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Coupe des startups : les entrepreneurs fransaskois sur le devant de la... Coupe des startups : les entrepreneurs fransaskois sur le devant de la... 17 mars 2021 12898 Quatre startups participantes à la finale régionale des Prairies de la Coupe des startups étaient fondées par des Fransaskois.
Cap sur le tourisme local pour relancer l’économie fransaskois Cap sur le tourisme local pour relancer l’économie fransaskois Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan mise sur la promotion du tourisme local pour relancer l’activité économique... 23 février 2021 13927
Annulation de Keystone XL : un coup dur pour l’Ouest canadien Annulation de Keystone XL : un coup dur pour l’Ouest canadien L'annulation de l'extension de l'oléoduc Keystone XL signifie que la Saskatchewan doit diversifier davantage son économie 5 février 2021 14624
Biden renforce « Buy America » : le Canada en a vu d’autres Biden renforce « Buy America » : le Canada en a vu d’autres Les mesures protectionnistes américaines de Joe Biden n’inquiètent pas les observateurs canadiens outre mesure. 2 février 2021 13998
D’où viennent les fruits consommés en hiver au Canada? D’où viennent les fruits consommés en hiver au Canada? Les fruits consommés en hiver au Canada sont très souvent produits hors de nos frontières et donc importés. 1 février 2021 14527
La fin de Keystone XL pourrait faire l’affaire de Trudeau La fin de Keystone XL pourrait faire l’affaire de Trudeau Le président des États-Unis, Joe Biden, a annulé le permis de construction et d’opération fédéral du projet de pipeline... 22 janvier 2021 15129
L’inclusion : un choix judicieux pour les entreprises francophones L’inclusion : un choix judicieux pour les entreprises francophones La croissance de l’immigration a apporté une nouvelle diversité dans les milieux de travail. Cette situation apporte des opportunités, mais... 24 novembre 2020 13910
COVID-19 : les entreprises payent l’addition 29 octobre 2020 COVID-19 : les entreprises payent l’addition Comment les entrepreneurs et chefs d’entreprise font-ils face à cette crise sanitaire devenue économique ? Et quelles leçons ont-ils pu tirer de ces événements ?
Le tourisme estival touché de plein fouet en Alberta et Saskatchewan 9 octobre 2020 Le tourisme estival touché de plein fouet en Alberta et Saskatchewan En Saskatchewan, le président et directeur général de l’Association Hôtel et Hospitalité, Jim Bence, a confirmé une saison touristique estivale 2020 catastrophique pour la province.
Jérôme Melançon / 6 novembre 2018 / Catégories: Archives, 2018, Courrier du lecteur, Société, Immigration Débat : Quelles attentes à l’endroit des immigrants francophones ? Dans le cadre de la Semaine nationale de l'immigration francophone, La Cité universitaire francophone et le journal l'Eau vive vous invitent à participer à un débat sur le sujet. Nous vous invitons à lire ce texte de Jérome Melançon, paru dans l'Eau vive du 8 novembre, et à nous faire parvenir vos commentaires à direction@leau-vive.ca. Les commentaires retenus seront publiés dans l'édition du 15 novembre et sur notre site Web. Jérome Melançon Jérôme Melançon est professeur agrégé en études francophones et interculturelles ainsi qu’en philosophie à l’Université de Regina. Photo : Facebook Les communautés francophones en milieu minoritaire réclament une augmentation de l’immigration francophone pour maintenir le poids démographique de la langue française : il en va de la survie de certaines communautés et du maintien des institutions centrales (écoles, universités, services de santé, secteur socioculturel) que le nombre de francophones doit permettre. Il en va aussi du bilinguisme officiel, qui risque autrement de devenir seulement territorial, laissant la tâche au Québec, à une partie du Nouveau-Brunswick et de l’Ontario, et peut-être à Saint-Boniface, de le défendre. L’immigration francophone doit ainsi permettre le maintien d’une vie (partiellement) en français en milieu minoritaire. Du fait de ce projet francophone, une question est pressante : que peut-on attendre de la part des immigrants francophones en Saskatchewan ? Peuvent-ils reprendre le projet fransaskois ? Il existe en effet une contradiction entre les raisons d’être de l’immigration pour les communautés d’accueil francophones et celles qu’ont les immigrants pour venir au Canada. Tout le contraire des raisons majeures du projet d’immigration canadien qui s’articulent autour de la recherche de main d’œuvre. Et cette main-d’œuvre recherche quant à elle des occasions de travailler, de se former, de rejoindre sa famille ou, dans le cas des réfugiés, d’échapper à une situation. L’arrivée en Saskatchewan se fait le plus souvent sans connaissance du projet fransaskois, ni même de la situation des francophones. Certains immigrants d’ici se définissent comme francophones : il s’agit de leur langue maternelle, ou d’une langue publique, apprise et perfectionnée, dans laquelle ils sont encore plus confortables que beaucoup de gens capables de mener une conversation en français. Plusieurs choisissent de s’engager au sein de la communauté fransaskoise comme bénévoles, ou y trouvent un emploi. Pourtant, même si on leur dit à leur arrivée qu’ils sont d’office Fransaskois et qu’on leur donne le droit de vote à l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), une définition ethnoculturelle de la Fransaskoisie persiste de manière informelle et les maintient en marge de la communauté. Les faits humains de la discrimination et du racisme demeurent aussi un obstacle à leur pleine autodéfinition comme Fransaskois. Pour ceux qui n’ont pas la chance de travailler en français ou n’ont pas développé une forte identité francophone avant leur arrivée, l’engagement dans une communauté francophone demeure difficile. Il s’agit par conséquent de savoir si les attentes quant à l’immigration francophone en situation minoritaire sont justes. Ces attentes sont plus élevées que pour les immigrants non francophones : les immigrants francophones en situation minoritaire doivent apprendre l’anglais afin de participer à la vie sociale, économique et politique et recevoir des services au-delà de ceux, limités, offerts par la communauté francophone. Ils doivent vivre en français dans un milieu où le français n’est pas nécessaire. Après tout, les Francophones eux-mêmes parlent anglais et participent à deux milieux socio-économico-politiques. Certes, l’établissement des immigrants francophones est plus facile que pour ceux qui ne parlent ni anglais, ni français, mais cette donne ne justifie que la priorité qui leur est donnée dans le processus de sélection en immigration, et aucunement leur participation aux communautés. Devant ces difficultés, que leur offre-t-on pour les convaincre de reprendre le projet francophone et surtout, pour leur donner la capacité de le faire ? Imprimer 29104 Balises: SNIF 2018 Jérôme MelançonJérôme Melançon Autres messages par Jérôme Melançon Contacter l'auteur Articles connexes Ce que j’apporte ICI Programmation de la Semaine nationale de l’immigration francophone Comments are only visible to subscribers.