Camionneurs, vaccins et tablettes vides Camionneurs, vaccins et tablettes vides 27 janvier 2022 4473 Alors que le convoi des camionneurs arrive à Ottawa, les consommateurs signalent un nombre croissant d’étagères vides dans les épiceries dans de nombreuses régions du pays. Le proofesseur Sylvain Charlebois explique ces phénomènes dans une lettre ouverture.
La hausse du cout de l’essence inquiète les agriculteurs de l’Ouest La hausse du cout de l’essence inquiète les agriculteurs de l’Ouest 22 novembre 2021 5964 Le cout de l’essence a augmenté de 32,8 % entre septembre 2020 et 2021. La situation affecte le secteur de la production agricole partout au pays, déjà durement touché par la pandémie.
Le CÉCS démystifie les cryptomonnaies Le CÉCS démystifie les cryptomonnaies Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan a organisé deux formations qui expliquent le monde des cryptomonnaies. 28 octobre 2021 6515
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Pénurie de ressources humaines dans la fransaskoisie Pénurie de ressources humaines dans la fransaskoisie Cet année, plusieurs postes restent longtemps non pourvus au sein d’organismes communautaires. On peut constater ce... 17 octobre 2021 5960
Pénurie de main-d’œuvre et immigration, deux faces d’une même pièce Pénurie de main-d’œuvre et immigration, deux faces d’une même pièce Il n’y a jamais eu autant d’emplois non pourvus au Canada que dans les cinq dernières années. 27 septembre 2021 6284
Un premier marché sous les étoiles à Zenon Park Un premier marché sous les étoiles à Zenon Park L’Association fransaskoise de Zenon Park (AFZP) a organisé un premier Marché sous les étoiles le 21 août dernier au centre communautaire du... 4 septembre 2021 8179
Fermeture de la Caisse populaire de Zenon Park : la fin d’une époque Fermeture de la Caisse populaire de Zenon Park : la fin d’une époque Le 30 juin 2021a marqué la fin d’une époque pour la communauté de Zenon Park. La Caisse populaire locale, après 79 ans d’activité, a... 3 juillet 2021 11086
Un projet numérique inédit pour stimuler l’économie fransaskoise 23 avril 2021 Un projet numérique inédit pour stimuler l’économie fransaskoise Avec la campagne numérique bilingue « Venez nous découvrir », le CÉCS espère faire des communautés fransaskoises de véritables destinations touristiques.
Coupe des startups : les entrepreneurs fransaskois sur le devant de la scène 17 mars 2021 Coupe des startups : les entrepreneurs fransaskois sur le devant de la scène Quatre startups participantes à la finale régionale des Prairies de la Coupe des startups étaient fondées par des Fransaskois.
Jean-Pierre Picard / 29 mai 2018 / Catégories: 2018, ACF - Assemblée communautaire fransaskoise, Courrier du lecteur ACF : Quand le chef d’orchestre joue de la flûte Même s’ils sont talentueux, des musiciens qui s’attaquent à une symphonie ont besoin d’un chef d’orchestre pour assurer la cohésion de l’interprétation. De même, la coordination des efforts déployés par des organismes communautaires peut maximiser leurs impacts autour d’objectifs communs. Même si plusieurs hésitent encore à le reconnaître, l’association porte-parole de la communauté fransaskoise, l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), est toute désignée pour jouer le rôle de chef d’orchestre communautaire et assurer la cohésion du réseau associatif fransaskois. Elle fait des efforts en ce sens, mais les résultats, il faut le reconnaître, ne sont pas toujours au rendez-vous. À qui la faute ? Un peu tout le monde, y inclus l’ACF. Le rôle de l’ACF n’est pas toujours bien compris par la population, ni même par certains organismes. Pourtant, selon les statuts de l’ACF, son mandat est clair : « L’ACF a pour mandat d’être le porte-parole de la communauté fransaskoise. » La confusion autour du rôle de l’ACF est compréhensible compte tenu de la diversité de ses activités. À titre d’exemple, elle organise depuis plusieurs années un camp d’été, le Camp voyageur. Le résultat est excellent. Mais est-ce vraiment là une responsabilité qui relève d’un organisme porte-parole ? Autre exemple : l’ACF offre un atelier sur la santé mentale au mois de juin. Rien dans la promotion de l’activité n’explique de quelle façon elle s’inscrit dans le mandat de l’ACF. Tout récemment, l’ACF a annoncé un projet pour stimuler la création d’entreprises sociales dans la province. Va-t-elle recruter des personnes et exécuter elle-même le travail ou va-t-elle faire appel à un organisme qui œuvre déjà dans secteur économique comme le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) ? Être porte-parole d’une communauté est un défi considérable. Il faut assurer la cohésion du réseau associatif, être à l’écoute de la population, connaître les défis des associations, véhiculer une vision commune et, surtout, défendre les intérêts de la communauté auprès des instances gouvernementales. Bref, l’ACF a du pain sur la planche avec son mandat de porte-parole. Immigration et inclusion Il y a un dossier par contre, pour lequel l’ACF est toute désignée : l’immigration. En tant qu’organisme porte-parole, elle doit être au fait de l’ensemble des ressources du réseau associatif fransaskois. Elle peut ainsi aiguiller les nouveaux arrivants vers les organismes pouvant les appuyer. L’ACF pourrait songer à modifier ses statuts officiels pour ajouter cette dimension à son mandat afin de tenir compte de la nouvelle réalité fransaskoise. En ce sens, je n’ai jamais vraiment compris pourquoi le CÉCS est allé chercher le financement pour le Réseau en immigration francophone de la Saskatchewan (RIF-SK) que recevait l’ACF. Oui, la dimension économique est importante pour les nouveaux arrivants, mais ce dossier est bien plus que cela. L’immigration se joue sur plusieurs tableaux : social, scolaire, politique, économique et culturel. Un travail collaboratif Même s’il est un musicien lui-même, un chef d’orchestre ne joue pas d’instrument. En ce moment, les responsables de l’ACF se retrouvent à jouer plusieurs instruments au lieu de se consacrer à diriger la symphonie communautaire. Elle gère des projets et services qui pourraient être pris en main par des organismes dont le mandat est de travailler sur le terrain. Est-ce que le climat de confiance et le sens du compromis sont suffisants au sein du réseau associatif pour que les organismes acceptent de jouer leur partition sous la direction d’un chef d’orchestre ? Certaines situations permettent d’en douter. Dès mes premiers pas au sein du réseau associatif fransaskois, en 1986, j’ai constaté que le sport préféré de bien des Fransaskois était de tirer à boulets rouges sur l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan (ACFC), l’ancêtre de l’ACF. Ce sport semble toujours bien en vogue aujourd’hui, surtout sur les réseaux sociaux. C’est normal de critiquer, car rien n’est parfait. Mais il faut aussi proposer des idées pour améliorer les choses. Du côté de l’ACF, le réflexe a longtemps été de se cantonner sur ses positions. Peut-être pourrait-elle se montrer plus réceptive aux avis divergents et voir ceux-ci comme des occasions de dialogue pour brasser des idées. Jean-Pierre Picard Glenside Imprimer 17245 Jean-Pierre PicardJean-Pierre Picard Autres messages par Jean-Pierre Picard Contacter l'auteur Comments are only visible to subscribers.