Skip Navigation
Dix ans au Lieu historique national de Batoche avec le plus bel emploi du monde
Dix ans au Lieu historique national de Batoche avec le plus bel emploi du monde

Dix ans au Lieu historique national de Batoche avec le plus bel emploi du monde

Le 11 octobre, le Lieu historique national de Batoche a accueilli ses derniers visiteurs de la saison jusqu’à réouverture au mois de mai 2015. Ronald Jobin, originaire de Saint-Isidore-de-Bellevue, à 10 km de Batoche, y travaille depuis dix ans et il considère qu’il a le plus bel emploi du monde.

 

Reportages extrêmes
Reportages extrêmes

Reportages extrêmes

La fusillade dans les couloirs du parlement canadien et le meurtre du caporal Nathan Cirillo devant le cénotaphe à Ottawa ont profondément secoué le pays. On a mis les drapeaux en berne et multiplié les appels au calme. Moi, plus on me dit de me calmer, plus je m’inquiète.

Le débat qui n’a pas eu lieu

Le débat qui n’a pas eu lieu

En prévision des élections de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) le 5 novembre prochain,  la Société Radio-Canada Saskatchewan et l’Eau vive ont uni leurs efforts pour organiser un débat en direct des candidats à la présidence de l’ACF, l’organisme parapluie de la communauté. Mais voilà, Françoise Sigur-Cloutier a été réélue à l’unanimité et s’est retrouvée seule devant la caméra. Pas de débat, donc, mais une entrevue.

"The Fransaskois" n’est plus un homme invisible

"The Fransaskois" n’est plus un homme invisible

Il y a de ces détails qui, sous des airs anodins, revêtent une certaine importance. Dans un article du Star Phoenix on apprenait qu’un couple de Saskatoon a récolté 2,5 millions de dollars à la 6/49. C’est une nouvelle, somme toute, banale. Ce qui la rend intéressante, c’est une phrase du troisième paragraphe : « The Fransaskois works for ASL Paving Ltd. in Saskatoon... »

Et maintenant?
Et maintenant?

Et maintenant?

« Il ne faut pas faire les choses comme avant, il faut penser à comment les choses vont être dans 20 ans ». Je ne peux que partager l’avis exprimé par Suzanne Campagne, la directrice du Conseil culturel fransaskois (CCF), interrogée sur l’avenir de l’organisme après son Gala anniversaire samedi dernier.

On n’est pas fort, mais on est plus fort que l’année dernière
On n’est pas fort, mais on est plus fort que l’année dernière

On n’est pas fort, mais on est plus fort que l’année dernière

Une vingtaine de personnes de Gravelbourg et des environs se sont rendues au Centre culturel Maillard (CCM), le dimanche 21 septembre, pour profiter d’un brunch dominical et assister à l’Assemblée générale annuelle de l’Association communautaire fransaskoise de Gravelbourg (ACFG). 

Au revoir Tante Aimée
Au revoir Tante Aimée

Au revoir Tante Aimée

Pendant plusieurs années, l’Eau vive a publié ta chronique chère Tante Aimée . Dans ce « courrier du cœur », tes réponses à des lettres, souvent fictives mais parfois réelles, offraient une brochette de conseils et de renseignements aussi divers qu’éclairés sur des sujets comme la santé, les ressources pour les femmes, les défis des jeunes, des nouveaux parents, des personnes âgées…

Pour une solution à long terme
Pour une solution à long terme

Pour une solution à long terme

Le 19 août dernier, le juge Brian A. Barrington-Foote de la Cour du Banc de la Reine a ordonné au gouvernement de la Saskatchewan de payer la somme de 500 000 $ au Conseil scolaire fransaskois (CSF) qui réclamait 5,2 M $.

Le statut bilingue d'Ottawa et Canadians for language Fairness

Le statut bilingue d'Ottawa et Canadians for language Fairness

La semaine dernière, un reportage de Radio-Canada faisait état du questionnaire biaisé d’une consultation bidon menée par Canadians for Language Fairness (CLF) destinée aux candidats des élections municipales à Ottawa. Ce questionnaire offre des perles de subtilité dans le style « Vous ne trouvez pas que le bilinguisme à Ottawa c’est beaucoup d’argent pour pas grand monde ? » (Traduction libre)

De l’importance de lire

De l’importance de lire

Même si cet édito était bilingue, près de la moitié des adultes canadiens n’auraient pas le niveau de lecture leur permettant de bien le comprendre. Non pas que j’écrive de façon incompréhensible (quoi que ça m’arrive parfois), mais tout simplement parce qu’un texte de type journalistique ou d’opinion requiert un niveau 4 ou 5 de littératie. Selon une étude de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), 48% de la population canadienne n’atteint pas le niveau 3. 

Les Éditions la nouvelle plume et le milieu scolaire
Les Éditions la nouvelle plume et le milieu scolaire

Les Éditions la nouvelle plume et le milieu scolaire

L’assemblée générale annuelle des Éditions de la nouvelle plume (ÉNP), le 27 août 2014, a permis aux participants, sur place et en téléconférence, de faire le bilan d’une année positive et de faire le point sur les nombreux défis auxquels fait face la seule maison d’édition francophone à l’Ouest de Winnipeg. Si les ÉNP ont réussi à être actives tout en dégageant un surplus de 5 140 $, c’est grâce au dévouement d’une équipe de bénévoles animée par la passion du livre. En effet, les ressources financières de l’organisme ne lui permettent pas d’embaucher du personnel. 

La loi, l’ordre et les femmes autochtones

La loi, l’ordre et les femmes autochtones

Lors de son passage au Yukon, le Premier ministre s’est fait questionner sur la pertinence d’une commission d’enquête sur le sujet de la violence faite aux femmes autochtones. Les chefs autochtones ainsi que des premiers ministres provinciaux, dont Brad Wall de la Saskatchewan, réclament ouvertement une telle enquête depuis quelque temps. Le premier ministre Harper a déclaré qu’il ne s’agissait pas ici d’un « phénomène sociologique » mais d’un problème de criminalité, que c’était le rôle de la police de s’en occuper.

L’Eau vive a besoin de ses abonnés

L’Eau vive a besoin de ses abonnés

« Je n’ai pas besoin de m’abonner, on reçoit l’Eau vive au bureau (ou à l’école) ». Combien de fois ai-je entendu des commentaires de ce genre. Certes, il est réconfortant de penser que nous comptons plus de lecteurs que d’abonnés. Mais le problème, c’est que pour convaincre les annonceurs d’acheter de l’espace publicitaire, il faut être en mesure  de démontrer un tirage intéressant. Or. en ce moment, l’Eau vive compte à peine 900 abonnés et ce nombre diminue d’année en année.

Réparer les erreurs du passé ou préparer l’avenir?

Réparer les erreurs du passé ou préparer l’avenir?

Dans les démarches entourant sa demande d’injonction pour réclamer un montant supplémentaire de 5,2 millions de dollars au gouvernement provincial, le Conseil scolaire fransaskois n’a pas mis toutes les chances de son côté. 

Pour qu’on se souvienne d’eux

Pour qu’on se souvienne d’eux

Certaines rencontres dans nos vies laissent leur marque. C’est à l’Eau vive, en 1986, que le chemin d’Albert O. Dubé et le mien se sont croisés. Quelques jours plus tôt, un certain Roland Pinsonneault m’avait invité à souper pour  ce que je croyais être une entrevue pour le poste de graphiste dans un journal francophone. J’ai eu droit à un cours passionné sur l’histoire de la presse francophone de l’Ouest et sur le mot Fransaskois. Dans son envolée, il y avait toujours un nom qui revenait : Albert!  

RSS
Première56789111314

 - samedi 15 juin 2024