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L’après-pétrole dans l'Ouest canadien: entre déni et peur de l’inconnu L’après-pétrole dans l'Ouest canadien: entre déni et peur de l’inconnu Impact sur les francophones 27 août 2015 23157 « Le pétrole nous a donné une période de croissance économique mais il n’en reste rien, soutient la professeure retraitée de l’Université de Calgary, Dominique Perron. Les perceptions traditionnelles de l’économie ont à peu près trahi les Canadiens. Le...
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Économie et francophonie Économie et francophonie Le Conseil de la coopération a changé de nom pour devenir le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan. Ce... 18 juin 2015 30489
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Tourisme francophone en milieu minoritaire 12 juin 2015 Tourisme francophone en milieu minoritaire Mais le tourisme de proximité n’est pas adapté aux dimensions du Canada. Visiter les communautés francophones reste néanmoins un marché en plein essor.
Le français, langue de travail au World Trade Centre Winnipeg 20 mai 2015 Le français, langue de travail au World Trade Centre Winnipeg WINNIPEG - Fin avril 2015, les 300 membres de l’Association internationale des WTC ont élu Mariette Mulaire à leur Conseil d’administration.
Dominique Liboiron / 5 juin 2023 / Catégories: Agriculture et environnement, Aventure et plein air Entendre l’écho du passé Notre série sur le tourisme se termine par la découverte d’un endroit peu connu, mais qui renferme un bon nombre de mystères : le site historique Doug Richards. Je n’ai pas l’ombre d’un doute que les amateurs d’histoire, d’archéologie et d’artéfacts autochtones sauront apprécier sa visite. Cette destination porte le nom de son fondateur, un agriculteur qui portait un vif intérêt à l’histoire et à l’archéologie. Le site se trouve sur sa terre paternelle, près du hameau de Kelfield, à l’ouest de Saskatoon, et se distingue par un nombre considérable d’attraits. En effet, on y trouve deux précipices à bisons, deux effigies de tortue, deux cercles de tipi cérémoniels en plus de 70 autres cercles de taille normale, ainsi qu’un cercle d’influence ou medicine wheel. Lors d’un entretien, il y a une quinzaine d’années, Doug Richards m’a expliqué que l’abondance en patrimoine du site se rapportait à un seul élément : « La clé ici, c’est l’eau. Il y a deux sources d’eau qui sortent du bord de la colline. » Cette eau aurait attiré les bisons qui, à leur tour, auraient attiré les Premières Nations puisque leur économie dépendait des troupeaux. Les sources d’eau pourraient aussi expliquer la présence des deux éléments les plus notables du site, à savoir les deux effigies de tortue. Un mystère à percer La tortue la plus facile à voir mesure environ sept pieds de diamètre, soit un peu plus de 2 mètres. Fabriquée par les Premières Nations, elle est formée de roches de la grandeur d’un pamplemousse et arbore une coquille, des pattes et une tête. Pourtant, aucune tortue n’habite la région. En trouvait-on autrefois ? Ou bien les tortues en pierre sont-elles une représentation de « l’Île de la Tortue », tel que les Autochtones appelaient traditionnellement l’Amérique du Nord ? C’est un mystère. Doug Richards était passionné d’histoire et d’archéologie. Il a consacré une partie de sa terre paternelle à la préservation d’artéfacts de Premières Nations. Crédit: Dominique Liboiron Quant aux deux cercles de tipi cérémoniels, nous n’en savons pas plus. Ils sont constitués d’énormes pierres beaucoup plus grandes que les cercles de tipi habituels. Selon la théorie de Doug Richards, les pierres devaient tenir en place deux gigantesques tipis. Aussi l’amateur d’histoire se demandait-il si les tipis n’étaient pas des lieux de cérémonies. Doug Richards est décédé en 2011 à l’âge de 85 ans. Il a légué une partie de sa collection d’artéfacts au Centre interprétatif Ancient Echoes, un musée situé dans le petit hameau de Herschel, à 35 minutes au sud-est de Kelfield, sur l’Autoroute 31. Le musée est ouvert du mardi au samedi de 9 h à 17 h jusqu’à la longue fin de semaine du mois de septembre. Pour de plus amples renseignements ou pour une visite guidée, composez le 306-377-2045 ou visitez le site internet du musée. Imprimer 3444 Dominique LiboironDominique Liboiron Autres messages par Dominique Liboiron Contacter l'auteur Comments are only visible to subscribers.