Immigration Marc Miller : « La cible de 10 % d’immigrants francophones, c’est beaucoup demander à mon ministère. » L’immigration n’est pas l’unique solution pour rétablir le poids démographique des francophones hors Québec. Lire la suite
Lettre à Tante Irène Date de l'événement [EasyDNNnews:IfExists:EventAllDay] - toute la journée [EasyDNNnews:EndIf:EventAllDay] [EasyDNNnews:IfNotExists:EventAllDay] @ [EasyDNNnews:EndIf:EventAllDay] Jean-François Dubois 11929 of views Balises Irène Chabot Irène Chabot (1930-2018) Photo: gracieuseté famille Chabot Où que vous soyez, Mes humbles salutations, Tante Irène. Il y a déjà quelques années, j’ai eu le privilège de vous côtoyer dans le cadre de mon travail à Radio-Canada. Que ce soit lors de débats publics ou à l’occasion d’entrevues radiophoniques à l’émission Carrefour Nord-Sud, vous donniez l’heure juste, quelque soit le chapeau que vous portiez. La langue de bois…vous ne connaissiez pas! C’est d’ailleurs dans le cadre de cette émission que je me suis permis de vous nommer ‘’Tante Irène’’, question de vous taquiner. L’inspiration venait d’une chanson de Gilles Vigneault qui vous décrivait bien : On dit dans le village Qu'elle a cent ans Mais toujours à l'ouvrage Passe son temps Et fait des courtepointes Et des coussins Qui portent son empreinte Dans leurs dessins Qui dira que l'amour s'enfuit Que la rose passe avec lui Qui dira que l'amour s'enfuit Que la rose passe avec lui Dites-moi, tante Irène Tout autrefois Étiez-vous musicienne Racontez-moi Sur tout ce que vous faites Est-ce un adon On voit la silhouette D'un violon (Gilles Vigneault) Plus d’une fois, dans le cadre de votre bénévolat, vous avez accordé nos violons. Comme le dit si bien Françoise Sigur-Cloutier, « Vous connaissiez la musique. » Et que dire de vos courtes pointes politiques qui finissaient toujours à nous réunir, afin d’avancer dans la même direction. J’espère que la communauté a chanté cette belle poésie, qui vous ressemble tant, lors de votre dernier retour à Ferland. À moins que ce soit des Pinsonneault, Marcotte et Dubé, pour ne nommer que ceux-là, qui l’ont interprété avec votre Alfred lors de vos retrouvailles de l’autre côté de la rivière de la vie. Je souhaite que la communauté fransaskoise sache marquer votre passage ici, afin que la jeune génération réalise que travail, dévouement et générosité peuvent faire avancer une communauté. Merci Irène. Saluez pour moi ceux qu’on nommait hier, les mandarins fransaskois. Jean-François Dubois Imprimer Articles connexes Au revoir « tante » Irène ! Irène Fournier Chabot 1930-2018 Irène Chabot : hommage de trois membres de la communauté Comments are only visible to subscribers.