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Le CCS attend plus de justice avec les anglophones Le CCS attend plus de justice avec les anglophones REGINA - Le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan espère que le pouvoir issu des prochaines élections, épaulera... 20 août 2015 24619
Le français, un atout de taille en affaires Le français, un atout de taille en affaires Le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE) Canada a profité de la tenue de... 26 juin 2015 18490
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Essencerie automatisée: inauguration officielle à Gravelbourg Essencerie automatisée: inauguration officielle à Gravelbourg GRAVELBOURG - La Coopérative régionale Southland d’Assiniboia a inauguré officiellement une nouvelle essencerie... 18 juin 2015 24912
Économie et francophonie Économie et francophonie Le Conseil de la coopération a changé de nom pour devenir le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan. Ce... 18 juin 2015 31168
La presse doit se réinventer La presse doit se réinventer TORONTO - Les journaux régionaux sont au coeur d'une révolution sans précédent et ils doivent innover pour demeurer... 16 juin 2015 22478
Tourisme francophone en milieu minoritaire 12 juin 2015 Tourisme francophone en milieu minoritaire Mais le tourisme de proximité n’est pas adapté aux dimensions du Canada. Visiter les communautés francophones reste néanmoins un marché en plein essor.
Le français, langue de travail au World Trade Centre Winnipeg 20 mai 2015 Le français, langue de travail au World Trade Centre Winnipeg WINNIPEG - Fin avril 2015, les 300 membres de l’Association internationale des WTC ont élu Mariette Mulaire à leur Conseil d’administration.
Émilie Dessureault-Paquette (EV) / 5 mars 2015 / Catégories: 2015, Société, Femmes Le féminisme ne s’est pas fait en un jour Je parle de féminisme avec une connaissance. On ne s’entend pas. Pour certains, le féminisme a ses dérives, mais pour moi, il est essentiel. Pour lui, le féminisme est un euphémisme, une utopie. Pourquoi? Pour moi, encore aujourd’hui, et particulièrement aujourd’hui, il est une nécessité. Le féminisme est une question de respect et de reconnaissance. Si ça prend au moins une journée dans l’année pour le souligner plus que d’habitude, et bien cette journée a sa raison d’être, ne serait-ce que pour célébrer la place des femmes, et pour, sur une note un peu plus sombre, prendre le temps de dénoncer ce qui ne fonctionne toujours pas. C’est un devoir en tant que femme de le faire. Le monde reste un monde d’hommes, encore. Le 8 mars, on fait ce que l’on devrait faire les autres jours. S’offrir une place dans le monde et affirmer notre présence. On parle souvent du Québec comme grand exemple du féminisme. En tant que Québécoise, le féminisme est collé dans mes gènes. On peut rougir de beaucoup de choses chez nous, mais de ça, j’espère que mes collègues en sont fières. Malheureusement, je ne suis pas sûre si ma génération le reconnaît, si elle est consciente de ce qui nous a précédé. J’espère qu’elle l’est. Mais le féminisme ne devrait pas juste être une question de culture, ça devrait aller au-delà de cela. Avons-nous réellement fait des progrès et acquis une liberté ou égalité absolue? Vous me traiterez peut-être de pessimiste, mais voici ce que j’en pense. L’égalité, permettez-moi encore d’en douter. Et je ne parle même pas de ces pays lointains que l'on ne connaît pas, d’où nous parviennent les échos d’étranges pratiques qui n’ont pas de sens ici. Je me contente de rester ici, sur le plancher des vaches des Prairies (ou ailleurs au Canada). Voit-on réellement et concrètement la femme comme l’égale de l’homme? J’en doute sérieusement. Jetez un coup d’œil au sport ou à d’autres rendez-vous sociaux. Pourquoi les rôles des hommes et des femmes sont-ils encore si séparés? Pourquoi, lors d’une fête de famille, les femmes discutent dans la cuisine et les hommes discutent dehors avec une bière autour du barbecue? Ce n’est pas un cliché, c’est la réalité. Pourquoi il n’y a pas de femmes sur la glace quand on m’invite à une partie de hockey? Je sais que ces exemples ne font pas le poids à côté de choses plus graves, mais moi, personnellement, et c’est peut-être à cause de mon éducation québécoise, ça m’agace, et j’ai le droit de remettre cela en question. Bien entendu, des combats énormes ont été menés et gagnés sur une très longue période. Mais je suis de celles qui pensent que rien n’est acquis et que c’est un devoir pour chacune d’entre nous de préserver ce qui a été gagné par nos mères, tantes, grand-mères et arrière-grand-mères. J’en profiterai donc, le 8 mars, lors de retrouvailles en famille, pour leur dire merci. Imprimer 17614 Émilie Dessureault-Paquette (EV)Émilie Dessureault-Paquette Autres messages par Émilie Dessureault-Paquette (EV) Contacter l'auteur Comments are only visible to subscribers.