Face à face entre candidats à l’embauche et Maple Leaf Face à face entre candidats à l’embauche et Maple Leaf Mini-foire de l'emploi du CCS à Saskatoon 1 octobre 2015 26618 SASKATOON - Le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan a organisé une mini-foire de l’emploi à Saskatoon, le 24 septembre dernier. En recherche d’employés, l’entreprise Maple Leaf Consumer Foods a rencontré des candidats à l’embauche.
Le CCS enrichit son aide aux chercheurs d’emploi Le CCS enrichit son aide aux chercheurs d’emploi Foires de l'emploi et ateliers sont au programme 17 septembre 2015 24466 Outre les foires, le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) a lancé des ateliers pour mieux appréhender le marché du travail et optimiser la recherche d’emploi.
L’après-pétrole dans l'Ouest canadien: entre déni et peur de l’inconnu L’après-pétrole dans l'Ouest canadien: entre déni et peur de l’inconnu « Le pétrole nous a donné une période de croissance économique mais il n’en reste rien, soutient la... 27 août 2015 24625
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Le français, un atout de taille en affaires Le français, un atout de taille en affaires Le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE) Canada a profité de la tenue de... 26 juin 2015 19409
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Essencerie automatisée: inauguration officielle à Gravelbourg Essencerie automatisée: inauguration officielle à Gravelbourg GRAVELBOURG - La Coopérative régionale Southland d’Assiniboia a inauguré officiellement une nouvelle essencerie... 18 juin 2015 25867
Économie et francophonie Économie et francophonie Le Conseil de la coopération a changé de nom pour devenir le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan. Ce... 18 juin 2015 32373
16 juin 2015 La presse doit se réinventer TORONTO - Les journaux régionaux sont au coeur d'une révolution sans précédent et ils doivent innover pour demeurer pertinents
Tourisme francophone en milieu minoritaire 12 juin 2015 Tourisme francophone en milieu minoritaire Mais le tourisme de proximité n’est pas adapté aux dimensions du Canada. Visiter les communautés francophones reste néanmoins un marché en plein essor.
Réjean Paulin / 15 octobre 2015 / Catégories: 2015, Réjean Paulin, Politique Quelques infos « non officielles » sur les trois chefs Justin Trudeau, Stephen Harper et Thomas Mulcair Photo : Droits réservés Le 19 octobre prochain, 338 députés seront élus. Qui de Stephen Harper, Justin Trudeau ou Thomas Mulcair héritera du poste de Premier ministre? Alors que les électeurs sont sur le point de faire leur choix, il est toujours pratique de donner des informations que les chefs de parti « omettent » souvent d’inclure dans leur biographie officielle. Harper : seul dans son camp Contrairement à ses deux principaux adversaires politiques, le Premier ministre sortant Stephen Harper n’a pas à affronter un parti politique aux idéologies similaires aux siennes et susceptible de lui arracher de précieux votes. À la suite de la fusion du Parti progressiste conservateur et de l’Alliance canadienne (qui comprenait quant à elle les membres du défunt Parti réformiste), Stephen Harper s’est retrouvé à la tête du seul parti de droite à Ottawa. Il a délogé le Parti libéral en 2006 et tente cet automne de se faire élire pour un quatrième mandat d’affilée. En fouillant un peu dans le passé de cet économiste, qui est l’un des deux seuls premiers ministres de l’histoire du pays à ne pas avoir étudié en droit, bien peu de surprises nous attendent. Bref, Stephen Harper est un politicien de droite, qui défend des idées de droite. Prenant une brève pause de la politique fédérale à la fin des années 1990, il est devenu un membre influent au sein de la National Citizens Coalition. Il a adopté à l’époque des positions plutôt radicales, notamment en ce qui concerne le bilinguisme. Il n’est pas reconnu non plus comme un ardent défenseur de la culture, ne s’est pas fait d’amis au sein de la communauté scientifique depuis son élection, mais semble plus modéré qu’à l’époque où il défendait les couleurs du Parti réformiste ou de la National Citizens Coalition. C’est possible qu’il se soit assagi afin de séduire les électeurs, mais après presqu’une décennie au pouvoir, les Canadiens ont une bonne idée de la personne à qui ils ont affaire. Trudeau : né dans la politique Tout comme Stephen Harper, on sait clairement de quel côté se range Justin Trudeau, que la grande famille libérale a littéralement vu grandir jusqu’à son ascension à la direction du parti, au printemps 2013. Justin Trudeau trempe en effet dans le milieu politique depuis son enfance alors que son père, Pierre Elliott Trudeau, a été Premier ministre de 1968 à 1979, puis de 1980 à 1984. Il s’est exilé pendant plusieurs années, notamment pour enseigner le français en Colombie-Britannique, mais aspire maintenant à diriger le pays. Agé de 43 ans, il pourrait devenir, le 19 octobre, le deuxième plus jeune Premier ministre de l’histoire du pays. Seul Joe Clark le devancerait à ce chapitre, lui qui a été porté au pouvoir la veille de son 40e anniversaire. S’il est élu, Justin Trudeau pourrait, en voulant légaliser la marijuana au pays, lancer le parlement canadien dans un débat qui suscitera des échanges musclés. Mulcair : difficile à saisir Avocat de formation, Thomas Mulcair indique, dans sa biographie officielle sur le site du NPD, qu’il a préféré œuvrer au sein de la fonction publique plutôt que de se diriger vers le privé, dès la fin de ses études. On ne mentionne toutefois pas qu’il a pratiqué le droit au privé et qu’il a été directeur des affaires juridiques pour le groupe Alliance Québec, qui s’opposait farouchement à la loi 101. On indique qu’il a été député puis ministre au provincial, sans préciser que c’était sous la bannière libérale. Il avait de plus accueilli favorablement l’entrée en poste de Jean Charest à la direction du Parti libéral du Québec, ce même Jean Charest qui était auparavant chef du Parti conservateur à Ottawa. En faisant le saut au fédéral, le chef néo-démocrate a réussi un tour de force : battre les libéraux dans la circonscription d’Outremont, presque toujours libérale depuis 1935. Perçu comme le favori en début de campagne, le successeur de Jack Layton perd des plumes depuis quelques semaines et son sort est lié de très près à la performance de ses troupes au Québec. Imprimer 33537 Balises: Élections 2015 Réjean PaulinRéjean Paulin Autres messages par Réjean Paulin Contacter l'auteur Articles connexes Patrimoine et Langues officielles : Mélanie Joly succède à Shelly Glover Justin Trudeau présente son nouveau cabinet Les elections et le deficit democratique Élections : une victoire libérale bien vue par les Fransaskois ? Après l’élection, les étudiants donnent leur vision et prévisions Les élections et L'Eau vive: pas de quoi sauter de joie Les Canadiens se tournent vers Trudeau et les libéraux Pour l'ACF, Trudeau c’est un vent d’espoir La démocratie reste à venir même en Occident... Résultats du vote en Saskatchewan Comments are only visible to subscribers.