le français, Lord Byrun ne veut se fermer aucune porte. « Je ne sais pas si je suis Fransaskois. Je me pense avant tout comme un artiste et un poète. La langue est un outil, pas une identité », défend-il. Malgré tout, le chanteur et musicien accorde de l’importance à ses racines. « Je trouve ça vraiment important la culture et le langage. La génération de mes grands-parents est celle qui a fait que nous avons des opportunités aujourd’hui de vivre en français. » Une carrière à bâtir À 30 ans, Lord Byrun souhaite rester en Saskatchewan pour développer sa carrière musicale. « On n’a pas une énorme industrie, mais j’ai décidé de rester ici, j’aime cette place. Si tout le monde part, on va jamais réaliser qu’il y a de l’art ici. Les choses vont pas arriver tout de suite », reconnaît-il, lucide. En tant qu’artiste émergent, Lord Byrun doit encore conquérir son public. « Il faut que je prenne le temps pour faire grandir les choses. Je me concentre sur le band, pour avoir de bonnes chansons et faire de bons spectacles que les gens aiment. On va voir ce que la vie apporte », lance-t-il, plein d’optimisme. Lorsque la crise sanitaire ne sera plus qu’un mauvais souvenir, l’artiste promet « une grosse soirée de lancement » pour son nouvel album. En attendant, Spirit Animals est accessible en ligne et le vidéo-clip de la chanson Funk est déjà disponible sur YouTube. Funk Lord Byrun Vidéoclip de Lord Byrun Imprimer 72368 Balises: Lord Byrun Lucas Pilleri – Initiative de journalisme local – APF Lucas Pilleri Autres messages par Lucas Pilleri – Initiative de journalisme local – APF Contacter l'auteur Articles connexes De Lord Byrun à Byrun Beets, une quête d’authenticité Effervescence musicale dans les Prairies Un deuxième album aux accents français pour Lord Byrun Douze artistes fransaskois chantent la résilience des Plaines Lord Byrun remporte les honneurs à Granby Comments are only visible to subscribers.